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Agnès Sorel, née vers 1422 et morte le au Mesnil-sous-Jumièges, est une demoiselle d'honneur d'Isabelle Ire de Lorraine, épouse de René d'Anjou. Elle devient en 1443 la favorite du roi de France Charles VII, à qui elle donne trois filles qui seront légitimées comme princesses de France et mariées à des grands seigneurs de la cour. Elle meurt avant l'âge de vingt-huit ans, après avoir donné naissance à une quatrième fille qui n'a pas survécu[1].
Agnès, issue d'une famille noble d'ancienne extraction, a quatre frères : Charles (né avant 1428), écuyer d'hôtel du roi ; Louis, écuyer ; André, chanoine à Paris (1452), et Jean, seigneur de Saint-Gérand. Certains membres de la famille ne sont pas inconnus des historiens : Geoffroy Soreau, son frère ou son cousin, plus probablement son oncle, fut évêque de Nîmes de 1450 à 1453, puis de Châlons de 1453 à 1503, et Jean de Maignelay, capitaine gouverneur de Creil[Note 4].
Issue donc de la petite noblesse, c’est en Picardie qu’elle reçut une éducation soignée. On pense qu'elle aurait vécu au château de Maignelay-Montigny et que, selon l'usage qui était d'envoyer les jeunes demoiselles parfaire leur formation dans la haute aristocratie, on la prépara à occuper à la cour la charge enviée de demoiselle de compagnie d'Isabelle, duchesse de Lorraine, reine de Sicile et femme du roi René, beau-frère de Charles VII. Cette charge n'était pas convoitée pour les avantages matériels qu’elle procurait : Agnès Sorel, placée à la cour de Lorraine vers l'âge de quinze ans, ne recevait que dix livres par an, contrairement à d'autres demoiselles de cette cour, telle Catherine de Serocourt, cousine de Jean de Serocourt, capitaine de Tarascon, qui se voyait octroyer la somme de quinze livres tournois[3]. Elle lui était destinée dès son plus jeune âge du fait de sa naissance et des recommandations dont elle bénéficiait.
Selon les commentateurs, qui s'appuient sur les chroniques de Monstrelet ou de Jean Chartier, la rencontre entre la jeune femme et le roi, impressionné par sa beauté, a lieu à Toulouse le , lorsque Charles reçoit en grand cérémonial son beau-frère René et Isabelle de Lorraine dans la suite desquels Agnès paraît pour la première fois, ou bien à Saumur en [4],[5].
À la cour
Le roi de France, Charles VII, de vingt ans son aîné, la fait entrer au service de la maison angevine en 1444 pour la rapprocher de lui. Officiellement, elle est demoiselle de la maison de la reine Marie d'Anjou.
Après avoir cédé à la cour de Charles VII, elle passe au rang de première dame officieuse du royaume de France puis gagne rapidement le statut de favorite officielle, ce qui est une nouveauté : les rois de France avaient jusque-là des maîtresses mais elles devaient rester dans l'ombre. Charles VII a d'ailleurs eu d'autres maîtresses, mais elles n'ont pas eu l'importance d'Agnès Sorel.
C'est durant le séjour de Charles VII à Nancy, capitale du duché de Lorraine, lors de fêtes royales vers la fin de l'année 1444, que le roi joute pour sa belle lors d'un tournoi. Il affiche à cette occasion sa maîtresse officielle qui fait sensation en apparaissant le dernier jour revêtue « d'une armure d'argent incrustée de gemmes »[6].
Son art de vivre et ses extravagances rejettent la reine dans l’ombre. Les voiles et autres guimpes sont abandonnés. Elle invente le décolleté épaules nues[Quoi ?], qualifié de « ribaudise et dissolution » par quelques chroniqueurs religieux de l’époque. De vertigineuses pyramides surmontent sa coiffure. Des traînes allant jusqu’à huit mètres de long allongent ses robes bordées de fourrures précieuses : martre ou zibeline. Elle met à la mode chemises en toile fine, colliers de perles. Elle traite sa peau avec des onguents faisant office de peeling, une crème[Note 5] contre les rides tous les matins et des masques au miel pour la nuit[7]. Elle se maquille avec un fard à base de farine et d'os de seiche pilés qui lui donne un teint d'albâtre très prisé à l'époque, se met du rouge à lèvres à base de pétales de coquelicots, ce qui est condamné par les prédicateurs du Moyen Âge[8]. Elle se fait épiler les sourcils et les cheveux sur le haut du front, ce dernier étant devenu le pôle érotique du corps de la femme à cette époque[6]. Il ne s'agit pas de la « mode florentine » pour se donner un front plus bombé, mais pour équilibrer ses traits car elle a de très grands yeux disproportionnés par rapport à son visage[9]. Rien qu’en 1444, le roi lui offre vingt mille six cents écus de bijoux dont des diamants taillés dont elle est la première à parer sa coiffure si l'on en croit les chroniqueurs de l'époque[10].
Pour se procurer ces atours précieux, elle devient la meilleure cliente de Jacques Cœur, marchand international (qui importe du Levant des étoffes de luxe inédites en Europe en contrevenant aux prescriptions de l'Église) et argentier du roi, qui a amassé des trésors dans son palais de Bourges. Elle consomme de grandes quantités d'étoffes précieuses et toutes les femmes de la cour l’imitent.
Agnès Sorel sait jouer de son influence auprès du roi. Elle lui impose ses amis ou s'acquiert la faveur des conseillers de la Couronne, qui voient en elle le moyen de s’assurer la bienveillance royale, tels Pierre de Brézé, Étienne Chevalier, Guillaume d'Estouteville, Guillaume Cousinot, Prigent VII de Coëtivy ou Jacques Cœur[11]. C’est grâce à ces manœuvres que le roi, en l'espace de quelques mois, lui octroie les fiefs de Beauté (d’où le surnom bien connu de « Dame de Beauté »), Vernon, Issoudun, Roquesezière et lui offre le domaine de Loches. Elle y fait aménager le château qui surplombe la ville.
Le dauphin Louis, futur Louis XI, ne supporte pas la relation d’Agnès avec son père. Il estime que sa mère est bafouée et a de plus en plus de mal à l'accepter. Un jour il laisse éclater sa rancœur et poursuit, l’épée à la main, l’infortunée Agnès dans les pièces de la maison royale. Pour lui échapper, elle se réfugie dans le lit du roi. Charles VII, courroucé par tant d’impertinence, chasse son fils de la cour et l’envoie gouverner le Dauphiné.
Vie avec le roi
Agnès Sorel a plusieurs enfants avec le roi. Elle dispose de plusieurs demeures où elle vit avec ses suivantes : à Razilly près de Chinon, dans sa résidence de Loches (le logis Royal de Loches), à Beaulieu la ville voisine de Loches où elle s'installe au château ouvert de Courcelles (Loiret), à Dames près de Mehun-sur-Yèvre. Croyante, elle fait régulièrement des pèlerinages et des offrandes à l'Église, favorisant les chanoines de Loches. Elle donne au roi trois filles[12] , les « bâtardes de France » (puisque nées hors mariage), mais qu'il légitime et qu'il dote richement, par ordre de primogéniture[13] :
Une fille née prématurément le et morte le même jour au manoir du Mesnil près de Jumièges en Normandie.
Ces naissances font écrire aux moralistes Thomas Basin et Jean Jouvenel des Ursins qu’Agnès est responsable du réveil sensuel de Charles VII. Ils jugent sévèrement sa liberté de mœurs et l’accusent de faire de ce roi « chaste » un roi débauché, entièrement soumis à ses maîtresses.
Mort
Sitôt installée par Charles au Manoir de la Vigne au Mesnil-sous-Jumièges près de Rouen, elle est soudainement prise d'un « flux de ventre » selon Jean Chartier, chroniqueur officiel de la cour, et meurt en quelques heures le , recommandant son âme à Dieu et à la Vierge Marie et rappelant l’indulgence absolutoire in articulo mortis (à l’heure de la mort)[14] accordée par le pape Nicolas V[15]. Elle donne naissance à un enfant prématuré de sept mois, sa dernière fille, qui meurt rapidement après sa naissance[14],[Note 6]. Elle est âgée de vingt-huit ans à sa mort, et meurt officiellement d'une infection puerpérale[17]. Elle a le temps de léguer ses biens à la collégiale de Loches pour que des messes y soient dites pour le repos de son âme, à l'abbaye de Jumièges où est déposé son cœur, ainsi qu'aux membres de sa famille et au roi à qui elle lègue ses bijoux.
Sa mort est si rapide qu'on soupçonne un empoisonnement. On accuse même Jacques Cœur, désigné comme exécuteur testamentaire, de l'avoir fait assassiner, mais c'est l'un des rares chefs d'inculpation dont il est lavé lors de son procès peu après la mort d'Agnès. Les soupçons se portent alors, et jusqu'au XXIe siècle, sur le dauphin, futur Louis XI, ennemi du parti qu’elle soutenait[18].
L'analyse des restes de son cadavre[Note 7], à l'occasion de l'ultime déplacement de son gisant dans l'église Saint-Ours de Loches, programmé en pour des raisons muséographiques par le conseil général d'Indre-et-Loire, a révélé qu'elle était atteinte d'ascaridiose, son tube digestif étant infesté d’œufs d'ascaris ; et qu'elle avait absorbé une dose massive de sels de mercure, une purge utilisée à moindre dose en association avec la fougère mâle pour bloquer la croissance des parasites[20],[Note 8]. Le mercure était aussi utilisé pour les accouchements longs et difficiles et pour les suites d'accouchement, mais là encore à dose nettement réduite par rapport à ce qui a été trouvé lors de ces récentes analyses. C'est l'ingestion d'une dose excessive de ce métal lourd qui a entraîné le syndrome dysentérique puis la mort en moins de 72 heures[21]. Le mercure était alors administré sous forme liquide, dans des pilules de mie de pain pour prévenir les brûlures d'estomac. Cependant, la quantité de mercure détectée dans un poil de l'aisselle s'est révélée dix mille à cent mille fois supérieure à celle attendue de l'absorption de doses thérapeutiques, et il est difficile de croire à une erreur médicale. Le suicide est une hypothèse mais celle de l'empoisonnement de cette jeune mère vulnérable qui se relève de couches est nettement plus plausible.
Le premier coupable désigné est Jacques Cœur ; mais les motifs manquent pour justifier cette hypothèse, et il n'est pas retenu comme auteur de ce crime — d'autant qu'Agnès, qui l'avait présenté au roi en premier lieu, soutenait son commerce auprès du roi[22]. Son médecin Robert Poitevin, qui était aussi un de ses trois exécuteurs testamentaires, était le mieux placé pour administrer le poison[23] mais manquait lui aussi de motif[21]. Il est par contre très possible qu'il ait reconnu les symptômes d'empoisonnement mais se soit tu, faute de pouvoir y remédier et, autre bonne raison, de peur d'y perdre sa place voire sa vie au vu de l'importance sociale du possible coupable[24]. Car un autre suspect plus sérieux est le futur Louis XI, qui détestait Agnès pour avoir si bien fait oublier la reine sa mère dans la vie du roi, et a bien pu vouloir priver son père du soutien d'Agnès[24]. C'est l'avis du chroniqueur contemporain Jacques du Clercq[25] et de Monstrelet[26]. Il y a aussi la cousine germaine d'Agnès, Antoinette de Maignelais qui, trois mois après la mort d'Agnès Sorel, prenait sa place dans le lit du roi ; le roi la mariera rapidement, en 1450, à André de Villequier, un de ses chambellans, et, peu après, Antoinette recevait la seigneurie d'Issoudun. Elle avait donc le double motif de jalousie et de cupidité[24].
Éploré, le roi commande deux magnifiques tombeaux de marbre, l’un se trouve à Jumièges en Seine-Maritime et contient son cœur, l’autre est à Loches, dans le chœur de l'église Saint-Ours de Loches (à l'époque collégiale Notre-Dame de Loches), et son corps y repose avec la légende :
« Cy gist noble damoyselle Agnès Seurelle en son vivant dame de Beaulté, de Roquesserière, d'Issouldun et de Vernon-sur-Seine piteuse envers toutes les gens et qui largement donnoit de ses biens aux eglyses et aux pauvres laquelle trespassa le IXe jour de février l'an de grâce MCCCCXLIX, priies Dieu pour lame delle. Amen »
Les chanoines de Loches, connaissant les sentiments de haine de l'ancien dauphin envers Agnès, s'enquirent, quelques mois après la mort de Charles VII et le couronnement de son héritier, de savoir s'ils pouvaient déplacer son encombrant tombeau de la collégiale. Le roi Louis XI répondit alors, non en ancien rival, mais en roi de justice. Il dit que le déplacement pouvait assurément se faire, et ajouta avec fermeté, en prenant à partie son entourage : « Mais il leur faut rendre ce qu'elle leur a donné ». À la suite de cet avis à valeur de jugement moral, on ne surprit plus les riches chanoines de Loches à proposer de se débarrasser du tombeau de l'ancienne favorite. Ce tombeau est déplacé dans la nef en 1777 sur ordre de Louis XVI qu'on avait persuadé que sa masse gênait les services religieux[27].
En 1794, après que son tombeau porté au-dehors eut été saccagé par les « volontaires » de l'Indre croyant que son gisant est celui d'une sainte, ses restes composés uniquement de dents, de chevelure et d'une tête sont mis dans une urne et déposés dans l'ancien cimetière du chapitre. En 1795 (le 21 prairial an III), un soldat rouvre l'urne, dérobe des dents et cheveux. En 1801, le vase funéraire est retrouvé et remis dans le tombeau restauré en 1806 par le préfet Pomereul qui décide sa mise en place dans la tourelle ou Logis royal. On l'a déplacé en 1970 dans une autre salle du château[28]. Le , le tombeau d'Agnès Sorel a réintégré l'église Saint-Ours de Loches.
Les cheveux d'Agnès Sorel étaient blond cendré et elle avait une peau très claire. Certains de ses contemporains disent qu'entre les belles c'était la plus belle du monde. Suivant la mode de l'époque, elle portait de profonds décolletés qui laissaient apercevoir le galbe de sa poitrine. Elle avait également un grand front qu'elle épilait à l'occasion ainsi que les lèvres soulignées de rouge comme l'exigeaient les critères de beauté de l'époque. Agnès prenait régulièrement des bains de lait d'ânesse afin de préserver la beauté de son teint clair. Les contrastes étant de mode, il fallait avoir un teint très clair, les cheveux soit brun très foncé soit blond très clair et avoir les lèvres bien rouges, ceci faisant d'elle une parfaite beauté.
Les représentations qui restent d'Agnès Sorel sont :
son gisant : attribuée au sculpteur Jacques Morel, la statue a été restaurée en 1807. À cette occasion, la tête et les mains ont été remplacées (voir Tombeau d'Agnès Sorel).
Les habitants de Loches et de Beaulieu-lès-Loches, deux villes alors rivales, se faisant face sur chaque rive de l'Indre, mais loin des intrigues de cour ont gardé longtemps le souvenir de sa grande popularité. Son pouvoir de séduction légendaire est né de ce souvenir populaire, amplifié par l'art de Touraine.
Depuis deux siècles, l'Hôtel Lallemant de Bourges, construit par les frères Jean Lallemant au début du XVIe siècle, maintenant Musée des Arts Décoratifs, possède une mèche de cheveux bruns attribuée à Agnès Sorel, qui était blonde. L'étude effectuée en 2004-2005 sur les restes de la favorite du tombeau de Loches a permis d'authentifier la mèche de cheveux de Bourges. La couleur actuelle serait le résultat naturel du passage des siècles.
Le documentaire montre notamment comment elle a influencé la mode vestimentaire, ainsi que le rôle politique qu’elle a joué, en favorisant la carrière d'hommes politiques comme Jacques Cœur et en poussant le roi Charles VII à achever la reconquête du royaume sur les Anglais[30],[31].
Un autre documentaire est consacré quant à lui aux circonstances de sa mort l'affaire Agnès S . Diffusé en 2006, par France 3, ce documentaire fait suite aux découvertes en avril 2004 du Professeur Philippe Charlier, paléopathologiste, qui étudie les restes d'Agnès Sorel, et découvre les traces d'un empoisonnement au mercure[32].
Notes et références
Notes
↑La famille de Maignelay est originaire de Picardie. Jean II de Maignelay épouse au XIVe siècle Isabeau de Wace, héritière du fief de Maignelay-Montigny. Son ancêtre, Pierre Tristan, aurait participé à la Bataille de Bouvines aux côtés du roi Philippe-Auguste. Catherine de Maignelay épouse Jean Sorel, seigneur de Coudun et lui donne cinq enfants, dont Agnès Sorel. La cousine d'Agnès, Antoinette de Maignelay, deviendra à son tour la favorite du roi Charles VII à la mort d'Agnès. Elle épouse André, baron de Villequier et lui donne deux fils. La seigneurie de Maignelay passa ensuite aux familles des ducs d'Halluin, des comtes de Clermont-Lodève, des ducs de la Rochefoucauld, marquis de Maignelay, puis à la princesse Borghèse décédée en 1877.
↑Sur la famille de Jouy, il y a peu de renseignements. L'historien Jean Lebeuf découvre un Guy de Jouy, seigneur de Jouy-en-Josas au XIIIe siècle. Il est suivi au XVIe siècle par la famille d'Escoubleau de Sourdis. Puis la seigneurie est achetée par le célèbre docteur Antoine d'Aquin, premier médecin du roiLouis XIV. (Jean Lebeuf, Les Seigneurs de Jouy - Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, Vol. 8 1757).
↑Comment la fille de Jean Soreau devint-elle Agnès Sorel ? Fut-elle mariée avec Regnaut de Sorel comme le dit Le Vasseur ?
↑Crème à base de bave d'escargot, de cervelle de sanglier, de fiente de chèvre, de pétales d'œillets rouges et de vers de terre vivants. Source : Marc Lefrançois, Histoires insolites des Rois et Reines de France, City Edition, , p. 32.
↑Deux vertèbres et un fragment de crâne de cet enfant ont été retrouvés dans l'urne funéraire contenant les restes d'Agnès Sorel[16].
↑Plus précisément de ses ossements, exhumés le 29 septembre 2004, mêlés aux restes du sarcophage, et de matière organique décomposée trouvée dans l'urne de grès à l'ouverture de la dalle funéraire[19].
↑L'utilisation du mercure pour traiter les parasitoses intestinales était courante à l'époque et cette pratique a été utilisée jusque dans les années 1950 en France.
↑Gaston du Fresne de Beaucourt, « Histoire de Charles VII », Librairie de la Société bibliographique, M. Tardieu, 1881, tome 3, p. 285.
↑ a et bFrançoise Kermina, Agnès Sorel. La première favorite, Perrin, , 202 p.
↑Jean-Joseph Julaud, L'Histoire de France Pour les Nuls, Éditions First, , p. 118
↑Centre d'études médiévales de Nice, Les Soins de beauté. Moyen Age, début des temps modernes, Faculté des lettres et sciences humaines de Nice, , p. 102-117
↑Jean des Cars, La véritable histoire des châteaux de la Loire, Plon, , p. 65.
↑Robert Duquesne, Agnès Sorel. « La Dame de Beaulté », Frédérique Patat, , p. 41
↑ a et b[Deblauwe 2013] Jacques Deblauwe (Dr), De quoi sont-ils morts ?, Flammarion - Pygmalion, coll. « Franck Ferrand présente », , sur data.over-blog-kiwi.com (ISBN978-2-7564-1002-9, lire en ligne), p. 64.
« Généalogie de Soreau » in « Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France » par le p. Anselme, 3e édition, tome 8, Paris, 1733, p. 701.
Études historiques
Tracy Adams, « Agnès Sorel : une martyre politique ? », dans Maïté Billoré et Gilles Lecuppre (dir.), Martyrs politiques (Xe-XVIe siècle) : du sacrifice à la récupération partisane, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », , 280 p. (ISBN978-2-7535-7579-0), p. 207-218.
(en) Tracy Adams, Agnès Sorel and the French Monarchy : History, Gallantry, and National Identity, Arc Humanities Press - Amsterdam University Press, coll. « Gender and Power in the Premodern World », , 172 p. (DOI10.2307/j.ctv2tjdhdg).
Marion Chaigne-Legouy, « Le « dossier Agnès Sorel ». État de la question et perspectives de recherche », dans Juliette Dor, Marie-Élisabeth Henneau et Alain Marchandisse (dir.), Maîtresses et favorites dans les coulisses du pouvoir du Moyen Âge à l'Époque moderne, Saint-Étienne, Publications de l'Université de Saint-Étienne, (ISBN9782862726946), p. 171-183.
Paul Durrieu, « Les filles d'Agnès Sorel », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, no 3, 66e année, , p. 150-168 (lire en ligne).
André Montoux, « Nouveau transfert du tombeau d'Agnès Sorel », dans Bulletin de la Société archéologique de Touraine, 1970, tome 36, p. 93-98(lire en ligne)
Auguste Vallet de Viriville, « Recherches historiques sur Agnès Sorel : (premier article) », Bibliothèque de l'École des chartes, Paris, J. B. Dumoulin, t. 11, , p. 297-326 (lire en ligne).
Auguste Vallet de Viriville, « Recherches historiques sur Agnès Sorel : (deuxième article) », Bibliothèque de l'École des chartes, Paris, J. B. Dumoulin, t. 11, , p. 477-499 (lire en ligne).