En 1918, à Rangoun, un fonctionnaire de la Birmanie britannique, s'enfuit le jour où il reçoit un télégramme de sa fiancée annonçant son arrivée pour leur mariage. Cette dernière part alors sur ses traces lors d'un « Grand Tour » improvisé de l'Extrême-Orient.
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données Uma Pedra no Sapato[3].
Début , Eurimages soutient le réalisateur Miguel Gomes, en lui versant 500 000 euros pour son projet de long métrage intitulé Grand Tour[9],[10]. Ce film est coproduit par les sociétés étrangères Vivo Film (Italie), Shellac Films (France) et Cinéma Defacto (France), puis associé avec The Match Factory (Allemagne), Rediance (Chine) et Creatps Inc. (Japon)[11].
Attribution des rôles
Début , Gonçalo Waddington et Crista Alfaiate sont mentionnés dans les rôles principaux[11].
Le tournage reprend mi- à Lisbonne, au Portugal[15], et prend fin, en mi-mars, en Italie[11], en studio de Rome[15], « l'espace cinématographique par excellence », dixit le réalisateur[13].
Sortie
Festival
Grand Tour est sélectionné, le , en compétition pour la Palme d'or[1] et projeté en avant-première mondiale, le , au festival de Cannes[16]. Le , lors de la soirée de clôture, Miguel Gomes obtient le prix de la mise en scène[2] ; il déclare : « c'est rare pour un film portugais d'être nommé, et gagner un prix l'est encore plus[13]. ».
Accueil critique
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En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques de presse de 3,4⁄5[17].
L'année indiquée est celle de la cérémonie. Les films sont ceux qui sont proposés à la nomination par le Portugal ; tous ne figurent pas dans la liste finale des films nommés.