678 000 t environ - 4 900 000 barils[11] , 11 personnes portées disparues, 17 blessés, littoraux de la Louisiane, du Mississippi, de l'Alabama et de la Floride pollués[12]
estimation entre 7 160 000 t et 17 900 000 t - 60 à 150 millions de barils [40]? Plus de 700 puits sabotés dont plus de 600 en feu[41], près de 5 % du sol koweïtien pollué par les déversements ou les retombées des incendies[42], retombées découvertes jusque dans les neiges de l'Himalaya[43], les déversements continus provoquent la formation de plus de 300 lacs contenant de 25 à 50 millions de barils de pétrole[44]
estimée entre 700 000 et 900 000 t [46], touche les côtes iraniennes, koweïtiennes et 803 km de côtes saoudiennes, importante pollution résiduelle de la zone 12 ans après les événements
↑Ou responsable pour le déversement, ou opérateur / exploitant (plate-forme pétrolière).
↑Tonnage total d'hydrocarbures perdus, même celui recueilli par les opérations de nettoyage, donc souillé par des éléments extérieurs (eau de mer, sable, gravier, etc.). N'est pas comptabilisé le pétrole « propre » récupéré par pompage directement dans les soutes.
↑« Désastre écologique au Pérou après une fuite de pétrole causée par l’éruption volcanique aux Tonga », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Selon les estimations du gouvernement américain 25 % du pétrole déversé auraient brûlé ou auraient été directement récupérés au niveau de la tête du puits, 25 % se seraient naturellement évaporés ou dissous, 24 % se seraient dispersés en micro-particules dans les eaux du Golfe et 26 % sous forme de galettes se seraient déposés au fond ou auraient été rejetés sur les plages.
↑La barge Samsung 1, à la dérive, percute l’Hebei Spirit à l'ancre et lui perfore trois citernes.
↑C'est la pire catastrophe pétrolière qu'a connue la Corée du Sud.
↑Les 2 200 t encore contenues dans les deux sections de l'épave sont récupérées.
↑2 064 t transportées. Le pétrolier coule à 28 km des côtes par 620 m de fond. Le pétrole resté dans les soutes de l'épave devait être pompé à compter de janvier 2007.
↑Brian Hoffman, « The spill threatens to delay opening of crab season », The San Francisco Chronicle, (lire en ligne, consulté le )
↑Rosenker, Mark V., Sumwalt, Robert L., Higgins, Kathryn O'Leary et Hersman, Deborah A. P., « Marine Accident Report: Allision of Hong Kong-Registered Containership M/V Cosco Busan with the Delta Tower of the San Francisco–Oakland Bay Bridge, San Francisco, California, November 7, 2007 », National Transportation Safety Board, (lire en ligne [.PDF], consulté le )
↑Le bombardement de la centrale électrique de Jiyyeh touche les cuves de stockage. Quantité déversée dans la mer, une autre partie brûle durant plusieurs jours après les attaques.
↑Le reste des 67 800 t transportées ainsi que les 440 t de fiou de soute sont pompés de l'épave brisée en deux dans le mois qui suit l'accident. Le pétrole répandu est traité avec des dispersants.
↑Remorqué au large, le pétrolier se brise en deux le 19 et coule à 240 km des côtes de la Galice à 3 500 m de profondeur. Le reste des 77 000 t contenues initialement dans le navire est pompé en 2004 des soutes de l'épave.
↑En France la pollution prend la forme d'arrivages de boulettes d'hydrocarbure à partir du 31 décembre et jusque durant le second semestre 2003, sur toute la façade Atlantique, de la frontière franco-espagnole jusqu'au nord de la Manche.
↑Quantité directement déversées dans la mer. Le reste du chargement (11 200 t) est pompé des deux morceaux de l'épave immergée à 120 m de profondeur de juin à septembre 2000.
↑L'une des plus importantes réserves naturelles mondiales de phoques à fourrure et lions de mer.
↑Le pétrolier chavire puis se brise en deux lors d'une tempête. La section avant s'échoue mais l'arrière coule par 2 500 m de fond au large des côtes de la préfecture de Shimane.
↑Dont 360 t de fioul de soute. Quantité totale de pétrole transportée : 130 824 t. Les échouages répétés à la suite de plusieurs tentatives infructueuses de remise à flot ainsi que la tempête entraînent la détérioration de 21 des 24 citernes.
↑Quantité de brut perdue par le Seki après être entré en collision avec le pétrolier émirati Baynunah.
↑84 700 t de brut + plus de 1 500 t de fioul de soute.
↑Le navire est volontairement échoué sur un banc de sable après avoir subi des dommages structurels au cours d'une tempête. Deux réservoirs laissent échapper du brut. Le pétrolier est remorqué au large mais coule le 27 à 185 km des côtes du Mozambique avant que son chargement n'ait pu être transféré sur un autre navire.
↑La majeure partie du pétrole est consumée durant l'incendie qui se déclare à bord après l'échouage du navire ou se disperse en mer, une faible quantité est pompée de la section arrière.
↑La même zone qui avait déjà été touchée en 1976 par le naufrage de l'Urquiola.
↑C'est la deuxième (avec celle du Fortuneship) plus grande catastrophe pétrolière au monde en termes de volume due à un navire.
↑144 000 t de fioul lourd iranien et 1 500 t de fioul de soute, gazole et huiles. Une large partie du pétrole a été consumée lors de l'incendie qui a ravagé le navire durant 70 heures à la suite de son explosion et s'est déposée au fond de la mer sous forme de bitume. C'est la plus importante catastrophe pétrolière en mer Méditerranée et la septième en termes de volume au niveau mondial due à un navire.
↑Initiant sa retraite, l'armée irakienne sabote plus de 700 puits de pétrole.
↑Pas d'estimation fiable pour l'ensemble du pétrole déversé. L´International Oil Spill Conference, dans l'un de ses documents« Copie archivée » (version du sur Internet Archive) et citant un document de 1998 écrit par MM. Omar, Briskey, Misak et Asem avance une perte totale de plus de 60 millions de barils brûlés ou déversés sur le sol. La Federal Research Division of the Library of Congress (accessible en ligne dans un résumé des Country Studies) avance quant à elle un chiffre de 150 millions de barils. L'EPA américaine estime à la mi-1991 que 3 à 6 millions de barils ont brûlé par jour au plus fort des incendies.
↑En juillet/août seuls 249 puits auparavant en feu ont été contrôlés (source EPA), plus de 500 au 1er octobre (source EPA), les derniers incendies sont maîtrisés en novembre. Le contrôle des puits est rendu plus difficile par la présence de mines antipersonnel déposées intentionnellement autour de certains d'entre eux afin de ralentir les équipes de secours (sources : IOSC« Copie archivée » (version du sur Internet Archive), EPA).
↑Selon le Ministre koweïtien du pétrole cité par l'USGS, non comptée la quantité déjà absorbée par le sol au niveau de ces lacs.
↑Sabordage de 4 navires (dont des pétroliers irakiens) et sabotage du terminal pétrolier koweïtien de Mina Al-Ahmadi et du terminal de chargement iralien de Mina Al-Bakr
↑Estimation très difficile, entre 6 et 8 millions de barils selon la NOAA et l'ONU, 11 millions de barils pour le chiffre le plus élevé prenant en compte d'autres fuites qui ont eu lieu jusqu'en juin depuis d'autres terminaux et des petits pétroliers irakiens coulés. En plus du pétrole directement déversé dans les eaux s'ajoute celui sous forme de résidus de combustion en provenance des puits à terre en feu.
↑Pratiquement tout le pétrole s'évapore avant de toucher les côtes en raison des caractéristiques de l'hydrocarbure.
↑C'est la plus grave marée noire survenue aux États-Unis. Bien que moins importante en termes de volume déversé comparé à d'autres accidents dans le monde, l'impact environnemental est majeur.
↑Endommagé par l'aviation irakienne dans le cadre de la guerre Iran-Irak. C'est le plus grand navire jamais construit (458,45 m de long, 564 765 t de port en lourd).
↑C'est la deuxième (avec celle de l’ABT Summer) plus grande catastrophe pétrolière au monde en termes de volume due à un navire.
↑C'est la sixième plus grande catastrophe pétrolière au monde en termes de volume due à un navire.
↑Dont 50 à 60 000 t directement déversées dans la mer, le reste ayant coulé avec l'épave, enfermé dans ses soutes. C'est la quatrième plus grande catastrophe mondiale en termes de volume due à un navire.
↑Suivant les sources : 24 janvier (CEDRE), 4 février (Environmental Research), 10 février
↑En février un pétrolier heurte la plate-forme no 3 qui entraîne une rupture du riser. La plate-forme subit une attaque aérienne irakienne (guerre Iran-Irak) en mars entraînant l'incendie du pétrole qui se déversait depuis l'incident initial. Ce puits est colmaté le 18 septembre. En mars la plate-forme no 4, voisine, subit aussi une attaque irakienne. Le pétrole s'échappe et brûle durant deux ans jusqu'à ce que le puits soit condamné en mai 1985.
↑11 morts au niveau du puits no 3 et 9 au puits no 4
↑Le navire explose au large de l'Espagne mais reste à flot, dérive durant trois mois puis est coulé le 5 juillet au large de la Corse par la Marine Nationale.
↑Dont 900 t de fioul lourd et gazole, dont 5 000 t enfermées dans la section avant qui coule par 100 m de fond. Le reste du chargement, 7 500 t, est récupéré de la section arrière.
↑Une série d'explosions provoque un incendie qui dure jusqu'à ce que le navire coule le lendemain matin. L'épave engloutie continue de relâcher du pétrole durant des mois jusqu'à ce que le gouvernement prenne la décision de crever les poches avec des explosifs presque un an après l'accident.
↑L’Independenta explose à la suite de la collision. Les deux navires prennent feu.
↑Il est supposé que la majeure partie du pétrole s'est consumé durant l'incendie qui a duré jusqu'au 14 décembre ou s'est dissous dans la mer de Marmara. Pas de rapport indiquant des opérations de nettoyage des côtes souillées.
↑La collision provoque une explosion qui enflamme le pétrole s'échappant du Burmah Agate. L'épave brûle jusqu'au 8 janvier 1980 et consume environ 48 % du chargement. 38 % du chargement est récupéré par transfert vers d'autres navires.
↑276 000 t de l’Atlantic Empress + 4 à 11 000 t de l’Aegean Captain (200 000 t de brut à bord). L’Atlantic Empress brûle durant 15 jours avant de sombrer. Ce naufrage est celui du plus grand navire ayant jamais sombré et c'est la plus grave catastrophe pétrolière en volume due à un navire.
↑Aucune étude précise sur la quantité de pétrole perdue ni sur l'ampleur de la pollution n'a été réalisée et les estimations vont jusqu'à 1 500 000 t déversées suivant le CEDRE. Le puits ne sera maîtrisé que le 23 mars 1980 au terme de 295 jours de lutte. C'est la deuxième plus importante catastrophe pétrolière après celle survenue au Koweït durant la guerre du Golfe.
↑Dont 1 000 t du Team Castor. 32 000 des 40 000 t de noir de carbone, plus lourd que l'eau, transportées par le Gino se déversent directement dans la mer. Le navire et l'ensemble du produit coulent au Sud-Ouest d'Ouessant par 120 m de fond.
↑Quantité de pétrole restant à bord lors de l'explosion du navire. Une partie de la cargaison brûle durant les 24 heures que dure l'incendie, la majeure partie restante est récupérée par pompage durant les semaines qui suivent après que la zone a été confinée par des barrages et arrosée de dispersants.
↑Les 42 membres d'équipage plus 7 ouvriers du terminal pétrolier.
↑Quantité répandue en mer après l'explosion du navire. Le reste des 208 000 t transportées est transféré sur un autre navire.
↑Estimations très divergentes suivant les sources.
↑C'est la cinquième plus grande catastrophe pétrolière mondiale en volume due à un navire et l'une des principales en termes d'impact sur l'environnement.
↑Cet accident entrainera la refonte du plan Polmar et la création du CEDRE en France ainsi que celle de rails de circulation dans la Manche.
↑Le 23 la coque se fissure à la suite d'une tempête et laisse échapper environ 18 000 t de pétrole jusqu'à ce que le navire prenne feu le lendemain et explose. L'incendie dure plusieurs heures puis l'épave sombre.
↑Les vents et courants poussent la nappe vers l'Ouest qui se dissipe naturellement.
↑L'ensemble du chargement est perdu en raison des mauvaises conditions météorologiques qui évitent en contrepartie au pétrole d'atteindre les côtes.
↑Les 2 500 t qui subsistent dans l'épave immergée sont pompées en 1977.
↑25 membres d'équipage du navire, 1 soldat qui nettoyait les côtes et qui est emporté par la tempête, 2 plongeurs lors des opérations de pompage.
↑Jusqu'à 100 km à l'intérieur des terres, due à l'épaisse fumée dégagée par l'incendie provoqué par les explosions du navire.
↑Le pétrolier était à vide au moment de l'accident.
↑Quatre personnels de l'Aviation navale meurent dans un accident d'hélicoptère lors d'une mission de reconnaissance de la pollution.
↑Ainsi que 2 000 barils de paraffine de l’Edgar M. Queeny. Lors d'une manœuvre celui-ci heurte le Corinthos qui explose, prend feu, se brise et coule.
↑Le pétrolier explose après avoir heurté un haut-fond et se brise en trois. La section centrale et l'arrière coulent, l'avant est en flammes et s'échoue quelques jours après.
↑Il est estimé que 40 à 50 000 t du chargement ont brûlé, que 25 000 t. se sont dissous en mer et que 15 000 t ont touché le littoral.
↑Le Yuyo Maru est chargé de 20 830 t de naphta léger, 20 200 t de propane et 6 440 t de butane, le Pacific Ares de 14 835 t d'acier. La collision provoque l'explosion du Yuyo Maru qui prend feu ainsi que le Pacific Ares. Le pétrolier est remorqué à l'extérieur de la baie où il est coulé par bombardement le 27 novembre.
↑Aucune opération de nettoyage n'a eu lieu. 20 ans plus tard des dépôts dus à la catastrophe étaient encore visibles sur le littoral.
↑Les deux navires sont en feu après la collision, celui de l’Horta Barbosa étant maîtrisé dans les 24 heures. Le Sea Star continue à être la proie des flammes jusqu'au moment de couler le 24 décembre.
↑Le tonnage de brut répandu est sujet à controverse, certaines sources avançant des chiffres qui seraient en contradiction avec les capacités d'un navire du même nom enregistré sur le registre de la Lloyd's. Le fait qu'une large quantité du pétrole ait coulé sous la glace qui recouvrait en grande partie la baie rend les estimations difficiles.
↑L'usage de dispersants à mauvais escient et mal adaptés se révèlera être une autre source de grave pollution. C'est la première grande catastrophe qui met en alerte l'opinion publique sur le danger des marées noires.