Lors de la Seconde Guerre mondiale, Bedikian rejoint les FTP-MOI, il s'engage plus particulièrement dans la « Compagnie Marat »[3],[6], un détachement des FTP-MOI dans les Bouches-du-Rhône[7]. Dans ce groupe, de nombreux Arméniens se retrouvent[8].
↑Bedikian fait plus de sens que Bedoukian, Bedik étant un prénom arménien. Comme dans la plupart des noms arméniens, le suffixe -ian signifie l'appartenance, soit "de la famille de Bedik".
↑ ab et cBenoît Prieur, « BEDOUKIAN [ou BEDIKIAN] Sarkis », dans Le Maitron, Éditions de l'Atelier, (lire en ligne).
↑Mélanie Castelle, « La collection d’archives orales "Mémoire des Arméniens des quartiers de Marseille et des Bouches-du-Rhône" : comment la valoriser, comment la faire évoluer ? Étude d’un corpus sonore en ligne », Bulletin de l'AFAS. Sonorités, vol. 37, no 37, , p. 25-28 (ISSN1246-7529, DOI10.4000/afas.2819, lire en ligne, consulté le ).
↑Belmonte, Lydie., De "La petite Arménie" au Boulevard des Grands Pins : évolution de l'espace communautaire arménien d'un quartier de Marseille des origines à nos jours, Paul Tacussel, Éditeur, [1999?] (OCLC606779702).