Il birichino di papà est adapté du roman du même nom (titre original Papas Junge) publié en 1905 par Henny Koch(de) et traduit en italien par Maria Campari[1]. C'est le dernier film que Matarazzo a tourné en Italie dans les années 1930 et au début des années 1940 avant de déménager, par crainte d'être appelé à la guerre[2].
Synopsis
La sœur aînée de Nicoletta, une jeune fille turbulente aux allures de garçon manqué, s'apprête à épouser le fils d'une marquise. Cette dernière exige que Nicoletta s'inscrive au collège dont elle préside les destinées. Mais, à l'école, l'adolescente n'en fait qu'à sa tête... Au cours d'une de ses fugues, elle apprend les désillusions sentimentales de sa sœur. Elle l'incite à ne pas se résigner et la pousse à quitter le domicile conjugal. Les deux filles s'installent alors chez un avocat ruiné.
Fiche technique
Titre français : La Terreur du pensionnat ou Nicoletta, la terreur du pensionnat[3]
↑(it) Roberto Chiti, Roberto Poppi et Enrico Lancia, Dizionario del cinema italiano: I film, Gremese, (ISBN8876055487)
↑Adriano Aprà, Carlo Freccero, Aldo Grasso, Sergio Grmek Germani, Mimmo Lombezzi, Patrizia Pistagnesi, Tatti Sanguineti (ed.), Matarazzo. Quaderno del "Movie club" di Torino (2 vol.) publié à l'occasion de la revue "Momenti del cinema italiano contemporaneo" qui s'est tenue à Savone du 16 au .