Grâce à son amitié avec le parlementaireHenry Clay, William Brown Hodgson se fait pistonner au département d'État. Il est alors envoyé vers la côte des Barbaresques pour parfaire sa maîtrise linguistique et met notamment les voiles pour Alger, où il assiste le consul-général William Shaler, auquel il succède brièvement[3],[4]. Il se passionne pour la civilisation berbère et mène d'importantes recherches sur les langues berbères avec l'aide de Sidi Ahmed Ben Ali, son assistant de recherche kabyle. Sa recherche paraît en 1834 sous le titre de Grammatical Sketch and specimens of the Berber Language[5].
↑(en) Walter B. Smith II, America's Diplomats and Consuls of 1776-1865 : A Geographic and Biographic Directory of the Foreign Service from the Declaration of Independence to the End of the Civil War, Washington, D.C., Center for the Study of Foreign Affairs, coll. « Occasional paper » (no 2), , 366 p. (OCLC15117775, lire en ligne), p. 90
↑Fatsiha Aoumer, « Essai de grammaire à partir d’un ouvrage manuscrit en langue kabyle, d’un taleb de Bougie, du début du XIX e siècle: », Études et Documents Berbères, vol. N° 35-36, no 1, , p. 105–118 (ISSN0295-5245, DOI10.3917/edb.035.0105, lire en ligne, consulté le )