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Fiche d'identité
Naissance	18 février 1943 (81 ans); Lourdes (France)
Taille	1,70 m (5′ 7″)
Surnom	Migraine
Poste	demi de mêlée, ailier, centre
1971-1987; 1987-1988; 1988-1989; 1989-1995; 1998-2001; 2002-2003; 2004-2005; 2005-2007; 2007-2008 ; 2008-2020	AS Montferrand; RC Vichy ; US Bressane; FC Grenoble; FC Grenoble; RC Cannes Mandelieu; FCS Rumilly ; Rugby Roma Olimpic; Amatori Catane; SO Chambéry

Michel Ringeval, surnommé migraine^[2], né le 18 février 1943 à Lourdes, est un joueur et entraîneur de rugby à XV évoluant principalement au poste de demi de mêlée mais pouvant jouer également comme ailier ou centre^[1].

Il est conseiller sportif au SO Chambéry club de Nationale depuis la saison 2020-2021^[3].

Biographie

Il joue demi de mêlée au FC Lourdes où son club remporte le Challenge Yves du Manoir en 1966 et à l'AS Montferrand, mais blessé^[4], ne participe pas à l'épopée du club jusqu'à la finale du championnat en 1970^[5].

À la fin de sa carrière de joueur, il devient entraîneur et officie notamment avec l'AS Montferrand et son « monstre à seize pattes »^[6] où il atteint une finale du championnat de France en 1978^[1].

Il rejoint ensuite le RC Vichy, puis l'US Bressane.

Il entraîne par la suite le FC Grenoble sous l'ère des Mammouths de Grenoble^[8] avec notamment Jacques Fouroux avec qui il atteint deux demi-finales en 1992 et 1994, et est privé du titre de champion de France en 1993^[9], défait 14 à 11^[10] par le Castres olympique dans des conditions rocambolesques^[11].

Le 19 juin 1993, il est invité pour entraîner le XV du Président face aux Barbarians français pour le Centenaire du rugby à Grenoble^[12].

Après avoir quitté Grenoble en 1995, il y revient en 1999, où Grenoble dispute une autre demi-finale du championnat, en s'appuyant sur un gros pack de « bulldozers »^[13] son équipe s'incline à 4 minutes de la fin du match contre l'AS Montferrand^[14].

Michel Ringeval est aussi l'entraîneur principal du Stade olympique de Chambéry de 2008 à 2020^[15].

Carrière

Carrière de joueur

-1966 : FC Lourdes
1966-1971 : AS Montferrand

Carrière d'entraîneur

1971-1987 : AS Montferrand
1987-1988 : RC Vichy^[16]
1988-1989 : US Bressane
1989-1995 puis 1998-2001 : FC Grenoble^[17]
2002-2003 : RC Cannes Mandelieu
2004-2005 : FCS Rumilly
2005-2007 : Rugby Roma Olimpic^[18]
2007-2008 : Amatori Catane
2008-2020 : SO Chambéry^[19]

Palmarès

Notes et références

↑ ^{a b et c} « Michel Ringeval », sur cybervulcans.net (consulté le 29 octobre 2011).
↑ Ph. A., « Au royaume des surnoms », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, 8 janvier 2004 (consulté le 30 octobre 2011).
↑ « Michel Ringeval : « Il ne faut pas avoir de regrets » », sur ledauphine.com.
↑ « Un jour - une finale : 1970, La Voulte sans le pied des Camberabero », sur lequipe.fr, 17 mai 2020 (consulté le 17 mai 2020).
↑ « La Voulte 3-0 Montferrand », sur cybervulcans.net (consulté le 24 mai 2013).
↑ « Historique du club », sur cybervulcans.net, 2007.
↑ « Pour Olivier Merle, en 1993, Grenoble était "peut-être l’un des plus gros paquets d’avants du monde" », sur ledauphine.com.
↑ Nicolas Zanardi, « En 1993, les mammouths grenoblois victimes d'une polémique en finale », Midi olympique, 5 juin 2020.
↑ « Grenoble 92/93 dur dur d’être un mammouth », sur rucknmaul.wordpress.com, 24 septembre 2012 (consulté le 30 avril 2013).
↑ « Souvenir de match : Finale perdue de 1993 », sur fcgrenoble.com, 6 juin 1993 (consulté le 24 mai 2013).
↑ Loïc Colombié, « #SportStory – Rugby / (EP1) M.Ringeval : Entretien avec «la migraine ». », sur le-mag-sport.com, 9 avril 2020 (consulté le 9 mai 2020).
↑ « BARBARIANS VS XV du Président 92 - 34 », sur barbarianrugbyclub.fr.
↑ « Les bulldozers du Pacifique », sur grenoblecmieux.com (consulté le 19 novembre 2012).
↑ Serge Manificat, « L'ASM sur le poteau... », sur cybervulcans.net, 23 mai 1999 (consulté le 18 novembre 2012).
↑ « De Clermont à Chambéry, revivez l'immense carrière de Michel Ringeval en images », sur ledauphine.com.
↑ « Liste des entraîneurs », sur vichyrugby.free.fr, RC Vichy (consulté le 30 octobre 2011).
↑ « Histoire du Club. - 2^e Partie - 1946 / 2000 », sur fcgrugby.com, FC Grenoble (consulté le 30 octobre 2011).
↑ (it) « SERIE A: MICHEL RINGEVAL LASCIA LA RUGBY ROMA », sur grafica.ws, Rugby Roma Olimpic, 6 novembre 2011 (consulté le 30 octobre 2011).
↑ « Ringeval à Chambéry », sur rugbyrama.fr, Midi olympique, 1^er octobre 2008 (consulté le 30 octobre 2011).
↑ « 22 mai 1960, date doublement historique », sur nrpyrenees.fr.
↑ Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, 1^er août 2019 (consulté le 5 août 2019).

Bibliographie

Stéphane Pulze (préf. Serge Blanco), Les heures de gloire du FC Grenoble, Éditions Le Dauphiné libéré, 2005, 191 p. (ISBN 978-2-916272-00-9)

Jacques Gauthier (préf. Max Micoud et Marc Chérèque), La Fabuleuse Histoire Du Football Club De Grenoble Rugby, Association des Amis de l'histoire du Pays vizillois, 2007, 448 p.

Liens externes

Ressource relative au sport :
- Finales Rugby

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[cybevulcan-1] {a b et c} « Michel Ringeval », sur cybervulcans.net (consulté le 29 octobre 2011).

[2] Ph. A., « Au royaume des surnoms », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, 8 janvier 2004 (consulté le 30 octobre 2011).

[3] « Michel Ringeval : « Il ne faut pas avoir de regrets » », sur ledauphine.com.

[4] « Un jour - une finale : 1970, La Voulte sans le pied des Camberabero », sur lequipe.fr, 17 mai 2020 (consulté le 17 mai 2020).

[5] « La Voulte 3-0 Montferrand », sur cybervulcans.net (consulté le 24 mai 2013).

[historique_cybervulcans-6] « Historique du club », sur cybervulcans.net, 2007.

[7] « Pour Olivier Merle, en 1993, Grenoble était "peut-être l’un des plus gros paquets d’avants du monde" », sur ledauphine.com.

[midiolympique_050620-8] Nicolas Zanardi, « En 1993, les mammouths grenoblois victimes d'une polémique en finale », Midi olympique, 5 juin 2020.

[9] « Grenoble 92/93 dur dur d’être un mammouth », sur rucknmaul.wordpress.com, 24 septembre 2012 (consulté le 30 avril 2013).

[10] « Souvenir de match : Finale perdue de 1993 », sur fcgrenoble.com, 6 juin 1993 (consulté le 24 mai 2013).

[11] Loïc Colombié, « #SportStory – Rugby / (EP1) M.Ringeval : Entretien avec «la migraine ». », sur le-mag-sport.com, 9 avril 2020 (consulté le 9 mai 2020).

[12] « BARBARIANS VS XV du Président 92 - 34 », sur barbarianrugbyclub.fr.

[13] « Les bulldozers du Pacifique », sur grenoblecmieux.com (consulté le 19 novembre 2012).

[14] Serge Manificat, « L'ASM sur le poteau... », sur cybervulcans.net, 23 mai 1999 (consulté le 18 novembre 2012).

[15] « De Clermont à Chambéry, revivez l'immense carrière de Michel Ringeval en images », sur ledauphine.com.

[16] « Liste des entraîneurs », sur vichyrugby.free.fr, RC Vichy (consulté le 30 octobre 2011).

[17] « Histoire du Club. - 2^e Partie - 1946 / 2000 », sur fcgrugby.com, FC Grenoble (consulté le 30 octobre 2011).

[18] (it) « SERIE A: MICHEL RINGEVAL LASCIA LA RUGBY ROMA », sur grafica.ws, Rugby Roma Olimpic, 6 novembre 2011 (consulté le 30 octobre 2011).

[19] « Ringeval à Chambéry », sur rugbyrama.fr, Midi olympique, 1^er octobre 2008 (consulté le 30 octobre 2011).

[20] « 22 mai 1960, date doublement historique », sur nrpyrenees.fr.

[21] Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, 1^er août 2019 (consulté le 5 août 2019).

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Michel Ringeval (rugby à XV)