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Neo Security est le deuxième groupe français de sécurité, créé en 2009, il dispose d'un réseau de 40 agences et antennes en France pour environ 5 000 agents[2].
Historique
L'entreprise est créée au début 2009 après le rachat par Jean-Michel Houry des filiales françaises de G4S. Le groupe employant alors environ 5 000 personnes met en place dans les mois qui suivent un plan social aboutissant à la suppression de 798 postes d'agents et employés[3].
Le , Neo Security vient de se déclarer en cessation de paiements[4].
Le , l'État serait disposé à faire un effort financier supplémentaire pour sauver les 5 000 emplois et assurer la pérennité de l'activité du groupe[5].
Le , le tribunal de commerce de Paris a validé le retrait de la demande de cessation de paiement du groupe[6],Jean-Michel Houry démissionne dans la foulée.
Le , Neo Security se déclare de nouveau en cessation de paiement, et dès le lendemain en liquidation avec poursuite d'activité jusqu'au .
Les informations dans la presse et du côté des syndicats indiquent un redressement judiciaire mais c'est pourtant bel et bien une liquidation.
G4S (juste pour le contrat de l'ambassade américaine)
Le , Fiducial retire son offre faute d'obtenir une aide de l'état mais revient dans la course le . Alyan retire son offre le et deux autres repreneurs, Caravelle et Sofinord se déclarent intéressés[7].
Le , Caravelle retire son offre. Fiducial et Sofinord sont les deux derniers candidats potentiels pour la reprise de l'entreprise. G4S de son côté est candidat à la reprise du contrat de la surveillance de l'ambassade des États-Unis. L'offre de Fiducial, compatible avec celle de G4S sauvegarderait 3 140 emplois contre 2 180 pour l'offre de Sofinord[8]. La reprise par cette dernière est autorisée par la tribunal de Commerce de Paris le [9]. Neo Security disparaît le , racheté par Fiducial Private Security.