Cette section contient une ou plusieurs listes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (août 2024).
1793-94 :
Vendée
1794-97 :
Armées de la Moselle, du Rhin et Moselle et d'Allemagne
En , la 2e BC est rattachée à la nouvelle 1re division légère de cavalerie (1re DLC). Cette division doit participer à la manœuvre retardatrice en Ardenne, en avant de la 9e armée, dont elle dépend dans le cadre du plan Dyle en occupant d'abord la Meuse avec ses gros entre le Houx et Hastière, puis en poussant au-delà du fleuve, pour couvrir l'avance de l'armée[6]. En attendant l'éventuelle manœuvre, la 2e BC stationne dans la région de Fumay[6].
Au déclenchement de la bataille de France, la 1re DLC entre en Ardenne belge le mais, chassée par les Panzer allemands, repasse la Meuse le 14. Elle est disloquée le 19 mai entre Caudry et Le Catelet[5].
Le régiment est transformé début en régiment de chars lorsque la 1re division légère de cavalerie est transformée en 4e division légère mécanique. Le régiment reçoit un état-major de groupe et deux escadrons[7] : un escadron de 10 chars Hotchkiss H35 et un autre de 10 chars Somua S35[8]. Sa formation n'est pas achevée et il est renommé groupe d'escadrons de La Roche, du non de son commandant[7].
Le régiment, dont la date de formation officielle est le [10], est organisé à Pontivy avec 18 chars français Renault R35 récupérés sur les forces allemandes[11]. Après une très brève période d'instruction[12], il participe aux opérations sur le front de l'Atlantique sur la poche de Lorient[13].
Après la capitulation sans combats de la poche de Lorient, le régiment rejoint mi-mai la région de Loches. En novembre 1945, le régiment part occuper le sud du Wurtemberg avec la 19e DI[12]. Le régiment y est dissous le [10].
De 1945 à nos jours
Il recréé en 1979 à Vannes comme régiment de réserve du régiment d'infanterie chars de marine, sous la forme de régiment de reconnaissance blindée. Destiné à défendre la Bretagne, il est dissous en 1994[14].
Traditions et uniformes
Uniforme
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Insigne
L'insigne a été créé en 1937. Il se compose au centre d'une aigle bicéphale, surmonté d'une moucheture d'hermine. L'aigle est tirée des armes de Bertrand du Guesclin et, comme la moucheture d'hermine, fait référence à la garnison du régiment, la ville de Dinan[15].
La bordure verte rappelle la tenue des dragons du régiment jusqu'en 1815[15].
Devise
« Un intrépide régiment ».
Personnages célèbres ayant servi au 19e régiment de dragons
↑ a et bRégis Potié, « Le périple du 1er RAM reconstitué, juin 1940 », Histoire de guerre, blindés et matériel, Histoire & Collections, no 147, , p. 75-82
↑Jacques Belle, « De nouvelles unités mécaniques pour la Ligne Weygand », Guerre, blindés et matériel, Histoire & Collections, no 135, , p. 53-64
↑Stéphane Weiss, « Numérologie identitaire au sein de l’armée française renaissante en 1944-1945 », Guerres mondiales et conflits contemporains, vol. 271, no 3, , p. 113 (ISSN0984-2292 et 2101-0137, DOI10.3917/gmcc.271.0113, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bHervé de Villeneuve, « Pierre de Villeneuve mon père, lieutenant au 23e BCC et autres aventures 1940-1945 », Histoire de guerre, blindés et matériel, no 148, , p. 14-16 (lire en ligne)