Il publia avec Cicé les Rapports de l’agence, contenant les principales affaires du clergé, qui se sont passées depuis l’année 1765 jusqu’en l’année 1770, où ils relatent leurs expériences d'agents du clergé.
Sacré le du même mois[9] par Christophe de Beaumont du Repaire, il resta néanmoins chanoine honoraire de la métropole de Paris, assista à l'assemblée du clergé de cette année, et à celle de .
Il commence son épiscopat, en , par un mandement sur le jubilé universel accordé par le pape Clément XIV, et dont il fait l'ouverture solennelle. On rebâtissait alors avec magnificence le grand hôpital de Langres[10] ; il y contribue pour 6 000 livres. Il approuve l'établissement d'une caisse en faveur des incendiés, exhorte ses diocésains à venir à leur secours, et trace un règlement utile sur cet objet. L'évêque, en qualité de pair de France, prend séance au Parlement, en , et, l'année suivante, il prononce dans la métropole de Paris l'oraison funèbre de Charles-Emmanuel III, roi de Sardaigne[8], et l'année suivante, toujours à Notre-Dame, celle de Louis XV[5].
Il ordonne, en , dans tout le diocèse, un service solennel pour le feu roi Louis XV. Il obtient un arrêt du Conseil autorisant la création d'un petit séminaire pour les élèves de philosophie seulement, lequel est établi dans la maison occupée par les étudiants en théologie, mais formant une communauté à part[8],[11].
De concert avec les magistrats de Chaumont, il établit les Doctrinaires au collège de cette ville[12].
Le jubilé accordé par Pie VI, est publié par le prélat qui fait imprimer, en , le nouveau Cérémonial du culte à l'usage de son diocèse[Note 2]. Les étrangers étaient édifiés du bel ordre, de la symétrie, de l'uniformité, de la décence et de la majesté des cérémonies religieuses qu'il avait introduites au séminaire[12].
Le prélat, qui avait toujours eu les plus grands égards pour ses chanoines, fait avec eux un accord sur un procès intenté contre son prédécesseur relativement à la portion qu'il devait payer pour la construction des tours et du portail de la cathédrale Saint-Mammès de Langres. Pour cela une des forêts de l'évêché est cédée au chapitre[13].
Il remit, en , son abbaye de Mortemer, et fut nommé à celle de Bourgueil[14],[15] (diocèse d'Angers). Il publia diverses Ordonnances et Lettres pastorales« dignes de son talent et de ses vertus évangéliques[7] ».
L'évêque convoqua à Langres un synode général le [16]. De la chapelle du séminaire, désignée pour tenir cette assemblée, environ cinq cents ecclésiastiques, en habit de chœur et avec l'étole, se rendent processionnellement à l'église cathédrale où le pontife célèbre la messe solennelle du Saint-Esprit : on revient dans le même ordre pour ouvrir la première séance. Ce fut particulièrement dans ce synode qu'on découvrit toute l'étendue de la science, du talent, de l'érudition, de la sagacité et de la supériorité de lumières du prélat qui acheva de gagner la confiance et l'affection de ses coopérateurs[16].
Dès ce moment, enflammé d'une nouvelle ardeur, il se voue tout entier à l'édification, à l'instruction et au bien de ses diocésains. Il forme le projet de leur donner une liturgie nouvelle, complète, uniforme, et y travaille avec assiduité. Les personnes éclairées qui avaient eu connaissance de son plan, et de quelques parties déjà exécutées, en parlaient avec admiration : la Révolution française mit fin à ce projet[16].
En , il met tous ses soins à former les jeunes ecclésiastiques au talent et au ministère de la parole. Il établit dans son séminaire une chaire d'éloquence chrétienne[16]. Les étudiants en théologie passaient les deux premières années en pension chez des particuliers de la ville : la dissipation à laquelle ils étaient exposés, pouvait devenir nuisible et quelquefois funeste à leur vertu : La Luzerne supprime d'abord une de ces années, et ensuite toutes les deux : le cours de théologie fut fixé à trois ans, passés dans l'intérieur du séminaire, pour lequel il donne des « règlements dictés par la sagesse[17] ».
Vers , pour l'entretien et la décoration de la cathédrale, La Luzerne fait la réunion à la fabrique de Saint-Mammès de toutes les chapelles de l'église cathédrale, laissant seulement aux « bénéficiers actuels » la faculté de résigner encore une fois seulement[17]. L'année suivante, il fait publier dans toutes les paroisses de son diocèse, son Instruction pastorale sur l'excellence de la Religion.
La veille de la Révolution, l'évêque faisait bâtir à grands frais une aile du magnifique château de Mussy-sur-Seine : il fait aussi des réparations très considérables au palais épiscopal de Langres, abandonné depuis longtemps, et qu'il avait résolu d'habiter ; mais il n'y coucha que la veille de son départ pour une terre étrangère[18].
La décision rendue sur la double représentation du tiers, et le vote par tête qui en devenait le résultat inévitable, lui arrachèrent cette exclamation prophétique : « Tout va se perdre! » et, dès lors, il se rangea parmi les orateurs qui opinèrent pour l'établissement d'un système représentatif semblable à celui que la charte de 1814 a consacré depuis[9]. S'étant aperçu des suites qu'auraient les premières opérations du tiers-état[7], il fit distribuer, le , aux députés du clergé un Mémoire demandant la permanence de la distinction des trois ordres par l'établissement de deux Chambres. Mirabeau réfuta vivement cette idée de Chambre haute et de Chambre basse, la première étant une menace ou une défense contre la seconde. Battu sur ce point, La Luzerne demanda d'accorder 300 députés de plus à la noblesse et autant au clergé. Cette proposition ne fut pas mieux accueillie, et Mirabeau la combattit encore dans ses Lettres à mes commettants[5].
« La situation de la France exigeait de grands sacrifices. Mgr de La Luzerne appuya de son vœu tous ceux qu'on pouvait attendre de son ordre. Dévoué à son pays autant qu'au caractère sacré dont il était revêtu, rien n'eût coûté à son cœur généreux pour prévenir les maux dont l'épuisement des finances menaçait la monarchie. Ce fut par ce noble sentiment qui dirigeait toutes ses vues vers le bien public, que Mgr de La Luzerne s'opposa à la publication de cette fastueuse déclaration des droits de l'homme, laquelle, en exaltant d'un fol enthousiasme une multitude de citoyens jusqu'alors paisibles, a porté tant de gens à fouler aux pieds les plus saints des devoirs. La Luzerne se prononça en faveur du veto absolu, sans lequel le chef de l'état ne pouvait avoir ni pouvoir, ni volonté.[9] »
— Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France
Mgr de La Luzerne présida l'Assemblée constituante en ; mais, attaché aux privilèges de son ordre, il se retira dans son diocèse après les événements des 5 et 6 octobre.
Le [Note 3], M. de La Luzerne, avait fait passer à ses diocésains, sur l'invitation du roi, un Mandement par lequel il les exhortait « à rester dans les bornes du devoir, à respecter le Souverain, à se tenir en garde contre les insinuations perfides des ennemis du bonheur public, et à détester l'anarchie[18] ». Malade et fort troublé de tout ce qu'il prévoyait, il envoya sa démission le , par la lettre suivante :
« Clairvaux, le 2 décembre 1789. Monsieur le président, retenu depuis six semaines par une maladie douloureuse, affaibli par la violence de mes maux, incertain de leur terme, perdant l'espérance d'être de longtemps en état d'aller reprendre mes fonctions, je me détermine enfin avec une peine bien sensible à me démettre de la commission aux états-Généraux qui m'avait été donnée par le bailliage de Langres ; je vous supplie de présenter à l'Assemblée nationale mes regrets bien vifs de ne pouvoir plus coopérer à ses travaux et ma respectueuse reconnaissance des bontés dont elle m'a honoré. Je suis avec respect, Monsieur le président, votre très humble et obéissant serviteur, »
Depuis son diocèse, il adhéra à l'exposition des principes des trente évêques, refusa le (), de coopérer à la suppression de son chapitre, et, le , il adressa aux administrateurs de la Haute-Marne une Lettre énergique qui réclamait contre leurs arrêtés, et rendait compte de ses principes[7]. Il adressa encore d'autres lettres, non moins « courageuses[7] », et qui combattaient les principes du jour, savoir, aux officiers municipaux de Langres, sur son refus de prêter serment à la constitution civile du clergé[15] ; à M. Becquey, procureur-général et syndic du département, qui répliqua, et auquel le prélat fit une réponse « victorieuse[7] ». On imprime, la même année , un ouvrage théologique du Prélat, gros vol. in-4.° à deux colonnes, intitulé : Instructions sur le Rituel de Langres[18]. Cet ouvrage, qui devait servir de règle aux pasteurs, comme ministres des sacrements, faisait le complément du Rituel administratif qui devait paraître ensuite[19]. Il publia aussi un Examen de l'instruction de l'Assemblée nationale sur l'organisation prétendue civile du clergé.
Sur la fin de et au commencement de , La Luzerne est gravement inculpé à l'occasion de la nouvelle constitution du Clergé : on prend contre lui des mesures sévères. Pour sa justification, ce prélat fait imprimer plusieurs ouvrages polémiques, mais d'une grande force de raisonnement : des répliques et des diatribes sont aussi imprimées. « Dans l'impuissance de le vaincre », on fait brûler ses ouvrages[19]. Le , il fait imprimer une Instruction aux curés et aux autres prêtres de son diocèse qui n'avaient pas prêté le serment par laquelle il leur donne des pouvoirs extraordinaires pendant la durée du schisme. Cette instruction fut adoptée par trente-trois évêques français. Dans son Instruction pastorale sur le schisme de France (réimprimée à Langres en ), il parla « à fond » sur les principales matières contestées.
Cette courageuse résistance[7] ne pouvait que redoubler les persécutions. On le priva de son évêché : bientôt il fut obligé de quitter la France.
Émigration
Il émigra, d'abord en Suisse, et de là à Constance[7], où il prêcha, le jour de Pâques , un sermon sur les causes de l'incrédulité (publié en ). Il séjourna plusieurs années dans cette ville, et y accueillit les prêtres de son diocèse émigrés comme lui. Il en avait toujours douze à sa table, et vendit, pour remplir cette œuvre de charité, jusqu'à ses boucles d'or et sa croix épiscopale[7].
S'étant rendu en Autriche, auprès de son frère César Henri, qui demeurait à « Berneau, près de Wels » (Braunau am Inn ?), il y resta jusqu'à la mort de cet ancien ministre arrivée en [7]. Il resta auprès de sa famille jusqu'au retour de celle-ci pour la France en .
Il passa alors en Italie et se fixa à Venise[20]. Là, en visitant et en soignant les prisonniers de guerre français dans les hôpitaux, il contracta le typhus et faillit en mourir[5]. Lors de son séjour dans la « Sérénissime », il s'occupa aussi de la rédaction de ses nombreux ouvrages[21].
À la suite du concordat de 1801, et à la demande du pape Pie VII[21], il donna sa démission de son siège de Langres. La Luzerne exprima, dans une lettre pastorale du , ses vœux pour le rétablissement du culte, et son adhésion au nouveau concordat passé entre le Saint-Siège et le gouvernement français[9].
Il rentra en France en , après la chute de Napoléon Ier (selon Feller[21]). Son passage par Langres fut un triomphe[21]. (Une erreur classique veut qu'il soit rentré en France vers . Cette erreur récurrente est due au fait que son neveu portait le même nom que lui : César-Guillaume de La Luzerne. Le comte de La Luzerne, César-Guillaume, est effectivement rentré en France avec sa famille en à la suite du Sénatus-consulte du 6 floréal an X () qui accorde l'amnistie générale aux émigrés).
Il se consacra alors à l'étude et à la retraite et prêcha plusieurs fois avec un grand succès[5]
Lors du retour de l'île d'Elbe de « Bonaparte » en France, il ne quitta point Paris, et ne fut pas inquiété.
Au retour de Gand, ayant été présenté par le roi, il fut élevé au cardinalatpar le pape Pie VII et reçut la barrette rouge lors du consistoire du (La Luzerne ne recevra jamais de titre cardinalice). Quoique La Luzerne eût pu, comme d'autres anciens évêques, obtenir un archevêché, il préféra son siège de Langres ; mais de nouvelles négociations entamées avec la cour de Rome l'empêchèrent de se rendre à son diocèse[21]. Le diocèse de Langres avait été rétabli le et il en fut à nouveau nommé évêque le , mais sa nomination ne prendra pas effet[15].
À cette époque, il fut le seul prélat admis dans le conseil des ministres, tenu pour discuter le concordat de 1817 ; peu de temps après, le roi le nomma ministre d'État. Il fit aussi partie de l'Assemblée des évêques concernant le même concordat, et signa les lettres qu'on adressa au pape et au roi. On le croit auteur de celle écrite à Louis XVIII, en , signée par plus de trente évêques, qui y réclamaient l'exécution dudit concordat[21].
Il s'éleva, dans la Chambre des pairs, ainsi que trois autres évêques, membres de la même chambre, par une déclaration publique, le , contre le refus de mentionner dans un projet de loi la répression des outrages faits à la religion[21].
Malgré son âge avancé et ses infirmités, La Luzerne, partageait son temps entre l'étude et les exercices de piété. Il se levait à quatre heures du matin, et observait un régime austère. Depuis longtemps, sa santé dépérissait. Attaqué d'une maladie qui a duré cinquante-cinq jours, sentant approcher sa dernière heure, il réclama aussitôt les secours de la religion, et les reçut en présence de sa famille, à laquelle il adressa une pieuse exhortation[21]. La Luzerne conserva toute sa présence d'esprit, jusqu'au moment de sa mort, arrivée le , à l'âge de 83 ans. Son corps a été scellé dans un cercueil de plomb et déposé à côté de celui de l'abbé Legris-Duval, dans un caveau de l'église Saint-Joseph-des-Carmes, rue de Vaugirard à Paris[15]. Gabriel Cortois de Pressigny, archevêque de Besançon, a prononcé à la Chambre des pairs l'Éloge de M. le cardinal de La Luzerne. Cet éloge a été inséré dans le Moniteur du [24].
Œuvres
La Luzerne a publié un grand nombre de discours et d'ouvrages. On a de lui, outre les écrits déjà indiqués[25],[26],[27] :
Instruction pastorale sur l'excellence de la religion, Langres , , in-12 ; ibid., ; Paris, société typographique, ; Blaise et Potel, , Lyon, Rusand, -;
Traduit en italien par Gio. Prodoscimo Zabeo, Venise, , in-8°; ibid., Carti, [28].
Institutions sur le rituel de Langres, Besançon, Couché (sans date) ; , in-4°; Paris, Méquignon fils aîné, , in-4°;
Examen de l'instruction de l'Assemblée nationale, sur l'organisation prétendue civile du clergé, , 70 pages ;
Considérations sur divers points de la morale chrétienne, Venise, Carti, , 5 vol. in-12; Lyon, , 4 vol. in-12 ;
Dissertation sur la spiritualité de l’âme, et sur la liberté de l'homme ;
Instruction pastorale sur le schisme de France, Langres, Laurent Bournot, 1805 (Nlle édition).
Explication des évangiles des dimanches et des fêtes, Venise, Méquignon, , 5e éd. (1re éd. 1807) (lire en ligne) ;
↑La maison de La Luzerne tire son nom d'une terre avec paroisse, située entre Avranches et Granville, à deux lieues et demie au nord-ouest de la première ville, et possédée, au XIe siècle, par Thomas de La Luzerne, chevalier, qui, en , accompagna Robert, duc de Normandie, à la conquête de la Palestine.
↑Fruit des observations de Hubert Caublot, né à Poinson-lez-Nogent, l'un des directeurs du séminaire, et qui a aussi composé un livre très-estimé et très-applaudi, même des musiciens, intitulé : Principes du chant.
↑On trouve dans une petite brochure de la même époque :
« Monsieur l’Évêque (de Langres) n'était pas de la majorité du Clergé. Comment donc a-t-il été élevé à l'honorable et délicat emploi de président ? Ce qu'il y a de certain, c'est qu'il a été obligé de se démettre de la présidence. M. de La Luzerne n'était pas de la majorité du Clergé, et il a été porté à la présidence par l'immense majorité des voix de l'assemblée, et l’Évêque d'Autun, coryphée de la majorité du Clergé, en a obtenu à peine moitié moins. C'est que l'un était estimé généralement, et que l'autre ne l'était pas. M. de La Luzerne n'a occupé le fauteuil que huit jours, et l'a quitté spontanément malgré les instances qu'on lui faisait ; et, immédiatement après les trop fameuses journées des 5 et 6 octobre 1789, il quitta tout à fait l'assemblée pour revenir dans son diocèse où il prévoyait que sa présence était plus nécessaire qu'à Paris. Nul doute qu'il ne prévit aussi la chute immanquable du trône et par conséquent celle de l'autel, qu'aucun effort humain ne pouvait empêcher. »
— Jean-Baptiste-Joseph Mathieu, Abrégé chronologique de l'histoire des évêques de Langres
↑L'Almanach historique de la ville et du diocèse de Langres pour l'année porte : « Le petit Seminaire, érigé par arrêt du Conseil, du 22 septembre 1674, à la sollicitation de M. de Cordes, évêque de Langres. Ou y enseigne la philosophie. »
« À l'expérience des vieillards, dit l'Ami de la religion et du roi, (tome 28, p. 232), il joignait la vivacité de la jeunesse et la piété la plus vraie ; il pratiquait la vertu simplement ; après avoir étonné par ses connaissances et sa mémoire les gens les plus instruits, il étonnait encore plus dans l'intimité par sa gaieté franche. Il aimait les enfants et en était aimé. Excellent ami, patriarche de sa famille, il fut constamment sujet fidèle, prélat attaché à ses devoirs, écrivain laborieux, et défenseur zélé des principes de la religion et des droits de l'Église. Il a rempli avec honneur une longue carrière, et laisse au-dedans et au-dehors de son diocèse le souvenir de ses qualités et de ses services. »
↑Œuvres complètes du cardinal de La Luzerne : évêque de Langres, Pair de France, Député aux États généraux, ministre d'État etc, etc, des près d'une tiers d'ouvrages inédits et reproduits d'après des manuscrits autographes ou faits par les ordres de l'auteur, précédés d'une préface critique et biographique, Paris, Abbé J.-P. Migne, 1855, cols. 1163-1170, en 6 vol. (lire en ligne)
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Jacques-Alphonse Mahul, Annuaire nécrologique, ou Supplément annuel et continuation de toutes les biographies ou dictionnaires historiques, 2e année, 1821, Paris : Ponthieu, 1822, p. 265-268[1]
« De La Luzerne (César-Guillaume, cardinal duc) », dans Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. VII, [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 231-234 ;
François-Xavier Feller, Dictionnaire historique : ou histoire abrégée de hommes qui se sont fait un nom par leur génie, leurs talens, leurs vertus, leurs erreurs or leurs crimes, depuis le commencement du monde jusqu'à nos jours, vol. 9, Méquignon-Havard, , 7e éd. (lire en ligne), p. 500-503 ;
Jean-Louis-Marie Dugast De Bois-Saint-Just, Paris, Versailles et les provinces au dix-huitième siècle : Anecdotes sur la vie privée de plusieurs Ministres Évêques Magistrats célèbres hommes de lettres et autres personnages connus sous les règnes de Louis XV et Louis XVI, t. II, Paris, Nicolle, , p. 279 ;
Chapeau, O.S.B. André & Fernand Combaluzier, C.M. Épiscopologe français des temps modernes, 1592-1973, Paris, Letouzey et Ané, 1974, p. 361-362
Ritzler, Remigium, & Pirminum Sefrin, Hierarchia Catholica Medii et Recentioris Aevi. Voulmen VI (1730-1799). Patavii : Typis et Sumptibus Domus Editorialis "Il Messaggero di S. Antonio" apud Basilicam S. Antonii, 1968, p. 263
Ritzler, Remigium, & Pirminum Sefrin Hierarchia Catholica Medii et Recentioris Aevi. Voulmen VII (1800-1846). Patavii : Typis et Sumptibus Domus Editorialis "Il Messaggero di S. Antonio" apud Basilicam S. Antonii, 1968, p. 13.
Jean-Baptiste-Joseph Mathieu, Abrégé chronologique de l'histoire des évêques de Langres, Impr. de Laurent fils et Cie, (lire en ligne) ;