En 1837, il est attaché au service du canal latéral à la Loire, lorsqu’il est chargé du service de la navigation de l'Aisne, le . À ce poste, il remplit les fonctions d'ingénieur en chef[3].
En 1846, il passe ingénieur en chef à la Compagnie du chemin de fer de Paris à Lyon, créée le [5]. Chargé notamment de la construction de la ligne, il a, entre autres, sous ses ordres l'ingénieur ordinaire de deuxième classe Jules Poirée[6].
Il conserve ses attributions lors du retour de la ligne dans le giron de l'État, par nationalisation, après la faillite de la compagnie[5]. Le , le président de la républiqueLouis-Napoléon Bonaparte lui remet la croix de commandeur de la Légion d'honneur[7], lors de son arrivée au débarcadère parisien pour l'inauguration de la première section jusqu'à Sens du chemin de fer de Paris à Lyon dont il est l'ingénieur en chef[8].
Lors de la reprise de la ligne par la nouvelle Compagnie du chemin de fer de Paris à Lyon, il est confirmé dans ses fonctions de directeur de l'exploitation et de la construction[9].
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Note sur les pouzzolanes artificielles employées dans la construction des ponts aqueducs de Guétin sur l'Allier, et de Digoin sur la Loire, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 2e semestre 1834, p. 30-44(lire en ligne).
Observations sur la jurisprudence du conseil d'état, relativement aux indemnités pour dommages occasionnés à des usines, par des travaux d'utilité publique, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1er semestre 1837, p. 20-36(lire en ligne).
Notes sur quelques propriétés du polygone qu'affecte la chaîne d'un pont suspendu, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1er semestre 1837, p. 133-167(lire en ligne) et planche CXXVI (lire en ligne).
Note sur la jurisprudence du conseil d'état en matière d'indemnités, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1er semestre 1838, p. 94-119(lire en ligne).
Du prix des transports sur les chemins de fer, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 2e semestre 1844, p. 1-68(lire en ligne).
Notes diverses sur les chemins de fer, en Angleterre, en Belgique et en France, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1er semestre 1845, p. 145-224(lire en ligne).
↑Auguste Jullien, Adolphe Jullien et Alfred Jullien, Lettres des enfants Jullien, 1812-1816, élèves chez Pestalozzi : onze lettres des enfants Jullien, alors âgés de sept à douze ans, adressées à leurs parents depuis l’Institut Pestalozzi d’Yverdon, Paris, Centre de documentation et de recherches Pestalozzi, , 111 p., 24 cm (OCLC601459498, lire en ligne).
↑Ministère des travaux publics et Administration générale des ponts et chaussées, « Annales des ponts et chaussées : Lois, décrets, arrêtés et autres actes concernant l'administration des ponts et chaussées », Annales des ponts et chaussées, Carilian-Goeury, , p. 367 (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bAuguste de Laveleye, Histoire financière des chemins de fer français, Paris, Lacroix et Baudry, , 69 p. (lire en ligne), p. 39.
↑Charié-Marsaines, « Notice nécrologique sur M Poirée [Charles Antoine François] : Appendice », Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, , p. 19-20 (lire en ligne, consulté le ).
↑« Inauguration du chemin de fer de Paris à Lyon », La Presse, no 4820, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
↑« Paris : le service du chemin de fer de Paris à Lyon vient d'être constitué ainsi qu'il suit », Journal des débats politiques et littéraires, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).