« Dès le commencement de l'année, ce tribun, comme s'il eût pris la sédition pour un devoir de son nom et de sa famille, agitait la ville par des demandes de lois agraires, quand une peste, plus menaçante pourtant que meurtrière, vint détourner du Forum et des débats publics les pensées des hommes, pour les ramener au salut de la famille et au soin de leur santé. On croit communément que cette peste causa moins de dommage que n'en eût causé la sédition : elle quitta la ville après y avoir rendu malade beaucoup de monde, mais laissant peu de victimes. »
(en) T. Robert S. Broughton, The Magistrates of the Roman Republic : Volume I, 509 B.C. - 100 B.C., New York, The American Philological Association, coll. « Philological Monographs, number XV, volume I », , 578 p.