A la Révolution, le diocèse de Castres est tout d'abord supprimé par la Constitution civile du clergé de 1790. Il est alors remplacé par le diocèse du Tarn, qui couvre l'ensemble du département, et a pour siège la ville d'Albi. Néanmoins, à la suite du concordat de 1801, il n'est pas rétabli, contrairement à une grande partie des diocèses français. Le , il est même incorporé au diocèse de Montpellier, avant d'intégrer celui d'Albi, qui est quant à lui rétabli le , qui relève le titre depuis .
↑« L’évêché d'Albi était suffragant de l’archevêché de Bourges », Revue historique, scientifique et littéraire du département du Tarn, Société des sciences, arts et belles-lettres du Tarn, Albi, 1877-1922, p. 188 lire en ligne sur Gallica
↑ a et bArmand Jean, Les évêques et les archevêques de France depuis 1682 jusqu'à 1801, Alphonse Picard (Paris), G. Fleury et A. Dangin (Mamers), (lire en ligne), p. 10.
Annexes
Bibliographie
Hugues Du Tems, « Castres », dans Le Clergé de France, ou Tableau historique et chronologique des archevêques, évêques, abbés, abbesses et chefs des chapitres principaux du royaume, depuis la fondation des églises jusqu'à nos jours, t. 1, Paris, Chez Delalain, (lire en ligne), p. 157-171