L'agglomération principale se divise en deux parties, Vitrac Bourg où se situe la mairie, sur les coteaux, et Vitrac Port située en contrebas, le long de la Dordogne, à l'intersection des routes départementales (RD) 46 et 703. La mairie se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud du centre-ville de Sarlat-la-Canéda et quinze kilomètres à l'est-sud-est de celui de Saint-Cyprien.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Vitrac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].
Basses terrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) indifférenciée : limons et sables jaunes à graviers et galets siliceux et petits galets calcaires (Saalien - Riss)
Fwb(D) :
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 60 mètres[7] au sud du lieu-dit Page, là où la Dordogne quitte le territoire communal et sert de limite entre Domme et La Roque-Gageac, et 243 mètresdans le nord-ouest, à l'ouest du lieu-dit Salcet, au niveau d'un château d'eau[8],[7],[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 14,38 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,42 km2[5].
Son affluent de rive droite la Cuze traverse le territoire communal du nord-ouest au sud sur quatre kilomètres.
Au pont de Vitrac, la Dordogne sert de limite entre Domme, au premier plan, et Vitrac.
Réseaux hydrographique et routier de Vitrac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central ». La première est caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours). La seconde présente une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[23].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 959 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Salignac-Eyvigues à 18 km à vol d'oiseau[25], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].
Répartie entre Vitrac (en majeure partie) et La Roque-Gageac, l'île de Fontchopine fait également l'objet d'un arrêté de protection du biotope depuis 1986, pour y assurer le repos et la survie de certains mammifères et oiseaux figurant sur la liste des espèces protégées[35].
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 103 communes riveraines de la Dordogne[Note 3], dont Vitrac[36],[37]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[38].
Vitrac fait partie des 104 communes[Note 5] concernées par la ZNIEFF de type 2 « La Dordogne »[41],[42], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[43].
Le site « Coteaux à chênes verts du Sarladais : I-Rive droite de la Dordogne » est une autre ZNIEFF de type 2 de 3 535,59hectares qui s'étend sur treize communes, dont Vitrac[44],[45], dans laquelle ont été répertoriées six espèces déterminantes d'oiseaux. Sur la commune, elle s'étend sur environ 6 km2 et correspond partiellement au périmètre du site Natura 2000 « Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne ».
S'étendant sur 45 hectares, le « cingle de Montfort » (le méandre de Montfort) est une ZNIEFF de type 1 partagée avec la commune de Carsac-Aillac ; les falaises calcaires abruptes qui le bordent représentent un habitat propice à la reproduction du Faucon pèlerin (Falco peregrinus)[46],[47]. Elle concerne principalement Carsac-Aillac (environ 80 % de la superficie de la ZNIEFF), se limitant sur Vitrac à un mince ruban depuis le Pech de Malet au sud jusqu'à la limite avec Carsac-Aillac au nord.
Autre ZNIEFF de type 1 partagée avec Carsac-Aillac, la « couasne de Carsac » (le bras-mort de Carsac) s'étend sur 12,15 hectares dont 85 % sur Carsac-Aillac, la pointe ouest se trouvant sur Vitrac[48],[49] ; deux espèces déterminantes de libellules y ont été recensées.
Carte des ZNIEFF de type 2 à Vitrac.
Carte des ZNIEFF de type 1 à Vitrac.
Au premier plan, coteaux à chênes verts de Vitrac et la plaine en bordure de Dordogne ; au second plan sur la droite, commune de Domme.
Urbanisme
Typologie
Au , Vitrac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[50].
Elle est située hors unité urbaine[51]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[51]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[52],[53].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (53,8 %), zones agricoles hétérogènes (40,4 %), eaux continentales[Note 7] (3,2 %), zones urbanisées (2,5 %), terres arables (0,1 %)[54]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1990, 1993, 1997, 1999 et 2021[58],[56]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[59],[60]. Toutes les zones basses de la commune sont exposées, notamment celles où sont situés les deux campings et le golf[61].
Vitrac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[62]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[63],[64].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[65]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[66]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[67]. 16,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[68].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[56].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 9] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[70],[71].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Montestiva avant le XIIIe siècle, sous la forme Vitrac au XIIIe siècle dans un pouillé, Vitracum en 1280[72] et en 1283[73]. Il représente le nom d'un personnage gallo-roman Victor ou Victorius, suivi du suffixe -acum, ce qui signifie le « domaine de Victor, ou de Victorius »[74].
En français comme en occitan, la commune porte le même nom[73],[75].
Histoire
Le territoire de Vitrac a été occupé dès le Néolithique comme l'attestent le dolmen de la Pierre du Diable et celui des Salcets[76].
Mentionné en l'an 866 (Castrum de Monte Fortis), l'ancien château de Montfort a été détruit à plusieurs reprises, notamment en 1214[74]. Le château actuel a été édifié au XVe siècle[74]. Une autre place forte importante, le fort de Vitrac, appelé le Roc de Molènes ou le Roc de Vitrac[77], a joué un rôle important lors de la guerre de Cent Ans et été détruit par les Sarladais en 1379[76].
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[78],[79].
Les habitants de Vitrac sont appelés les Vitracois[90].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[91]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[92].
En 2021, la commune comptait 838 habitants[Note 10], en évolution de +3,84 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En septembre, le Marathon Dordogne-Périgord (25e édition en 2024) est une épreuve de descente fluviale de la Dordogne en canoë-kayak, entre Saint-Julien-de-Lampon et Castelnaud-la-Chapelle sur 32 kilomètres ; pour les jeunes, elle s'effectue sur 12 kilomètres entre Vitrac et Castelnaud-la-Chapelle[94].
Économie
Emploi
En 2020[95], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 386 personnes, soit 46,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (49) a augmenté par rapport à 2014 (43) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,7 %.
Établissements
Activités hors agriculture
1055 établissements[96] sont implantés à La Roque-Gageac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[97].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
105
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
14
13,3 %
(10,2 %)
Construction
10
9,5 %
(14,2 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
26
24,8 %
(31,3 %)
Information et communication
3
2,9 %
(1,7 %)
Activités financières et d'assurance
2
1,9 %
(3,4 %)
Activités immobilières
7
6,7 %
(4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
18
17,1 %
(14,5 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
22
21,0 %
(11,5 %)
Autres activités de services
3
2,9 %
(9,1 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est majoritaire sur la commune puisqu'il représente 24,8 % du nombre total d'établissements de la commune (26 sur les 105 entreprises implantées à Vitrac), contre 31,3 % au niveau départemental, suivi par le secteur qui regroupe l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale (26 établissements, soit 21 % de la totalité)[98].
Agriculture
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Le château de Montfort rebâti pendant la guerre de Cent Ans, il asubi des modifications au XXe siècle par l'ajout d'une tour provenant du château de Chabannes (commune de Sorges à l'époque) et d'éléments architecturaux provenant d'un cloître de Béthune, tous éléments démontés puis remontés pierre à pierre[100].
Le château de Vitrac, du XIXe siècle, à côté de l'église[77].
Le château de Mas-Robert[101], ou de Marobert[102].
Le château de Rochebois du XIXe siècle[103], transformé en 2022 en hôtel-restaurant de luxe 5 étoiles[104].
Le manoir des Vayssières des XVe et XVIe siècles, inscrit partiellement au titre des monuments historiques en 1970 pour ses façades et toitures[105].
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (argent sur or). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
↑Aux 104 communes listées, il convient de retirer celles de Cazoulès et Peyrillac-et-Millac qui, avec Orliaguet, ont fusionné pour former en 2022 la commune nouvelle de Pechs-de-l'Espérance à rajouter, soit 103 communes au total.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[69].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher la couche « Fonds Cartographique IGN ». La zone Natura 2000 étant matérialisée par un mince ruban de couleur bistre, la visualiser nécessite d'utiliser le zoom.
↑Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF 720008187, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF 720008188, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF 720020015, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur « Raster » puis cocher « Fonds Cartographique IGN ».
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.