Il est commandant adjoint du 133e escadron de reconnaissance de Gao de 1996 à 1998[1]. Il reçoit ensuite de nombreuses responsabilités dans le domaine du renseignement[2], jusqu'à être nommé directeur de la sécurité de l'état en par les putschistes du CNRDRE[3]. Lieutenant-colonel de 2011, il est nommé colonel à titre exceptionnel en 2012[1]. En 2013, après que Touré a été nommé général de brigade par le président IBK, le général Moussa Diawara le remplace à la tête de la sécurité d’état. Le général Touré est ensuite arrêté le pour son rôle dans le l'écrasement du contre-coup d'État du 30 avril 2012 et la mutinerie du [4],[5] Il est blanchi par la justice malienne en [6].
Responsabilités civiles
En 2017, il est nommé gouverneur de la région de Mopti. Il est nommé général de division le [1]. Il est révoqué le après le massacre de Sobane-Kou[7].
Il est nommé Secrétaire Permanent adjoint du Conseil de Sécurité Nationale le [8].
↑ abcdef et gA. Togo et API, « Sidi Alassane Touré promu au grade de général de division : Un soldat du renseignement reconnu à travers le monde », Le Reporter, (lire en ligne)
↑ a et b« Portrait Colonel Sidi Alassane Touré : Un homme du sérail aux commandes du renseignement et du service secret malien », Slate Afrique, (lire en ligne)
↑« Forces armées et de sécurité : Des nouveaux responsables », L'Essor, (lire en ligne)
↑Sinaly Keïta, « Détention du général Sidi Alassane Touré : Le ministre de la Justice s’oppose à sa libération provisoire », Le Reporter, (lire en ligne)
↑Tougouna A. Traoré, « Affaire Général Sidi Alassane Touré, ancien Dg de la SE : vers un non lieu après un an de détention ? », Nouvel Horizon, (lire en ligne)
↑Fadjigui Monzon Samaké, « Le Général Sidi Alassane Touré blanchi par la justice malienne », Le Reporter, (lire en ligne)