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Cette liste présente des tueurs en sériefrançais, c'est-à-dire des meurtriers récidivistes de nationalité française ayant commis au moins quatremeurtres. Ils sont classés par ordre chronologique. Cette liste n'est évidement pas exhaustive.
Avant 1800
Gilles de Rais (1405-1440). De haut lignage, ancien compagnon de Jeanne d'Arc, maréchal de France, accusé d'avoir avec l'aide de ses serviteurs, torturé, violé et tué entre 140 et 600 enfants de 1432 à 1440. Il fut pendu à Nantes le [1].
Gilles Garnier (????-1574). Ermite, dit « Le loup-garou de Dole ». Il a avoué avoir étranglé quatre enfants et mangé leur chair en 1572. Il a été exécuté en 1574[3].
Hélène Jégado (1803-1852), accusée d'avoir tué une soixantaine de personnes par empoisonnement de 1833 à 1851, guillotinée le [6].
Pierre (1773-1833) et Marie Martin (1779-1833), accusés d'avoir tué, de 1805 à 1830, 53 personnes, exécutés avec leurs domestiques[7].
Martin Dumollard (1810-1862), entre 1855 et 1861, accusé d'agression sur une douzaine de domestiques lyonnaises, et d'avoir tué trois d'entre elles[8].
Albert Pel (1849-1884). Tua cinq femmes, de 1872 à 1884. D'abord condamné à mort, peine commuée en détention à perpétuité[10].
Joseph Vacher (1869-1898), vagabond accusé d'avoir tué au moins onze personnes de 1894 à 1897, exécuté le [11].
Jeanne Weber (1874-1918), surnommée « l'Ogresse de la Goutte-d'Or », aurait étranglé dix enfants qu'elle gardait, ainsi que le sien, en 1905-1908. Elle est déclarée irresponsable pénalement[12].
Henri Désiré Landru (1869-1922), accusé d'avoir tué, en 1915-1919, ses dix amantes et le fils de l'une d'elles afin de récupérer leur argent[13]. Exécuté le 25 février 1922, en niant toujours ses crimes en dépit de preuves accablantes.
Marcel Petiot (1897-1946), accusé d'avoir tué, en 1942-1944, au moins 27 personnes. Il leur faisait croire qu'il était un passeur vers l'Argentine avant de les tuer par empoisonnement et de prendre leurs effets personnels. Il fut guillotiné le [14].
De 1900 à 2021
Albert Millet (1929-2007), après avoir tué en 1954 la tante et tutrice de son ancienne petite amie, tue sa nouvelle compagne en 1979 et un ami de sa nouvelle compagne en 2007, avant de se suicider[15].
Saïb Hachani (1936-1966). Tua trois personnes de 1962 à 1963. Il leur faisait croire qu'il était un passeur vers l'Algérie avant de les tuer et voler leur argent. Il sera guillotiné le [16].
Marcel Barbeault (1941-), auteur de huit meurtres et de trois tentatives de meurtre entre 1969 et 1976, condamné à la perpétuité[17].
Émile Louis (1934-2013), accusé d'avoir enlevé, violé et assassiné sept jeunes filles handicapées dans l'Yonne de 1975 à 1980, condamné à la perpétuité plus de 20 ans après les faits[20],[21].
Thierry Paulin (1963-1989) et Jean-Thierry Mathurin (1965-). Ils avouent le meurtre de vingt-et-une personnes, commis par étranglement ou étouffement, entre 1984 et 1987, tandis que la justice leur en attribue dix-huit. Thierry Paulin meurt du sida et Jean-Thierry Mathurin est condamné à la perpétuité en 1991 avant d'être libéré en 2012[22].
François Vérove (1962-2021), dit le « grêlé », commet quatre meurtres et plusieurs viols en Île-de-France. Sur le point d'être démasqué en 2021, il se suicide avant son arrestation[25].
Jacques Rançon (1960-), dit "le tueur de la Gare de Perpignan", responsable d'au moins 3 meurtre et 2 viols sur des jeunes femmes autour de la gare de Perpignan ainsi qu'à Amiens entre 1986 et 1998, il fut condamné à 7 reprises, dont deux ne concernant pas ses activités meurtrières.
Patrice Alègre (1968-), reconnu coupable de 5 meurtres, 6 viols et une tentative de meurtre sur des jeunes femmes.
Pierre Bodein (1947-) tue et viole une femme et deux filles de moins de 15 ans en 2004. Son casier judiciaire fait état de sept condamnations, dont trois en cour d'assises, notamment pour des viols avec violence : condamné à la perpétuité[27].
Patrick Salameh (1957-) surnommé le "Jack l'éventreur de Marseille", reconnu coupable de 4 meurtres sur des jeunes femmes. Il continue toujours de clamer son innocence
Yvan Keller (1960-2006) avoue avoir tué, entre 1989 et 2006, 150 vieilles dames lors de cambriolages en France, en Suisse et en Allemagne. Cependant, la justice lui en attribue 23. Il se suicide avant son procès[28].
Guy Georges (1962-), dit « le tueur de l'Est parisien », commet sept meurtres de femmes et plusieurs viols en France ,de 1991 à 1997. Il est condamné à la perpétuité en 2001[21],[29].
Yoni Palmier (1978-) commet quatre meurtres, de à , dans un périmètre de cinq kilomètres dans le département de l'Essonne : condamné à la perpétuité[30]
↑Antoine Claude (1807-1880) et Théodore Labourieu (1822-1889), Mémoires de M. Claude, chef de la police de sûreté sous le second Empire. Tome 5 / [par Th. Labourieu], 1881-1883 (lire en ligne).
↑Cathy Lafon, « Il y a 100 ans, la condamnation à mort de Landru : le « Barbe Bleue » de Gambais avait assassiné dix femmes », Sud Ouest, (ISSN1760-6454, lire en ligne, consulté le ).