Nançay

Nançay
Nançay
Le radiotélescope.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Vierzon
Intercommunalité Communauté de communes Sauldre et Sologne
Maire
Mandat
Alain Urbain
2020-2026
Code postal 18330
Code commune 18159
Démographie
Population
municipale
787 hab. (2021 en évolution de −9,95 % par rapport à 2015)
Densité 7,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 21′ 02″ nord, 2° 11′ 43″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 163 m
Superficie 106,33 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Aubigny-sur-Nère
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Nançay
Liens
Site web Site officiel

Nançay est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie

Localisation

Le bourg est situé au sud de la Sologne, à une vingtaine de kilomètres au nord-est de Vierzon.

Communes limitrophes

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 766,8 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records NANCAY (18) - alt : 142m, lat : 47°23'35"N, lon : 2°12'03"E
Records établis sur la période du 01-01-1983 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 0,3 2,2 4,1 7,9 11,1 12,6 12,1 8,8 7 3,6 1,4 6
Température moyenne (°C) 4,3 4,7 7,8 10,4 14,2 17,6 19,6 19,4 15,6 12 7,4 4,7 11,5
Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,1 13,5 16,8 20,6 24,2 26,6 26,6 22,3 17 11,2 8 17
Record de froid (°C)
date du record
−21,6
17.01.1985
−16,7
10.02.1986
−15
01.03.05
−6,4
04.04.1996
−3
21.05.1987
−1,5
05.06.1991
3
13.07.1993
1
28.08.1998
−2
25.09.02
−6,2
31.10.1997
−12,5
24.11.1998
−15,7
31.12.1985
−21,6
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,2
05.01.1999
22,2
27.02.19
25,7
30.03.1989
30
20.04.18
33,1
28.05.17
38
27.06.19
40
25.07.19
41,4
05.08.03
34,5
04.09.05
31,1
01.10.1985
23
07.11.15
19,5
16.12.1989
41,4
2003
Précipitations (mm) 64,9 54,4 56,2 62,6 73,4 54,9 60,3 56,9 61,9 72,5 72,3 76,5 766,8
Source : « Fiche 18159001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Au , Nançay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle est située hors unité urbaine[7] et hors attraction des villes[8],[9].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (80,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), terres arables (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), zones urbanisées (1,4 %), eaux continentales[Note 1] (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[10].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Nançay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Risques naturels

Le département du Cher est moins exposé au risque de feux de forêts que le pourtour méditerranéen ou le golfe de Gascogne. Néanmoins la forêt occupe près du quart du département et certaines communes sont très vulnérables, notamment les communes de Sologne dont fait partie Nançay. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nançay.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[14]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 610 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 610 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[11].

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Toponymie

Son nom apparaît la première fois en 1010 (actes de l'abbé Engilbert) sous la forme Nanciacos, puis Nanciacum en 1239[17] (homonyme de la ville de Nancy). Il est construit sur le nom de personne gaulois Nantios avec le suffixe locatif d'origine gauloise -aco et signifie « le domaine de Nantios »[18].

Histoire

Le territoire appartient successivement à la mouvance des seigneuries de Vierzon et de La Ferté-Imbault, puis au comté de Sancerre jusqu'au milieu du XIVe siècle (Marie de Vierzon, † ap. 1283, dame de Souesmes, Neuvy, Nançay et Menetou-Salon, épouse en 1259 Jean Ier, comte de Sancerre), enfin au domaine de la maison de La Châtre. En effet, Marie de Sancerre-Sagonne, petite-fille du comte Jean Ier de Sancerre, l'apporte à son mari Godemar Ier (1267-vers 1340/1342), baron de Lignières, dont elle était la 1re femme ; Nançay échoit ensuite à Godemar II, sire de Méréville, Aschères et Mennetou — fils de Godemar Ier et de sa 2e épouse Marguerite de Précigny-Laleu, dame de Bridoré — qui vend Nançay le 16 janvier 1371 à son beau-frère Guillaume de La Châtre[19] ; en fait Nançay ne quittait pas la descendance de ses anciens maîtres car Guillaume de La Châtre était l'époux d'Agnès de Li(g)nières, demi-sœur de Godemar II, car fille de Godemar Ier et de Marie de Sancerre.

Jeanne d'Arc y passa, laissant son nom à la Fontaine pucelle.

Son château date du XVe siècle et a été reconstruit durant la Renaissance.

Le village est parfois appelé le « Saint-Trop' » de la Sologne, en référence à nombre de personnalités habitant dans ses environs[20].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.

La commune faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Vierzon, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée| au canton de Vierzon-2[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton d'Aubigny-sur-Nère.

Intercommunalité

La commune faisait partie de la communauté de communes les Villages de la Forêt, créée en 1999.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt.

Au , la commune de Nançay rejoint la communauté de communes Sauldre et Sologne[27].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 1989 Jean Leroy    
mars 1989 mars 2001 Patrice Pinguet    
mars 2001 mars 2008 Élie Piquois de Montenay    
mars 2008 avril 2014[28] Patrice Pinguet    
avril 2014[29] février 2019[30] Jacques Prévost DVD Ingénieur
Démissionnaire
mai 2019 En cours Alain Urbain[31],[32]   Ancien cadre

Politique environnementale

Distinctions et labels

Dans son palmarès 2016, le Conseil national des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[33].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 787 habitants[Note 2], en évolution de −9,95 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0249347931 0701 0521 0861 0471 1051 081
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0501 0601 1111 1521 1571 2051 2641 3571 306
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3671 3741 3511 1351 044950943930773
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
768753698748784738842855879
2017 2021 - - - - - - -
832787-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Culture locale et patrimoine

Éléments du radiotélescope.
Château de Nançay.

Lieux et monuments

  • La station de radio-astronomie, avec le grand radiotélescope inauguré par Charles de Gaulle en 1965, le radiohéliographe[37] (47 antennes de 5 m de diamètre), le réseau décamétrique (144 antennes sur 10 000 m²), ainsi qu'une station LOFAR. Le terrain a été choisi en 1953 par l'École normale supérieure en raison de sa taille, de sa relative proximité de Paris et de l'absence de tissu industriel pouvant générer des parasites. Administrativement, l'observatoire de Nançay fait partie de l'Observatoire de Paris et est aussi partenaire de l'université d'Orléans. Du fait du radiotélescope, Nançay est une zone blanche en matière de 4G[38].
  • Le Pôle des Étoiles accueille les visiteurs curieux d'en savoir plus sur l'astronomie. Le site comporte des installations pédagogiques, un planétarium de 40 places, des expositions et propose des visites guidées de la station de radioastronomie.
  • L'église Saint-Laurian, construite en 1624, rebâtie au XIXe siècle après qu'elle fut détruite par un incendie.
  • Le château de Nançay. Château d'origine XIIe siècle, rebâti sur des fondations du XVe siècle, au XVIe siècle pour la famille de La Châtre, puis en 1855 pour Léon Pépin Le Halleur, manufacturier de porcelaine à Vierzon, qui entreprit une restauration néo XVIe, suivant les dessins exécutés par Georges Rouget au cours de sa démolition. Dans les bâtiments d'exploitation du château de Nançay, Galerie Capazza, galerie internationale d'art contemporain créée en 1975 par Gérard et Sophie Capazza. Les façade, côtés et toitures du château de Nançay et des communs, l’escalier intérieur monumental situé dans l’aile Sud du château, sont inscrits sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du .
  • La galerie d'art contemporain Capazza créée en 1975 expose sur 2 000 m2[39].

Personnalités liées à la commune

Gastronomie

  • Les sablés, biscuits créés en 1953 sur une erreur de recette par Jacques Fleurier.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France commune de Bourges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France commune de Nançay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  7. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Nançay », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risquefeux de forêts.
  14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989, page 489.
  18. Xavier Delamarre, Noms de lieux celtiques de l'Europe ancienne : -500 - +500, Paris, éditions Errance, , 383 p. (ISBN 978-2-87772-483-8), page 203.
  19. Barral, André-Horace-François de (1743-1829). Notices sur les châteaux, abbayes et monuments du département du Cher, par le général Cte de Barral,... publiées avec des notes par son petit-fils, M. le Cte Edgard de Barral,... et M. l'abbé Adrien de Barral,.... 1898.
  20. Bardon G, La Sologne : un nid de "People" ?, Le Petit Solognot, été 2010, p4-11
  21. « Maison de La Châtre, p. 851-868 », sur Histoire de Berry, par Gaspard Thaumas de La Thaumassière, chez Jacques Morel à Paris, 1689.
  22. « Maison de La Châtre, p. 364-377 », sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. VII, par les Pères Anselme, Ange et Simplicien, et Honoré Caille du Fourny, aux Libraires associés à Paris, 1733.
  23. « Maison de La Châtre, p. 161-216 », sur Nouvelle Histoire du Berry, t. III, par Félix Pallet, à Bourges, 1784.
  24. « Claude-Louis, duc de La Châtre », sur Geneanet, généalogie d'Alain Garric.
  25. « Les seigneurs de Bridoré, p. 427-428, et le comté de Nançay érigé pour Henri de La Châtre, p. 428 », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de Touraine, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, in Mémoires de la Société archéologique de Touraine, t. XXVII, chez Rouillé-Ladevèze, à Tours, 1878.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « Cartographie des EPCI du Cher au 01/01/2021 ».
  28. « Derniers vœux pour Patrice Pinguet », Le Berry républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Patrice Pinguet a d'entrée informé son auditoire qu'il ne se représentera pas aux prochaines élections. L'élu a servi la commune pendant trente et un ans, dont dix-huit ans (trois mandats) en tant que maire ».
  29. « Jacques Prévost a été élu maire », Le Berry républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Yassine Azoug, « À Nançay, le maire Jacques Prévost et ses quatre adjoints démissionnent : Le maire de Nançay, Jacques Prévost, et ses quatre adjoints (Bernard Thoreau, François Thizeau, Jean-Laurent Bichereau et Marie-Claude Lefrançois) ont démissionné de leurs postes de maire, adjoints et conseillers municipaux », Le Berry républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La victoire du non à la proposition de rapprochement des communautés de communes des Villages de la Forêt et Vierzon Sologne Berry, lors du conseil municipal du 29 janvier, avec sept voix contre et six pour, a motivé les élus démissionnaires ».
  31. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  32. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  33. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. radiohéliographe
  38. a et b Cyril Hofstein, « Nançay, bienvenue en zone blanche ! », Le Figaro Magazine,‎ , p. 50-56 (lire en ligne).
  39. « Galerie Capazza », sur Galerie Capazza (consulté le ).