Saint-Geniès-de-Varensal

Saint-Geniès-de-Varensal
Saint-Geniès-de-Varensal
Vue générale.
Blason de Saint-Geniès-de-Varensal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Jean-Claude Boltz
2020-2026
Code postal 34610
Code commune 34257
Démographie
Gentilé Varensalois
Population
municipale
216 hab. (2021 en évolution de +5,37 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 54″ nord, 3° 00′ 12″ est
Altitude Min. 358 m
Max. 1 086 m
Superficie 12,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Geniès-de-Varensal est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Bouissou et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de Mare ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Geniès-de-Varensal est une commune rurale qui compte 216 habitants en 2021.

Géographie

Localisation

Commune de l'Hérault, frontalière avec le département de l'Aveyron, Saint-Geniès-de-Varensal se trouve dans le territoire du parc naturel régional du Haut-Languedoc. Elle est arrosée par la rivière du Bouissou.

Hameau de Plaisance
Cadastre napoléonien : section A1 du Village (1827).

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Mélagues, Castanet-le-Haut, Saint-Gervais-sur-Mare et Rosis.

Communes limitrophes de Saint-Geniès-de-Varensal
Mélagues (Aveyron)
Castanet-le-Haut (Hérault) Saint-Geniès-de-Varensal Saint-Gervais-sur-Mare (Hérault)
Rosis (Hérault)

Hameaux

  • Albes (qui faisait partie de la commune de Saint-Gervais-Terre jusqu'en 1827)
  • Plaisance
  • les Combals
  • Olquette (ferme aujourd'hui en ruine)
  • Peyremale
  • Sals

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 282 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 3,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Castanet-le-Haut à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 687,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[9]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[10],[11].

Réseau Natura 2000

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de Mare »[13], d'une superficie de 1 481 ha, abritant quatre espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire (Rhinolophus ferrumequinum, R. hipposideros, Miniopterus schreibersi), et plus particulièrement le Minioptère de Schreibers[14].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[15] :

  • les « crêtes du Mont Cabane au Mont Marcou » (484 ha), couvrant 4 communes dont une dans l'Aveyron et trois dans l'Hérault[16] ;
  • les « falaises d'Orques » (293 ha), couvrant 2 communes du département[17] ;
  • la « forêt de Melagues et montagne du Ferio » (1 306 ha), couvrant 3 communes dont deux dans l'Aveyron et une dans l'Hérault[18] ;
  • les « Pont de la Mouline, vallée du Dourdou d'Arnac à Brusque, forêts du Haut-Dourdou, du Mayni et de Saint-Thomas » (2 606 ha), couvrant 6 communes dont trois dans l'Aveyron, deux dans l'Hérault et une dans le Tarn[19] ;

et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[15] : les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de mare » (3 441 ha), couvrant 7 communes dont une dans l'Aveyron et six dans l'Hérault[20].

Urbanisme

Typologie

Au , Saint-Geniès-de-Varensal est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,1 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), zones urbanisées (1,2 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Geniès-de-Varensal est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

Saint-Geniès-de-Varensal est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 4],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Geniès-de-Varensal.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 17,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 137 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 110 sont en aléa moyen ou fort, soit 80 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1995, 1997 et 2014.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Geniès-de-Varensal est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

Histoire

Saint-Geniès-de-Varensal appartenait au diocèse de Castres et à la sénéchaussée de Béziers. La commune était rattachée au Tarn lors de la création des départements. En vertu de la loi du 28 pluviôse an V () qui échangeait les cantons d'Anglès et de Saint-Gervais, la commune a été rattachée à l'Hérault. La paroisse de Saint-Geniès dépendait de l'abbaye de Villemagne-l'Argentière. Un château aujourd'hui disparu, se dressait au-dessus de Saint-Geniès. Sa présence est citée dans les 3 compoix du XVIe siècle (1526, 1545, 1566)[28]. La tradition orale rapporte que des prêtres non jureurs se cachaient dans le village pendant la Révolution française. En 2014, la commune a été rattachée au canton de Clermont-l'Hérault.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1989 Rémi Vergély SFIO-PS Employé des mines
1989 janvier 2005 Patrick Taurines PCF  
janvier 2005 en cours Jean-Claude Boltz SE-DVG Retraité Fonction publique

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 216 habitants[Note 5], en évolution de +5,37 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
256324304241288310307306315
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
329331334310291293288291256
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
277274257298380365345302295
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
260200214223207209224242194
2014 2019 2021 - - - - - -
203216216------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 72 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 139 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 190 [I 5] (20 330  dans le département[I 6]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 7,9 % 8,8 % 10,5 %
Département[I 8] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 140 personnes, parmi lesquelles on compte 68,4 % d'actifs (57,9 % ayant un emploi et 10,5 % de chômeurs) et 31,6 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 155 emplois en 2018, contre 144 en 2013 et 119 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 190 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,2 %[I 11].

Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 53 travaillent dans la commune, soit 65 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 43,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 16,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 37,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

7 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Geniès-de-Varensal au [I 14]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 42,9 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 7 entreprises implantées à Saint-Geniès-de-Varensal), contre 14,1 % au niveau départemental[I 15].

Entreprises et commerces

L'économie traditionnelle de Saint-Geniès était une agriculture de montagne (ovins, seigle, un peu de vigne). Les châtaigneraies occupaient une forte partie du territoire.

Au XVIIIe siècle, s'est installé un moulin papetier à Plaisance.

Au XIXe et début du XXe siècle, les mines de charbons de Plaisance entretenaient une forte activité, qui a attiré une nombreuse population souvent venue de l'étranger dont l'Espagne. Une ligne de chemin de fer reliant Plaisance à Bédarieux a été construite pour évacuer la production de houille (anthracite).

Depuis la fermeture des mines, la commune voit sa population diminuer.

Les bâtiments de la direction de la mine sont utilisés aujourd'hui par un centre pour adultes handicapés (C.A.T).

Les eaux de la rivière Bouissou sont exploitées par un élevage de truites.

Ancienne gare de Plaisance.

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 2 lors du recensement agricole de 2020[Note 9] et la surface agricole utilisée de 65 ha[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église paroissiale.
Castanet-le-Haut, vue sur les falaises d'OLQUES. (L'IGN a retenu le nom d'ORQUE).

Personnalités liées à la commune

Héraldique


Les armoiries de Saint-Geniès-de-Varensal se blasonnent ainsi : d'or à deux tourteaux de gueules l'un sur l'autre.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Geniès-de-Varensal ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Geniès-de-Varensal » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Geniès-de-Varensal » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Geniès-de-Varensal » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Geniès-de-Varensal » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Geniès-de-Varensal et Castanet-le-Haut », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Castanet Le Haut_sapc » (commune de Castanet-le-Haut) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Castanet Le Haut_sapc » (commune de Castanet-le-Haut) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  8. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur parc-haut-languedoc.fr (consulté le ).
  10. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur parc-haut-languedoc.fr (consulté le ).
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  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Geniès-de-Varensal », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  28. Compoix
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021

Voir aussi

Bibliographie

  • André Soutou, « Le nom de lieu gallo-romain Varensal, commune de St-Geniès de Varensal, Hérault », Bulletin de la Société Archéologique et Historique des Hauts Cantons de l'Hérault, no 12,‎ , p. 45-54
  • André Soutou, « Complément sur le nom de lieu gallo-romain de Varensal », Bulletin de la Société Archéologique et Historique des Hauts Cantons de l'Hérault, no 13,‎ , p. 39-40

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Articles connexes

Lien externe

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