Les élections au Parlement de Catalogne de 2024 (en catalan : eleccions al Parlament de Catalunya de 2024, en espagnol : elecciones al Parlamento de Cataluña de 2024, en occitan : eleccions ath Parlament de Catalonha de 2024) se tiennent de manière anticipée le afin d'élire les 135 députés de la XVe législature du Parlement de Catalogne pour un mandat de quatre ans.
Le scrutin est convoqué en avance sur le terme naturel de la législature, après que le Parlement a rejeté le projet de loi de finances pour 2024 proposé par le gouvernement minoritaire de Pere Aragonès (ERC), indépendantiste de gauche arrivé au pouvoir en 2021 avec le soutien d'une coalition de partis favorables à l'indépendance.
Le Parti socialiste arrive en tête du scrutin, tirant profit de la politique de dialogue avec les partis indépendantistes initiée par Pedro Sánchez au niveau national. Les formations sécessionnistes perdent leur majorité absolue pour la première fois depuis plus de dix ans en raison de la démobilisation de leur électorat. Parmi ces dernières, Ensemble pour la Catalogne devance clairement la Gauche républicaine de Catalogne au pouvoir. À droite, où a dominé un discours critique de l'immigration, Ciutadans disparaît au profit d'une percée du Parti populaire. Ne disposant que d'une majorité relative, le chef de file socialiste Salvador Illa entreprend à la suite du scrutin des négociations avec la Gauche républicaine et ComunsSumar.
Six semaines après la tenue des élections, le président du ParlementJosep Rull constate l'absence de candidat à l'investiture, ce qui déclenche le délai de deux mois à l'issue duquel l'assemblée sera automatiquement dissoute faute d'élection d'un président de la Généralité. À la fin du mois de , le Parti socialiste conclut deux accords d'investiture avec ERC et Comuns Sumar, ce qui permet l'investiture de Salvador Illa à la majorité absolue des voix.
Contexte
Victoire socialiste mais majorité indépendantiste en 2021
Les deux partis s'entendent finalement pour constituer une coalition le [5]. Pere Aragonès est élu président de la Généralité quatre jours plus tard avec 74 voix favorables[6].
Rupture de la coalition entre ERC et Junts en 2022
À l'occasion du débat annuel de politique générale, le président du groupe parlementaire de Junts, Albert Batet, déclare le être prêt à demander que Pere Aragonès se soumette à un vote de confiance. Le lendemain, le président de la Généralité renvoie son vice-président, Jordi Puigneró, qui était informé de la teneur du propos d'Albert Batet mais n'en avait pas informé Pere Aragonès[7].
Après que le chef de l'exécutif a rejeté deux propositions de Junts visant à rétablir la confiance au sein de la coalition gouvernementale[8],[9], les militants de Junts votent à près de 56 % les et , actant la rupture de la gouvernance partagée par les indépendantistes depuis 2016[10]. Le , Pere Argonès opère un remaniement de son gouvernement afin de remplacer les désormais ex-conseillers issus de Junts[11].
Lors des élections municipales du 28 mai 2023, le Parti socialiste arrive premier en voix, la Gauche républicaine première en nombre d'élus, et Ensemble pour la Catalogne première en nombre de premières places obtenues. Ce scrutin constitue un revers pour ERC, qui termine troisième en nombre de suffrages, tandis que le PSC vire en tête à Gérone, Lérida et Tarragone, échouant à prendre la première place à Barcelone, qui revient à Junts[12].
Rejet du budget en 2024 et élections anticipées
Un accord sur le contenu du projet de loi de finances pour 2024 est conclu le entre le gouvernement de Pere Aragonès et le Parti socialiste de Salvador Illa. Parmi les exigences des socialistes acceptées par l'exécutif, celle concernant l'autorisation de construction d'un complexe hôtel-casino Hard Rock Cafe crée des frictions avec le troisième parti susceptible d'approuver le budget 2024 et dont les députés sont indispensables pour y parvenir, En Comú Podem, qui s'oppose résolument au projet de complexe hôtelier[13]. Le , le Parlement repousse le projet de loi de finances en adoptant une motion de rejet par 68 voix pour et 67 voix contre, En Comú exprimant son opposition — après avoir rejeté la proposition du gouvernement d'étudier un report du projet en raison de la grave sécheresse qui affecte la Catalogne — au même titre que Junts, Vox, la Candidature d'unité populaire (CUP), Ciudadanos (Cs) et le Parti populaire (PP)[14].
Pere Aragonès réunit aussitôt une séance extraordinaire du Conseil exécutif du gouvernement catalan. À l'issue de cette réunion, il annonce la dissolution du Parlement et la convocation d'élections anticipées pour le suivant[15]. Il signe formellement le décret de dissolution de l'assemblée le [16].
Conformément à l'article 56 du statut de 2006, le Parlement est élu pour un mandat de quatre ans[20]. L'article 42 de la loi électorale espagnole du précise que les élections sont convoquées par le président de la Généralité au moyen d'un décret publié au Journal officiel (DOGC) et qu'elles ont lieu 54 jours après la publication du décret. En cas d'élections au terme naturel de la législature, le décret est signé 25 jours avant l'expiration du mandat du Parlement et publié le lendemain. En cas de dissolution anticipée, le décret est publié au lendemain de sa signature[21].
Nombre de députés
Puisque l'article 56 du statut d'autonomie prévoit que « le Parlement se compose d'au moins 100 et d'au plus 150 députés »[20], la sixième disposition transitoire du statut de 1979 indique que « Le Parlement de Catalogne sera composé par 135 députés ». Elle indique également que « les circonscriptions électorales seront les quatre provinces de Barcelone, Gérone, Lérida et Tarragone » et établit la répartition des sièges entre elles : « la circonscription de Barcelone élira un député pour 50 000 habitants, avec au plus 85 députés. Les circonscriptions de Gérone, Lérida et Tarragone éliront au moins six députés, plus un par tranche de 40 000 habitants, obtenant respectivement 17, 15 et 18 députés. »[19].
Figée depuis , la répartition des sièges entre les quatre provinces conduit historiquement à une sous-représentation de Barcelone au profit des trois autres. Pour les élections du , la circonscription barcelonaise fera élire 63 % des députés catalans, alors qu'elle concentre 73 % de la population de la communauté autonome. En outre, cette distribution des sièges se révèle favorable aux partis nationalistes et indépendantistes puisqu'elle sur-représente les zones rurales éloignées des grandes villes, majoritairement peuplées de Catalans de naissance, qui constituent leur socle électoral. Cependant, selon une étude du journal en ligne ElDiario.es, la Catalogne est l'une des communautés autonomes qui génère le moins de distorsion entre le nombre de voix et le nombre de sièges obtenus[22]
les partis ou fédérations politiques enregistrées auprès du registre des partis politiques du ministère de l'Intérieur ;
les coalitions électorales de ces mêmes partis ou fédérations dûment constituées et inscrites auprès de la commission électorale au plus tard 10 jours après la convocation du scrutin ;
et les regroupements d'électeurs bénéficiant du parrainage d'au moins 1 % des inscrits de la circonscription.
Répartition des sièges
Seules les listes ayant recueilli au moins 3 % des suffrages valides — incluant les bulletins blancs[24] — dans une circonscription peuvent participer à la répartition des sièges à pourvoir dans cette circonscription, qui s'organise en suivant différentes étapes[25] :
les listes sont classées en une colonne par ordre décroissant du nombre de suffrages obtenus ;
les suffrages de chaque liste sont divisés par 1, 2, 3... jusqu'au nombre de députés à élire afin de former un tableau ;
les mandats sont attribués selon l'ordre décroissant des quotients ainsi obtenus.
Lorsque deux listes obtiennent un même quotient, le siège est attribué à celle qui a le plus grand nombre total de voix ; lorsque deux candidatures ont exactement le même nombre total de voix, l'égalité est résolue par tirage au sort et les suivantes de manière alternative.
Au matin de la journée électorale, un vol de cables électriques dans le poste électrique de la gare de Montcada-Bifurcation provoque un grave incident de circulation sur le réseau des Rodalies de Catalunya. Les services des lignes R1, R2 nord et sud, R3 et R4 nord et sud sont limités, voire supprimés dans le cas de la R3, et aucun train n'est en mesure de desservir les gares de Barcelone[26]. Face à cette situation, la Gauche républicaine de Catalogne puis Ensemble pour la Catalogne demandent officiellement le report de la fermeture des bureaux de vote auprès des autorités électorales[27]. La commission électorale centrale, saisie par les commissions provinciales, souligne que c'est à celles-ci de décider, rappelant qu'un tel report peut être autorisé « de manière exceptionnelle ». Les quatre commissions provinciales rejettent ensuite les requêtes d'ERC et Junts[28].
À 13 h, la participation atteint 26,9 % des inscrits, soit une hausse de quatre points de pourcentage par rapport à 2021. Dans le détail, l'augmentation de l'affluence aux urnes se révèle plus importante dans les secteurs dominés par les partis non-indépendantistes. Ainsi, dans les bureaux où les formations opposées à l'indépendance ont devancé les indépendantistes de plus de 50 points en 2021, la participation progresse d'environ cinq points de pourcentage, alors que dans ceux où les indépendantistes ont réalisé la même performance, l'augmentation est de seulement un point. Pour ce qui est de la baisse de la participation, la majorité des bureaux concernée a été remportée par les partis indépendantistes en 2021[29].
Le taux de participation à 18 h atteint 45,8 % des inscrits, presque le même qu'en 2021 à la même heure. Plus précisément, l'affluence aux urnes continue d'augmenter dans les territoires ayant majoritairement voté pour les partis anti-indépendantistes lors du précédent scrutin. Ainsi, dans les communes où ces formations ont remporté entre 50 % et plus de 70 % des voix, la participation progresse de 2,1 à 4,3 points. Dans les villes où les partis indépendantistes avaient réalisé des performances similaires, elle est en repli de 3,8 à 9,3 points[30].
Le parti de l'ancien président Carles Puigdemont, Ensemble pour la Catalogne (Junts), qui a fait campagne depuis Argelès-sur-Mer en raison du mandat d'arrêt lancé à son encontre par la justice espagnole, devance clairement la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), au pouvoir et critiquée pour sa gestion, comme l'épisode de sécheresse qui touche le territoire catalan. Si la campagne hyper-personnalisée de l'ex-président permet à Junts de bénéficier d'un « effet Puigdemont » pour prendre la première place des formations sécessionnistes, celui-ci ne profite pas de l'effondrement d'ERC[35]. Dans son ensemble, l'indépendantisme est victime de la démobilisation de son électorat, déçu de l'absence de concrétisation de l'indépendance de la Catalogne en . Ainsi, la participation augmente de seulement quatre points de pourcentage par rapport à 2021, quand les élections se tenaient dans le contexte de la pandémie de Covid-19[33]. Selon El País, ce résultat enterre le processus d'indépendance (« procés ») enclenché en 2012[35].
La victoire revient donc au Parti socialiste (PSC) de l'ancien ministre de la Santé Salvador Illa. Il semble ainsi profiter de la politique de dialogue et de main tendue du secrétaire général du PSOE et président du gouvernementPedro Sánchez vis-à-vis des indépendantistes[33]. C'est la première fois de son histoire qu'il l'emporte en voix et en sièges[35]. Avec 42 députés, il reste cependant loin de la majorité absolue et devra donc trouver des alliances pour s'installer au pouvoir. Arithmétiquement, il existe une possibilité de rééditer l'alliance tripartite (« Tripartit ») entre le PS, ERC et la gauche radicale (Comuns-Sumar) qui avait gouverné entre 2003 et 2010, mais elle serait très difficile à mettre en œuvre compte tenu de la virulence de la Gauche républicaine vis-à-vis du Parti socialiste pendant la campagne[34].
À droite de l'échiquier politique, le Parti populaire (PP) absorbe l'ensemble de l'espace électoral de Ciutadans (Cs), qui disparaît ainsi du Parlement, et réalise ainsi une percée en progressant de sept points, grâce également à la récupération d'une partie de l'électorat du PSC. Si le vote en faveur de Vox reste stable, le parti politique indépendantiste Alliance catalane (Aliança) apparaît sur son crédo anti-immigration et dénonçant « l'islamisation » de la communauté autonome et fait son entrée au Parlement[33]. Dans leur ensemble, les partis de droite et d'extrême droite bénéficient de leur discours critiquant l'immigration illégale et l'associant à la délinquance[36].
S'il existe un risque de blocage pouvant conduire à de nouvelles élections, le directeur de l'Institut de sciences sociales et politiques de Barcelone Oriol Bartomeus, cité par Le Figaro, souligne que la Gauche républicaine n'y a pas intérêt car elles risqueraient de se transformer en une sorte de « second tour » entre le PSC et Junts, affaiblissant encore davantage ERC[34].
Le , Junts demande aux commissions électorales provinciales que le vote par correspondance des expatriés soit de nouveau organisé, dénonçant de « graves irrégularités », dont notamment une quantité « excessive » de votes invalidés et la destruction de bulletins de votes nuls avant l'expiration des délais de recours[38]. La commission électorale de Barcelone rejette la requête trois jours plus tard, arguant que les bulletins n'ont pas été détruits mais placés sous la garde de la police de Catalogne (Mossos d'Esquadra), et que la qualification de la quantité de bulletins invalidés relève d'une « considération subjective »[39]. À son tour, la commission électorale centrale rejette le la requête de Junts et ordonne par ailleurs à la commission électorale provinciale de Barcelone de procéder à la proclamation des députés élus[40].
Conséquences
Congrès extraordinaire d'ERC
Au lendemain du scrutin, le président de la GénéralitéPere Aragonès annonce qu'il a l'intention de se mettre en retrait du premier plan de la vie politique. Il indique ne pas avoir l'intention de siéger comme député et qu'il continuera de gérer les affaires courantes afin de mener à bien la transition avec son futur successeur[41]. À la suite d'une réunion de la direction de la Gauche républicaine le , un congrès national est convoqué pour le , le président du parti Oriol Junqueras indique qu'il démissionnera de ses fonctions après les élections européennes du 9 juin suivant et la secrétaire générale Marta Rovira déclare qu'elle ne sera pas candidate à sa propre succession lors du congrès[42]. Le , Oriol Junqueras est réélu au second tour avec 52 % des voix contre 42 % pour son concurrent Xavier Godàs[43].
Installation du Parlement et investiture avortée
La Gauche républicaine indique au début du mois de ne pas avoir l'intention de s'entendre avec le Parti socialiste sur l'élection du bureau du Parlement et préférer un accord entre indépendantistes avec le renfort des Comuns[44]. Junts s'entend finalement avec ERC à ce propos, aussi lors de l'installation de la législature le , Josep Rull est élu président du Parlement tandis qu'ERC obtient une vice-présidence et un secrétariat et Junts un secrétariat, ce qui garantit une majorité indépendantiste de quatre députés sur sept au bureau, les trois autres étant issus du PSC[45].
Le , Josep Rull entame ses consultations des différents groupes parlementaires afin de désigner ou non un candidat à l'investiture pour la présidence de la Généralité[46]. Il indique le lendemain, à la conclusion de ses entretiens, qu'aucun candidat ne s'est fait connaître et fait connaître son intention de l'annoncer formellement lors de la séance plénière du , ouvrant le délai de deux mois à l'issue duquel le Parlement sera automatiquement dissous faute d'investiture[47]. Les députés se réunissent effectivement le pour constater l'absence de candidat, ce qui équivaut à une investiture ratée et déclenche formellement le compte-à-rebours des deux mois[48].
Négociations d'investiture
Une première rencontre a lieu le entre le Parti socialiste et Comuns Sumar[49]. Le suivant, le porte-parole du parti Catalogne en communJoan Mena indique que « les négociations progressent de manière adéquate » sans donner de délai quant à la conclusion de leurs échanges[50]. Le pacte entre les deux formations est conclu le suivant[51]. Ratifié le lendemain à la quasi-unanimité par le conseil national de Catalogne en commun, l'accord prévoit des mesures en faveur du logement, de l'éducation, des transports publics et rend plus difficile le projet d'hôtel-casino Hard Rock Cafe qui avait produit la rupture politique à l'origine de l'anticipation des élections régionales[52].
Le Parti socialiste et la Gauche républicaine organisent le une première rencontre de leurs équipes de négociations, à l'issue de laquelle ils s'engagent à poursuivre leurs discussions[53]. Alors que la secrétaire générale d'ERC Marta Rovira appelle le à la conclusion d'un « préaccord » dans un délai d'un mois afin d'avoir le temps de convaincre les militants du parti de le ratifier[54], la porte-parole de la Gauche républicaine Raquel Sans révèle le que les négociations avancent « à bon rythme »[55]. Le , la direction de la Gauche républicaine annonce la conclusion d'un accord d'investiture avec le Parti socialiste, qui doit être ratifié par sa base militante le et comprend des engagements en matière d'autonomie fiscale, de promotion du catalan et de dialogue inter-partis[56]. L'aspect fiscal du projet d'entente suscite des remous au sein du PSOE, plusieurs dirigeants régionaux ou locaux émettant des critiques publiques à son encontre[57]. Le référendum interne à la Gauche républicaine débouche sur une ratification du contrat avec le Parti socialiste par 53,5 % des suffrages exprimés avec un fort taux de participation, 77 % des adhérents ayant pris part au vote[58]. L'accord entre le PSC et ERC est également ratifié le par le conseil national de Jovent Republicà, le mouvement de jeunesse de la Gauche républicaine, qui compte une députée sur les 20 d'ERC. Ce résultat assure définitivement à Salvador Illa le vote favorable de 68 députés sur 135[59].
Investiture de Salvador Illa
Le , Salvador Illa informe Josep Rull qu'il dispose des soutiens suffisants pour obtenir l'investiture du Parlement[60]. Ayant consulté les groupes parlementaires, le président du Parlement annonce le qu'il propose formellement le dirigeant socialiste comme candidat à l'investiture pour la présidence de la Généralité et qu'il a l'intention de tenir la séance d'investiture le , après avoir obtenu l'accord de la députation permanente, qu'il convoque à cet effet le [61]. L'autorisation est effectivement accordée, le lendemain de l'annonce, avec le vote favorable de la quasi-totalité des groupes, le Parti populaire et Vox s'étant abstenus[62].
Salvador Illa est effectivement investi président de la généralité de Catalogne le par 68 voix pour et 66 voix contre, obtenant comme prévu la confiance du Parti socialiste, de la Gauche républicaine et des Comuns tandis que Carles Puigdemont, député de Junts, n'assiste pas à la séance après avoir pourtant prononcé un discours non loin du palais du Parlement une heure avant le début de la séance[63]. Il prête serment le au cours d'une cérémonie au palais de la Généralité aux côtés de Pere Aragonès et Josep Rull, et en présence notamment de la vice-présidente du gouvernement espagnol María Jesús Montero et des ministres Félix Bolaños, Diana Morant, Jordi Hereu et Ernest Urtasun[64]. Son gouvernement de 16 membres est assermenté et entre en fonction deux jours plus tard[65].
Notes et références
Notes
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Overview of the geographical distribution of speakers of the German language DACH redirects here. Not to be confused with Dach (disambiguation). This article details the geographical distribution of speakers of the German language, regardless of the legislative status within the countries where it is spoken. In addition to the Germanosphere (German: Deutscher Sprachraum) in Europe, German-speaking minorities are present in many other countries and on all six inhabited continents. Mostly depen...
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Pour les articles homonymes, voir John Smith, Maynard et Smith. Cet article est une ébauche concernant l’origine et évolution du vivant. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. John Maynard SmithJohn Maynard SmithBiographieNaissance 6 janvier 1920LondresDécès 19 avril 2004 (à 84 ans)Lewes, East SussexNationalité BritanniqueFormation Université de CambridgeActivités Biologiste, écriv...
Kongō-class Japanese warship For other ships with the same name, see Japanese ship Kongō. Kongō on sea trials, off the coast of Tateyama, 14 November 1936 History Empire of Japan NameKongō NamesakeMount Kongō Ordered1911 BuilderVickers Shipbuilding Company, Barrow-in-Furness Laid down17 January 1911 Launched18 May 1912 Commissioned16 August 1913 Stricken20 January 1945 FateSunk by USS Sealion in the Formosa Strait, 21 November 1944 General characteristics Class and typeKongō-class ...
Sporting event delegationTrinidad and Tobago at the2008 Summer OlympicsIOC codeTTO(TRI used at these Games)NOCTrinidad and Tobago Olympic CommitteeWebsitewww.ttoc.orgin BeijingCompetitors28 in 4 sportsFlag bearers George Bovell (opening)Richard Thompson (closing)MedalsRanked 47th Gold 1 Silver 1 Bronze 0 Total 2 Summer Olympics appearances (overview)19481952195619601964196819721976198019841988199219962000200420082012201620202024Other related appearances British West Indies (1960 S)...
Disambiguazione – Se stai cercando altri significati, vedi Sferracavallo (disambigua). SferracavallofrazioneSferracavallo – VedutaPanorama del lungomare di Sferracavallo LocalizzazioneStato Italia Regione Sicilia Città metropolitana Palermo Comune Palermo TerritorioCoordinate38°11′58″N 13°16′44″E / 38.199444°N 13.278889°E38.199444; 13.278889 (Sferracavallo)Coordinate: 38°11′58″N 13°16′44″E / 38.199444°N 13.278889...
American football player (born 1938) For the Canadian political candidate, see Ron Mix (politician). American football player Ron MixMix with the Chargers in 1969No. 74, 77Position:Offensive tacklePersonal informationBorn: (1938-03-10) March 10, 1938 (age 86)Los Angeles, California, U.S.Height:6 ft 4 in (1.93 m)Weight:250 lb (113 kg)Career informationHigh school:Hawthorne (Hawthorne, California)College:USCNFL draft:1960 / Round: 1 / Pick: 10AF...
Architecture Template‑class Architecture portalThis template is within the scope of WikiProject Architecture, a collaborative effort to improve the coverage of Architecture on Wikipedia. If you would like to participate, please visit the project page, where you can join the discussion and see a list of open tasks.ArchitectureWikipedia:WikiProject ArchitectureTemplate:WikiProject ArchitectureArchitecture articlesTemplateThis template does not require a rating on Wikipedia's content assessmen...
Main article: 1796 United States presidential election 1796 United States presidential election in Tennessee November 4 – December 7, 1796 1800 → Nominee Thomas Jefferson John Adams Party Democratic-Republican Federalist Home state Virginia Massachusetts Running mate Aaron Burr Thomas Pinckney Electoral vote 3 0 President before election George Washington Independent Elected President John Adams Federalist Elections in Tennessee Federal government U.S. Pres...
List of events ← 1834 1833 1832 1835 in the United States → 1836 1837 1838 Decades: 1810s 1820s 1830s 1840s 1850s See also: History of the United States (1789–1849) Timeline of United States history (1820–1859) List of years in the United States 1835 in the United States1835 in U.S. states States Alabama Connecticut Delaware Georgia Illinois Indiana Kentucky Louisiana Maine Maryland Massachusetts Mississippi Missouri New Hampshire New Jersey New York North Carolina Ohio Pennsy...
Japanese professional wrestler Neko NittaNitta in December 2011Born (1978-05-07) May 7, 1978 (age 46)[1]Saitama, JapanProfessional wrestling careerRing name(s)Neko NittaBilled height154 cm (5 ft 1 in)[2]Billed weight55 kg (121 lb)Trained byEmi SakuraHayateRayDebut2011RetiredDecember 31, 2015 Neko Nitta (新田猫子, Nitta Neko) is a Japanese retired professional wrestler and is best known for her tenure with the Japanese promotion Ice Ribbon wher...
جيرلانStade de Gerland (بالفرنسية) معلومات عامةالعنوان 350 Avenue Jean-Jaures, F-69007 Lyon (بالإنجليزية)[1]353 avenue Jean Jaures 69007 Lyon 07 (بالفرنسية)[2] المنطقة الإدارية 7th arrondissement of Lyon (en) [3][4] البلد فرنسا[3][4][2] موقع الويب gl-events.com… (الفرنسية، الإنجليزية) التشييد والافتتاحبد�...
Chinese crossover SUV Motor vehicle Baojun RS-7OverviewManufacturerSAIC-GM-WulingProduction2020–2022AssemblyChina: Chongqing[1]Body and chassisClassMid-size crossover SUVBody style5-door SUVRelatedBaojun RC-6DimensionsWheelbase2,700 mm (106.3 in)Length4,930 mm (194.1 in)Width1,975 mm (77.8 in)Height1,765 mm (69.5 in) The Baojun RS-7 is a midsize crossover produced by Baojun, a marque of SAIC-GM-Wuling.[2] It was unveiled at 2020 C...
ČD class 814Regionova2 car Regionova at Vrané nad Vltavou stationManufacturerPARS novaa subsidiary of Škoda TransportationConstructed1973–1984 as class 810rebuilt 2005-2012Number built210[1]FormationTwo carsFleet numbers814.001/914.001 to 814.310/914.310[1]OperatorsČeské dráhySpecificationsCar length14,220 mm (46 ft 8 in)13,970 mm (45 ft 10 in)[2]Width3,073 mm (10 ft 1.0 in)[3]Height3,420 mm (11 ft ...
Manuel Ávila Camacho Presiden Meksiko 45Masa jabatan1 Desember 1940 – 30 November 1946PendahuluLázaro CárdenasPenggantiMiguel Alemán Valdés Informasi pribadiLahir(1897-04-24)24 April 1897Teziutlán, Puebla, MeksikoMeninggal13 Oktober 1955(1955-10-13) (umur 58)Estado de México, MeksikoKebangsaanMexicanPartai politikPartai Revolusioner InstitusionalSuami/istriSoledad OrozcoSunting kotak info • L • B Manuel Ávila Camacho (pengucapan bahasa Spanyol: [...
Artworks that are three-dimensional objects For other uses, see Sculpture (disambiguation). Sculpting redirects here. For sculpting in computer graphics, see Digital sculpting. Sculptor redirects here. For other uses, see Sculptor (disambiguation). Dying Gaul, or The Capitoline Gaul,[1] a Roman marble copy of a Hellenistic work of the late 3rd century BCE, Capitoline Museums, Rome Assyrian lamassu gate guardian from Khorsabad, c. 800–721 BCE Michelangelo's Moses, (c. 151...
Carte des alliés majeur non membre de l OTANÉtats-Unis Le reste de l'OTAN MNNA Ancien alliés majeurs non membres de l'OTAN (Afghanistan) ]] Un allié majeur non-membre de l'OTAN (en anglais : major non-NATO ally, MNNA) est un pays, proche allié des États-Unis, travaillant étroitement avec les forces armées de ce dernier pays mais qui n'est pas membres de l'OTAN, désigné comme tel par le gouvernement américain[1]. Histoire Prayut Chan-o-cha, commandant en chef de l'Armée royale...