Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Le Musée comtois, labellisé « musée de France »,[réf. nécessaire] est installé dans le cadre du Front royal de la citadelle de Besançon depuis 1960. Quelques traces balbutiantes au tournant du 20e siècle d'un premier intérêt pour l'ethnographie régionale ont été trouvées, c'est bien à la persévérance et à l'intérêt d'un homme, l'abbé-ethnologue Jean Garneret (1907-2002), que l'on doit la création du Musée comtois qui commence ses premières collectes et enquêtes de terrain en 1936. Il crée l'association Folklore Comtois (aujourd'hui nommée Folklore-Comtois Culture et Patrimoine) qui va soutenir l'ensemble de ses actions en faveur de la collecte et de la valorisation de la culture comtoise[3].
L'abbé Garneret sera à l'origine de deux projets muséaux avant l'actuel musée : le Musée paysan à Corcelle (projet démarré en 1943, inauguration officielle en 1952, fermeture en 1963), puis le Musée comtois d'histoire et d'ethnographie régionale qui s'installe au Palais Granvelle en 1948, alors dirigé par Lucie Cornillot. Quand la ville rachète la Citadelle en 1959, c'est l'occasion de quitter Granvelle et d'installer les collections dans un lieu dédié : le Musée populaire comtois (tel qu'il se nomme alors) sera le premier service installé alors à la Citadelle[3].
L’abbé Jean Garneret a consacré toute une partie de sa vie à réunir et étudier des milliers d’objets représentatifs des savoir-faire et des traditions régionales du 19e et de la première moitié du 20e siècle. Depuis la collecte s'est poursuivie pour s'ouvrir aux transformations et aux enjeux contemporains. Aujourd'hui[Quand ?], la collection compte plus de 30000 objets et plus de 75000 clichés photographiques et dessins.[réf. nécessaire]
Le Musée comtois se positionne comme un musée de territoire, un musée populaire et un musée de société[4].
Le Musée comtois répartit ses collections sur trois niveaux :
Niveau 1 : fonderie et laiterie
Niveau 2 : quatre salles revisitées en 2024 autour de la thématique du temps
Niveau 3 : une salle consacrée aux croyances (contes, légendes, liturgie et dévotion populaire). Deux salles consacrées aux marionnettes comtoises. Une salle entièrement consacrée au Théâtre des Manches à Balais[Quoi ?]. Une autre salle consacrée aux saltimbanques (reprise d'une exposition temporaire de 2022) : on y évoque notamment le Cirque Plume.
↑Aurélie Carré, « "Il faut absolument être vivants" : Jean Garneret, Lucie Cornillot et l’essor de l’ethnologie régionale en Franche-Comté (1933-1972) », dans Musées des Arts et du Temps de Besançon, La Grande Mademoiselle, Marie-Lucie Cornillot
une vie de Musées à Besançon, Milan, SilvanaEditoriale, , 288 p. (ISBN9788836654093), pp.90-105
↑ a et bAurélie Carré, « Il faut absolument être vivants » : Jean Garneret, Lucie Cornillot et l’essor de l’ethnologie régionale en Franche-Comté (1933-1972), in La Grande Mademoiselle. Marie-Lucie Cornillot, Une vie de musées à Besançon, catalogue des expositions présentées au Musées des Beaux-Arts et d’Archéologie et au Musée du Temps de Besançon, éd. Silvana Editoriale, 2023, 286 p.
↑Projet scientifique et culturel du Musée comtois, 2024 (documentation interne du musée)
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?