Caucalières est une commune rurale qui compte 285 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Caucaliérois ou Caucaliéroises.
Situé dans le causse de Caucalières la situation géographique de ce village orienté plein sud au pied de la falaise calcaire, semble avoir favorisé un habitat préhistorique, mais les témoignages de ces périodes sont peu nombreux.
Le Thoré, d'une longueur totale de 61,6 km, prend sa source dans la commune de Rieussec et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Navès, après avoir traversé 20 communes[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 956 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mazamet », sur la commune de Mazamet à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 179,1 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 37,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[14]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[15],
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directiveshabitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « causse de Caucalières et Labruguière »[17], d'une superficie de 2 001 ha, un plateau sédimentaire calcaire de plaine (calcaire d'origine lacustre), site exceptionnel pour le Tarn. Il s'agit d'un site à orchidées (de pelouses sèches à humides) tout à fait remarquable. La présence du Lézard ocellé est en outre mentionnée[18].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[19] :
le « causse de Caucalières - Labruguière » (2 478 ha), couvrant 7 communes du département[20].
Urbanisme
Typologie
Au , Caucalières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (69,6 %), forêts (22,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), terres arables (2,4 %), prairies (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Castres-Mazamet, regroupant 10 communes concernées par un risque de débordement de l'Agout et du Thoré, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[24]. Les événements passés les plus significatifs sont les crues du 3 au où l'Agout atteint un débit de 3 000 m3/s au niveau du pont du chemin de fer de la Crémade (aval de Castres), avec des pertes humaines et dégâts matériels importants, et la crue des 12 et où le Thoré a atteint un débit de 900 m3/s à Labruguière, avec 4 victimes. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1995, 1996, 1999, 2003, 2011, 2013 et 2017[26],[22].
Caucalières est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 5],[27].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 61 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 142 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 95 sont en aléa moyen ou fort, soit 67 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].
De l'occitan caucala (Corneille) et suffixe -ièras (terras) ; « terres à corneilles »[32].
Histoire
Les seigneurs de Pins ont administré et conduit ce bourg dès la seconde moitié du XIVe siècle et jusqu'à la Révolution. Caucalières-d'Albigeois, sur la rive droite, est alors distincte de Caucalières-de-Lavaur, sur la rive gauche mais rattaché au village d'Aiguefonde. Les deux entités ne se réunissent qu'en 1947. Une petite unité de filature, installée au bord de la rivière, occupait nombre de salariés dès l'extension des activités liées à l'industrie du textile. Bien que le causse ne soit pas trop fertile, les moutons trouvent leur nourriture sur les plateaux et les combes autorisent la culture du seigle et de l'avoine.
Petits faits d'histoires
Dans les registres paroissiaux de Saint-Jean-Baptiste de Caucalières, on trouve la relation de faits ou d'événements survenus sur le territoire de la paroisse.
BMS 1722-1734 page 33
Un impôt particulier qui perdurera jusqu'à la Révolution
Arrêt du parlement de Toulouse du 18 mars 1619 qui condamne le.. des habitants de la paroisse à payer annuellement au curé quatre mesures de froment pour chaque paire de labourage en conséquence d'une transaction du 22 mai 1324 produite au procès.
BMS 1754-1761 page 34 35
Des relations difficiles entre le curé et sa hiérarchie
Nous Prêtre et curé de Saint Jean de Caucalières certifions a quiconque il appartiendra de l'année 1758 assisté des marguiliers nous aurions fait une quête dans la paroisse pour acheter une hycharpe que le chapitre de Lautrec quoique fruit prenant pour les deux tiers ne voulut pas fournir et nous aurions ramassé la somme de vingt et une livre et quelque sol laquelle somme fut employée a l'achat de neuf pan ? daguet ? de soie à (suit une liste de fournitures et de prix).
De plus nous mimes au fon de cette hycharpe une frange en argent fin qui couta environ 21 livre le tout.........
.....
Facon de l'hycharpe pour qu'on ne s'y méprenne pas.
Elle est d'un droguet en soie blanc de neuf pans de longueur sur 2 pans de largeur avec surpiquet d'argent fin au bord et une belle frange d'argent fin aux deux bouts.. Je susigné certifie que tout ce dessus contient vérité à Caucalière le 16 avril 1760.
signé Boudes curé de Saint Jean de Caucalières
Le surplus de 21 livre a été fourny aux fraix de nous dit curé sans que le chapitre ai rien donné pour cela
signé Boudes Curé
BMS 1769-1775 page 6
Écroulement d'une tour
L'an 1770 et le septième jour du mois de février la tour "dite de Monfalcout" de Caucalières Tomba à 9 heure du soir sans faire mal à personne.
signé Boudes Curé
BMS 1782-1788 page 51
déménagement de l'église
L'église paroissiale de la paroisse Saint Jean de Caucalières située depuis un temps immémorial sur une montagne de roche fort escarpée du côté du nord et à côté du village, a été transférée, dans une grande place près et sur le bord de la rivière de Thoret, et a été bénie le trois du mois d'août 1788
Me André Plasolles curé de la dite paroisse.
Cahiers de doléances
Ci-dessous une transcription (perfectible) du cahier de doléance du tiers état établi par la communauté de Caucalières. Ces doléances seront ensuite reprises en partie dans le cahier de doléance du tiers état de la sénéchaussée de Castres.
Cahier de doléances
Cahier de doléances, plaintes et remontrances de la communauté de Caucalières en Albigeois au diocèse et sénéchaussée de Castres.
Le tiers état de la communauté de Caucalières en Albigeois assemblé en conformité de l'article 28 du règlement fait par Roy pour l'exécution des lettres de convocation aux états généraux du royaume.
Considérant que les auspices sous lesquels la nation va être assemblée annoncent à la France quelle jouira bientôt du bonheur pour lequel Son Roy et ses peuples sont faits.
A unanimement reconnu et délibéré qu'il lui importe de s'adresser au Roy, environné des députés de la nation aux états généraux, pour lui demander par forme ses respectueuses doléances, plaintes et remontrances.
D'assurer à la seule religion catholique apostolique et romaine le libre exercice de son culte public en accordant toutefois a ses sujets non catholiques l'état-civil et les prérogatives des citoyens français.
De faire revivre et exécuter les anciens règlements civils et canoniques qui prohibent la plupart des bénéfices, prescrivent l'obligation de la résidence et détermine l'emploi et le partage des revenus ecclésiastiques
Que les décimateurs soient tenus des réparations, constructions et reconstructions des églises et presbytères et de la fourniture des ornements, vases et nécessaires au service divin, et de tous les objets qui sont relatifs aux fonctions de leur ministère et que tout cazuel soit supprimé
que la dîme ramenée à son institution primitive, ne puisse porter sur les objets qui servent à la nourriture du bétail indispensable à la culture des terres et à leur amélioration, de même sur les bestiaux à laine et que les décimateurs ne percevront pas la dîme sur la semence et que toutes les pailles restent aux propriétaires.
de donner un règlement général sur l'abréviation des procès, la simplification des formes judiciaires, la réforme du code civil et criminel, le rapprochement des justiciables, non seulement des justices ordinaires mais encore des tribunaux de dernier ressort.
de supprimer tous les tribunaux d'exception et l'impôt de la gabelle qu'il a lui-même jugée qui pèse extraordinairement sur son peuple et principalement sur la classe des cultivateurs qui ayant à peine les facilités de se fournir le sel dont ils ont besoin pour eux-mêmes sont dans l'impuissance d'en donner aux bestiaux a qui il est si nécessaire.
De donner un nouveau tarif pour le contrôle, plus simple et moins onéreux au peuple, toujours vexé par une foule de lois fiscales amendées sur cette matière qui ne sont avantageuses qu'aux traitants qui les interprètent toujours à leur gré.
Que le roi sera également supplié pour alléger le fardeau des impositions de toutes nature qui écrasent le cultivateur, d'ordonner que toutes sortes de privilèges y seront assujettis à hauteur de leur revenu.
Que le roi prendra également en considération, que les taxations des receveurs et collecteur absorbent le neuvième des impositions réelles et personnelles et que le besoin du peuple exige que la perception de l'impôt soit simplifiée et moins onéreuse.
De supprimer en conséquence les formalités ruineuses de décrets des biens qui écrasent le redevable qui ne peut pas souvent payer le collecteur qui a été obligé de le poursuivre tandis qu'une procédure sommaire et gratuite faite par les officiers municipaux obvierai à ce double inconvénient lorsque la dette serait relative au paiement des impositions.
D'ordonner que pour l'avantage du commerce et l'agriculture l'argent prêté à terme pourra produire un intérêt réglé par une nouvelle loi.
De dégager le commerce de toutes les entraves que les privilèges exclusifs de certains ports ou ville, et autres obstacles opposent a son activité et au progrès de l'industrie.
De supprimer entièrement les droits de péage sur les rivières, les chemins les propriétaires toutes fois indemnisés et de rendre les douanes aux barrières du royaume.
D'assurer la liberté civile et individuelle de chaque citoyen et de soumettre à l'assemblé générale des états du royaume l'examen de la grande question qui est élevée sur les lettres de cachet ainsi que sa majesté a daigné l'annoncer elle-même par la voix de son ministre.
Que le roi sera instamment supplié de faire connaître à la nation assemblée la somme de la dette nationale.
De fixer a une somme déterminée le montant des pensions et d'arrêter avec la nation assemblée l'état des dépenses à faire dans les différents départements et d'ordonner la responsabilité des ministres.
De consulter la nation assemblée sur la culture du tabac et la marque des cuirs.
De considérer que la milice pesant infiniment sur les campagnes dont elle tyrannise les habitants, et les force à abandonner les lieux qui les ont vus naître pour embrasser une profession qui leur répugne et qui prive l'agriculture d'une foule de bras nécessaire, il serait utile d'adopter une forme moins onéreuse pour cet objet.
D'assurer à la nation le retour des états généraux du royaume a des époques fixés et périodiques dans lesquels dits états généraux on votera par tette et non par ordre.
Que le roi sera supplié de supprimer absolument la commission dite États de la province de la langue d'oc, et d'accorder à la dite province une administration représentative des trois ordres ou les députés qui la compose seront tous élus librement par leur pairs, et que la présidence y soit alternative entre les deux premiers ordres.
Que les administrations secondaires des diocèses ou des municipalités soient modelées sur les mêmes principes.
Que sa majesté sera suppliée de confier a l'administration diocésaine la répartition des sommes que sa munificence destine aux indemnités.
Le présent lieu se trouvant assis sur un causse très aride, pierreux et sans presque aucun arbuste ne pouvant produire aucun fourrage ni récolte est si chargé de tailles que biens reviennent très onéreux aux particuliers c'est pourquoi sa majesté est humblement suppliée de vouloir modérer cet impôt de même que les capitations et industries qui sont très excessives.
De décharger la communauté des habitants du droit appelé promesse qu'ils payent au curé à raison de quatre mesures de blé par labourage comme ce droit étant excessif le onéreux.
De vouloir bien accorder aux habitants du présent lieu de Caucalières un pont sur la rivière le Thoret tel qu'il était autrefois pour pouvoir aller commodément travailler les possessions qu'ils ont au-delà de la rivière.
Tel est le cahier de doléances de la susdite communauté de Caucalières qu'elle a composé de vingt cinq articles
entendre toutefois se borner aux objets qui y sont compris pour qu'elle autorise au contraire ces députés a adopter tous ceux qui pourront mériter leur approbation dans l'assemblée générale de la sénéchaussée.
Fait et arrêté dans le lieu de Caucalières dans l'assemblé générale
de tiers état dont les membres lettrés ont signé ce cinquième mars
mil sept cent quatre vingt-neuf.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2021, la commune comptait 285 habitants[Note 6], en évolution de −3,06 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 194 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (70,4 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 41 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 137, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,9 %[I 11].
Sur ces 137 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 93,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
27 établissements[Note 9] sont implantés à Caucalières au [I 14].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 27 entreprises implantées à Caucalières), contre 26,7 % au niveau départemental[I 15].
La passerelle, emportée par les inondations de 1930, la passerelle primitive est construite en bois maintenue par des fils de fer. Après le désastre, elle est reconstruite en poutrelles d'acier.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )