Il assiste aux assemblées du clergé de , de et de , et paraît faire cause commune avec ses collègues pour la défense des droits et des décisions de l'Église.
Rastignac montre un attachement très vif aux constitutions des papes, et n'omet rien pour réduire les opposants dans son diocèse. Benoît XIII le loue pour son zèle par un bref du . Lors de la publication du livre du père Pichon, il donne successivement, en et , trois instructions pastorales, destinées à combattre les principes des Jésuites. Les deux premières, sur la pénitence et la communion, sont déjà critiquées par les Jésuites, mais c'est la troisième instruction pastorale du qui provoque le plus de bruit. Elle roule sur la justice chrétienne, par rapport aux sacrements de pénitence et d'eucharistie.
Sur les plaintes qui s’élèvent, le cardinal de Rohan réunit quelques évêques pour faire expliquer par l'archevêque de Tours son instruction. C'est au milieu de cette dispute que Rastignac meurt en .
Source
Notice historique et généalogique sur la Maison Chapt de Rastignac, 1858, Paris, imprimerie de A. Wittersheim, 176 pages, p. 80-93, lire en ligne