Rentrant dans la vie politique ghanéenne, elle prend ses distances par rapport à la famille politique de son père, devenant une figure du Nouveau Parti patriotique[1],[2],[3],[4]. Elle incarne une des voix de l'opposition au président John Dramani Mahama[5].
Vie privée
En 2004, elle devient l'épouse de Mahamudu Bawumia[3] qui devient en , vice-président de la République[6],[7].
Elle parle couramment l'éwé, le ga, le twi, le fanti et le mamprusi[2].
Notes et références
↑ ab et c(en) « Samira Bawumia Unveiled », Modern Ghana, (lire en ligne)