De 1983 à 2000, il travaille comme secrétaire de direction, intendant et administrateur du fonds de pension du canton d'Uri. De 1985 à 1988, il est membre de l'exécutif de la commune de Bürglen[1], dont il devient président. En 2000, il devient consultant indépendant pour le secteur public en matière de questions organisationnelles et financières.
Carrière politique
En , il accède au gouvernement du canton d'Uri, où il occupe successivement les fonctions de directeur de la santé, des affaires sociales et de la protection de l'environnement puis, à partir de 2004, de directeur des finances. De 2004 à 2006, il est également Landesstatthalter et, de 2006 à 2008, Landaman.
Le , il est élu au Conseil des États comme indépendant, en remplacement de Hansruedi Stadler. Après son élection, il souhaite rejoindre le groupe parlementaire PDC/PEV/PVL de l'Assemblée fédérale[2]. Celui-ci exigeant de lui qu'il se joigne à l'un des trois partis, Stadler choisit les Vert'libéraux[2]. Le , il est réélu pour un nouveau mandat de quatre ans.
Vie privée
Stadler vit à Bürglen[1]. Il est marié et père de deux enfants[1].
Publications
(de) Inflation, Stagflation und Vermögensanlagen: Ansätze zu einer Gegenüberstellung der inflationären Umbewertungswirkungen auf ausgewählte Vermögensarten bei wachsendem und stagnierendem volkswirtschaftlichem Output. Hypothesen für die Schweiz anhand der Inflationserfahrung der Jahre 1950-1973, éd. Schellenberg, Winterthour, 1978
(de) Institutionalismus heute: kritische Auseinandersetzung mit einer unorthodoxen wirtschaftswissenschaftlichen Bewegung, éd. Campus, Francfort-sur-le-Main/New York, 1983 (ISBN3-593-33226-4)