Le , le bataillon reprend le bateau à destination d'Héraclée du Latmos, débarquant à Constantinople début avril[3]. Deux compagnies du bataillon reçoivent alors l'ordre de rejoindre Afioun Karahissar pour protéger les voies ferrées vers Smyrne, à capitaux français. Elles sont retirées en février 1920[4].
Rattaché à la 122e division d'infanterie (244e brigade)[5], le bataillon est détaché en Anatolie chargé de la protection de la voie ferrée Panderma-Afioun Karahissar-Magnésie[6],. Il passe à la fin du mois de septembre à la 152e brigade de la 122e DI et est relevé le 18 octobre suivant par un bataillon du 27e régiment de tirailleurs algériens[7].
Jean Bernachot, Les Armées français en Orient après l'armistice de 1918, vol. 2 : L'armée du Danube, l'armée française d'Orient ( - ), Paris, Imprimerie nationale, , 445 p. (BNF35120723).