La caserne de gendarmerie « Lafayette » a été réhabilitée depuis 2015 en centre de remise en forme accompagné d'une soixantaine d'appartements et de locaux commerciaux[3].
La maison d'arrêt (œuvre de Joseph-Fleury Chenantais), ouverte en 1869, attenante à l'hôtel. Cette prison a définitivement fermé ses portes le ; tous les services sont transférés dans un nouvel établissement, au nord-est de la ville. Les 10,4 ha sont devenus propriété de la SOVAFIM, puis par l'Agence foncière de Loire-Atlantique, dans l'attente de faire l'objet d'un appel d'offres auprès de promoteurs. Un appel d'offres pour la construction de 160 logements (dont 50 % de logements sociaux) et de commerces est engagé en 2015[4],[5]. Le caractère historique du site impose de conserver quelques éléments architecturaux comme le porche, la cour pavée et les anciens bâtiments du greffe situés à l'extrémité est de la rue. Le projet inclut un équipement petite enfance de 40 places, un parking public souterrain de 252 places, plus 147 réservées aux habitants et un café-théâtre de 250 places aménagé dans l'ancien bâtiment du greffe. La date de fin des travaux prévue en 2019-2020[6].
En 2018, lors de travaux, l'existence d'un tunnel entre l'ancienne prison située rue Descartes et l'ancien palais de justice est confirmée. Ce tunnel permettait de faciliter le transport des justiciables entre la prison et le tribunal[7].