La station est ouverte le comme terminus méridional de la ligne 14. Elle conserve ce rôle jusqu'au , date de la mise en service du prolongement à Olympiades. Le , la station est mise en correspondance avec la nouvelle gare du RER C, dont l'ouverture entraîne l'abandon de l'ancienne gare du boulevard Masséna. Les derniers accès (3, rue René-Goscinny et l'ascenseur débouchant rue Primo-Levi) sont ouverts depuis le .
La station possède quatre accès principaux (nos 1 à 4, accès à la salle d’échanges RER C + ligne 14) donnant accès par un ascenseur et par des escaliers mécaniques à la rue du Chevaleret, l'avenue de France, la rue Goscinny et la rue Neuve-Tolbiac.
Un accès secondaire est situé au bout de l’avenue de France à l’intersection de la rue des Grands-Moulins (no 5).
Accès no 1 « Rue du Chevaleret »
Accès no 2 « Avenue de France » (desservi aussi par ascenseur conjointement avec sortie 3)
Accès no 3 « Rue René-Goscinny » (desservi aussi par ascenseur conjointement avec sortie 2)
Accès no 4 « Pont de Tolbiac »
Accès no 5 « Rue des Grands-Moulins » (accès par la gare RER)
Quais
Les quais sont de configuration standard : au nombre de deux, ils sont séparés par les voies situées au centre.
Architecture
Ouverte en 1998 en même temps que la ligne, l'architecture de la station est l'œuvre d'Antoine Grumbach, un architecte différent des autres concepteurs des stations de la ligne 14.
Dans la salle d'échanges métro-RER, les marches d'un escalier en arc de cercle sont gravées de lettres des différentes écritures utilisées par l'humanité. Le volume exceptionnel de cette salle d'échange a été rendu possible car la station a été construite et non creusée.
Disséminés un peu partout dans la station, 180 médaillons sont gravés de phrases reflétant l'universalité des cultures.
Sur les plans de la ligne 14, la RATP indique la correspondance avec la station Avenue de France de la ligne T3a du tramway, située à plus de 550 mètres de l'accès le moins éloigné.
↑Le nombre de stations au 31 décembre de l'année n'inclut pas la station fictive Funiculaire de Montmartre. Cette dernière est en effet considérée comme une station de métro par la RATP et rattachée statistiquement à la ligne 2, ce qui explique pourquoi la RATP annonce exploiter une station en plus.