Son succès est rapide et son tirage dépasse les 100 000 exemplaires dès le 5e numéro. Il soutient la gauche aux élections du printemps 1936 puis le gouvernement de Léon Blum, même s'il n'approuve pas la politique de non-intervention en Espagne de son gouvernement[5].
Après la démission de Blum, l'enthousiasme est moindre ("On ne défend pas ce qui n'existe plus" écrit Guéhenno dans le numéro du ), le tirage baisse et les difficultés financières commencent. À la fin de 1938, Vendredi change son nom en Reflets, mais sans succès et le titre disparaît en .