Maurice Henri Jacquin naît à Montluçon en 1900, fils de Numidique René Jacquin, comptable, et Mélanie Augustine Massat, institutrice, son épouse[1]. Remarié à Dakar en 1927, Maurice Jacquin a quatre enfants : Mauricette, Marlène, Monique et Maurice[2].
En 1954, Marlène épouse Raymond Danon, futur producteur de cinéma[3]. Ils sont les parents de Géraldine Danon, actrice et réalisatrice.
Maurice Jacquin Junior a brièvement travaillé dans le cinéma[4].
Carrière
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Établi à Dakar, il fonde au début des années 1930 la Comacico (Compagnie africaine cinématographique industrielle et commerciale)[réf. souhaitée] et développe un important circuit de salles de cinéma en Afrique de l’Ouest. En 1960, il devient producteur en créant Les Films Copernic.[réf. souhaitée] Jacquin apparait dans le roman de l'écrivain et éditeur Boubacar Boris Diop " les petits de la guenon" en tant que personnage qui aurait introduit la lutte avec frappe bouleversant le combat traditionnel[réf. souhaitée]. Jacquin dirige un atelier de menuiserie à Sandinièry à ses debuts et apparaît comme un personnage sans scrupules. Il est surnommé le toubab de Niayes-Thioker, banlieue dakaroise où se déroulent les premiers spectacles de lutte avec frappe qui vont être payant[réf. souhaitée][5].