Montgellafrey est une commune de Maurienne, formée d'un chef-lieu situé à une altitude de 1 073 m et de plusieurs hameaux parmi lesquels :
le Chargeux ;
les Côtes ;
les Charrières ;
le Boissonnet ;
le Preynet (à prononcer le Preney), altitude 1 253 m ;
le Poizat ;
le Mollaret, altitude 1 334 m ;
les Sapeys le long de la montée au lac de la Grande Léchère et dont les noms sont inspirés de patronymes du village (les Troccaz, les Andrés, les Vinits, les Cartiers, les Baracons et les Cohendets) ;
le Praz, altitude 1 435 m ;
le Replat ;
Colombes ;
Cochenières (à prononcer Cochinières).
La commune comprend aussi une partie de la station de ski de Saint-François-Longchamp. Les lieux-dits sont :
Entre 2015 et 2017, Montgellafrey a été le siège d'un essaim de séismes ayant généré de nombreux séismes ressentis. La magnitude 3,7 a été atteinte à deux reprises fin . (Voir article détaillé Essaims de séismes de Maurienne.)
Hydrographie
La limite avec Saint-François-Longchamp est marquée par le Bugeon, selon son cours initial car il a été détourné pour pouvoir réaliser un immeuble dans la station.
Toponymie
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En 1904, les hameaux de l’Épalud, le Planey, les Covatières, le Bon-mollard et la Cublière sont séparés de Montgellafrey et forment la commune de Saint-François-sur-Bugeon, qui prend le nom de Saint-François-Longchamp en 1969.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[3]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[4].
En 2014, la commune comptait 64 habitants[Note 1], en évolution de −1,54 % par rapport à 2008 (Savoie : +3,63 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
La chapelle des Charmettes est accessible par un sentier.
Patrimoine naturel
Le lac de la Grande Léchère (inaccessible l'hiver lorsque la route est enneigée) sur le chemin de la Mère de l'Eau ;
Les cheminées des Fées sont visibles depuis le versant opposé ;
Les cols de la Madeleine, du Montjoie et du Sarvatan.
Personnalités liées à la commune
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Voir aussi
Bibliographie
Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN978-2-7171-0289-5), p. 93-96. ([PDF] lire en ligne)
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2017, millésimée 2014, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2016, date de référence statistique : 1er janvier 2014.
Références
↑Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 24