Braud-et-Saint-Louis

Braud-et-Saint-Louis
Braud-et-Saint-Louis
La mairie sur la place de la Libération.
Blason de Braud-et-Saint-Louis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes de l'Estuaire
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Michel Rigal
2020-2026
Code postal 33820
Code commune 33073
Démographie
Gentilé Braudiers, Braudières
Population
municipale
1 510 hab. (2021 en évolution de −1,37 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 55″ nord, 0° 37′ 26″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 29 m
Superficie 49,24 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Estuaire
Législatives Onzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Braud-et-Saint-Louis
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Braud-et-Saint-Louis
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Braud-et-Saint-Louis
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Braud-et-Saint-Louis
Liens
Site web www.mairie-braud.fr

Braud-et-Saint-Louis est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation et accès

La commune est située dans le Blayais, au bord de l'estuaire de la Gironde.

Sur le territoire de la commune est installée la centrale nucléaire du Blayais.

Communes limitrophes

Les communes de Saint-Estèphe et Pauillac sont sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde[1].

Hydrographie

La commune est au confluent de la Livenne avec l'estuaire de la Gironde.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Littoral charentais et aquitain » et « Aquitaine, Gascogne »0[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pauillac à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

Typologie

Au , Braud-et-Saint-Louis est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

La commune, bordée par l'estuaire de la Gironde, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux maritimes (25,9 %), prairies (24,8 %), terres arables (15,5 %), zones humides intérieures (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), cultures permanentes (4,6 %), forêts (2,7 %), zones humides côtières (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), zones urbanisées (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Braud-et-Saint-Louis est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Livenne et la Ceinture. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2009[18],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Braud-et-Saint-Louis.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 73,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 832 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 668 sont en aléa moyen ou fort, soit 80 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2009 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques

La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 1]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 2],[22],[23].

Histoire

Une cachette de fondeurs a été signalée et décrite par François Daleau en 1913 au lieu-dit Moulin-Neuf[24].

Au cours du XVIIe siècle, les marais sont asséchés sur ordre du gouverneur de Blaye, le duc de Saint-Simon, afin de créer des villages et des terres agricoles.

En l'An VI, les petites communes de Braud et de Saint-Louis fusionnent pour former la nouvelle commune de Braud-et-Saint-Louis.

En 1942, l'Opération Frankton passe par la commune de Braud-et-Saint-Louis. Un mémorial en l'honneur des membres du raid est présent sur la commune à proximité du Port des Callonges.

Héraldique

Blason de Braud-et-Saint-Louis

« Écartelé au 1) d’azur à la centrale de deux tranches nucléaires sur une terrasse de sinople et une piste au naturel, au 2) d’or à la botte d’asperge au naturel en pal et à la grappe de raisin de gueules en fasce, brochante, tigée et feuillée d'une pièce de sinople à senestre, au 3) d’or au poisson ployé soudé d’argent senestré en chef d’un canard colvert de tenné essorant, au 4) d’azur à l’église d’or, portail à dextre et clocher à senestre, couverte, ouverte et ajourée d’argent, derrière une halle du même soutenue par des piliers au naturel, le tout brochant sur une champagne cousu de sinople[25]. »

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1797 Joseph Peyreau    
1797 1798 André Charron    
1798 1800 Pierre Thibaud    
1800 1826 Arnaud Jonas    
1826 1845 Antoine Xavier Dupond    
1845 1846 Pierre Justin Fourcade    
1846 1852 Pierre Baron    
1852 1877 Alexis Edouard Dupond    
1877 1892 Jean Eugène Serpaud    
1892 1894 Antoine Georges Edouard Dupond    
1894 1908 André Tessier    
1908 1910 Victor Neveu    
1910 1912 Emile Tessier    
1912 1925 Louis Largeteau    
1925 1941 Jean Moulinaud    
1941 1944 Firmin Giraud    
1944 1947 Gilbert Gay    
1947 1982 Kléber Marsaud    
1982 1983 Daniel Rivière    
1983 2001 Michel Ninaud    
mars 2001 En cours Jean Michel Rigal DVG Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[26].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 1 510 habitants[Note 3], en évolution de −1,37 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2009981 0431 2191 4751 3031 4631 4421 616
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5941 4841 4541 4271 3601 3911 3731 2471 261
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2781 2501 2691 1521 1721 0581 1521 1001 082
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0301 0419911 7531 2601 3051 3271 3461 385
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5311 5001 510------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

Église Saint Saturnin

L'église, vue depuis l'ancien presbytère

L'église Saint-Saturnin a été construite en 1898 après la destruction de la précédente église pendant la Révolution. À proximité de l'église se dresse la Colonne des Naufragés, ex-voto dressé par des marins nordiques rescapés d'un naufrage au début du XVIIe siècle.

Terres d'oiseaux

Vue depuis la tour d'observation
Les marais bordant l'estuaire de la Gironde.

Terres d'oiseaux est un sanctuaire ornithologique de 120 hectares situé à proximité du port des Callonges, au nord de la commune (à la limite de la commune de Saint-Ciers-sur-Gironde). Établi au cœur des prairies humides qui bordent l'estuaire de la Gironde, sur une des plus importantes voies de migration de France, il est fréquenté par plusieurs centaines d'oiseaux : aigrettes garzette, hérons pourprés, milans noirs, martins-pêcheurs, tadornes de belon, busards des roseaux viennent y nicher, y hiverner ou s'y reproduire.

Plusieurs sentiers ont été aménagés à travers les marais, agrémentés de panneaux explicatifs, de plates-formes d'observation et de plusieurs abris mis en place de façon à pouvoir regarder les oiseaux en toute quiétude. Les visiteurs passent successivement d'un écosystème à un autre : prairies humides, lacs, roselières ou encore bords d'estuaire, chacun abritant des espèces d'oiseaux spécifiques. Si une tour d'observation de dix mètres de haut est en accès libre, à proximité du parking, l'accès au reste du site est payant. La maison de « La Métairie » est la « porte d'entrée » du parc : on y trouve la billetterie, mais aussi un salon de thé et une boutique de souvenirs. Le site compte également un restaurant gastronomique, « Le Marainaud »[31].

Domaine de La Paillerie

Domaine de La Paillerie

Bâti en 1727, le Domaine de La Paillerie dispose d'une maison de maître et de ses dépendances. Autrefois, le domaine servait de distillerie.

Ce dernier est en cours de rénovation depuis 1995 afin de redonner une nouvelle vie à la bergerie, du pigeonnier, de la maison de maître.

Jumelages

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  2. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. a et b Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Braud-et-Saint-Louis et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Braud-et-Saint-Louis ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Braud-et-Saint-Louis », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Braud-et-Saint-Louis », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  24. François Daleau, Cachette de fondeur du Moulin-Neuf, Bordeaux, Société Archéologique de Bordeaux, , 23 p. (lire en ligne).
  25. Armes utilisées sur le site officiel de la commune dès 2012 et, antérieurement, pour les affranchissements mécaniques de la mairie : voir « 33 073 - Braud-et-Saint-Louis (Gironde) », sur armorialdefrance.fr, .
  26. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. http://www.cc-estuaire.fr/cce_ot/fr/index.php/content/view/123/183/ Le site ornithologique Terres d'Oiseaux, site de l'office de tourisme intercommunal de Saint-Ciers-sur-Gironde
  32. Annuaire des villes jumelées