Les kilométrages de cette ligne et de celles qui en dépendent (51A, 51A/1, 51B) sont calculés à partir de Bruxelles, continuant ceux de la ligne 50A : en effet, la carte technique du réseau Infrabel mentionne un pont mobile au PK 108,015 de la ligne 51A/1 peu après la gare de Zeebruges-Village et un autre au PK 101,993 de la ligne 51B, entre les bifurcations Y Canal Baudouin et Y Pélican.
En , une ligne d'autobus privée est mise en service par un autocariste de Bruges, Arthur Linglez, en suivant la ligne ferroviaire, la loi n'imposant à cette époque qu'une autorisation royale malgré la concurrence avec la ligne ferroviaire[a],[4].
En , le permis de l'autocariste étant arrivé à son terme, la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) en réclame la concession, étant prioritaire vu que la ligne longe une ligne ferroviaire[b]. L'autocariste historique Arthur Linglez est cependant chargé d'exploiter la ligne et devient donc fermier de la SNCB avec un autre exploitant de Bruges, Paul De Backer[c]. L'ancienne ligne privée devient alors un service complémentaire d'autobus de la SNCB (les « bus verts »)[d],[4].
C'est en qu'a lieu un nouveau découpage du réseau en trois lignes : ligne 51 Bruges - Blankenberge ; ligne 51A Y Blauwe Toren - Zeebrugge ; 51B Y Dudzele - Knokke[1].
Notes et sources
Notes
↑Ce en vertu de la loi du [2]. La ligne se voit attribuer le tableau 126[3].