Notes africaines – sous-titré « bulletin d'information et de correspondance de l'Institut français d'Afrique noire » – est un périodique français créé à Dakar en par Théodore Monod, qui vient de prendre la direction de l'IFAN[1].
Histoire
Créé le par le gouverneur généralClozel pour coordonner les recherches et les publications sur l’Afrique-Occidentale française (AOF)[2], un Comité d’études historiques et scientifiques de l’AOF (CEHSAOF) éditait déjà annuaires et mémoires. À partir de 1918 ces travaux paraissent régulièrement dans le Bulletin du Comité d’études historiques et scientifiques de l’AOF (BCEHSAOF). Le , deux publications séparées sont créées, le Bulletin de l'IFAN et Notes africaines[2].
Théodore Monod dirige Notes africaines de 1939 à 1964, lorsque Vincent Monteil lui succède[3].
Sa périodicité est irrégulière. Le dernier numéro (no 195) paraît en [3].
Ligne éditoriale
Ronéotypé, illustré et largement distribué, Notes africaines propose des articles plus courts, plus informels que le Bulletin de l'IFAN. Faisant appel à la collaboration bénévole de chercheurs dispersés sur tout le territoire de l'AOF, le périodique n'hésite pas à interpeller ses lecteurs, posant des questions, faisant des suggestions, donnant des conseils[4].