Située dans l'aire d'attraction de Montauban, L'Honor-de-Cos est une commune rurale qui, en 2022, comptait 1 608 habitants, appelés Honorois ou Honoroises.
Géographie
Situation
Le village centre de L'Honor-de-Cos (Léribosc) est situé à environ 12 km au nord de Montauban, chef-lieu du département, 20 km au sud-ouest de Caussade et 20 km à l'est de Moissac. Le chef-lieu du Lot, Cahors, qui est aussi la ville principale du Quercy, est à environ 30 km au nord.
La commune comporte cinq villages principaux qui ont chacun été une paroisse et sont donc pourvus d'une église : Léribosc (village-centre), où se trouve la mairie, Saint-Pierre d'Angayrac au nord, Aussac à l'est, Loubéjac au sud, Belpech à l'ouest.
On trouve aussi divers lieudits, comme Biarnais, Boisfargues, Rigal, Breil, Ruquet, Reilles, Les Tapies, Musses, etc.
Le territoire de la commune atteint l'Aveyron par une excroissance (presque une exclave) située au sud-est d'Aussac, excroissance qui sur environ un kilomètre a une largeur de moins de cinquante mètres, entre la route d'Aussac, qui constitue la limite avec Lamothe-Capdeville, et le ruisseau de Samaros, qui constitue la limite avec Mirabel.
Elle est arrosée par l'Aveyron, le Rieutort, les ruisseaux de Cantegrel, de Cardac, de Gesse, de Brassac, de Dariac, de la Mouline, de la Toune, de Malsevire, de Pichau, de Samaros et par quelques petits cours d'eau, qui au total constituent un réseau hydrographique de 44 km de longueur[3],[Carte 1].
L'Aveyron (291 km) prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron (Aveyron) et coule d'est en ouest, confluant avec le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir traversé 60 communes[4]. Il longe la commune de L'Honor-de-Cos en deux tronçons : à l'est d'Aussac, il constitue la limite avec Albias ; en amont de Loubéjac, il constitue la limite avec Montauban.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Vincent », sur la commune de Saint-Vincent-d'Autéjac à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 771,1 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Un espace protégé est présent sur la commune :
le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[14].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[18] :
la « rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[19], et
les « terrasses de Loubajac et de Lamothe Capdeville » (64 ha), couvrant 2 communes du département[20]
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[18] :
la « vallée de l' Aveyron » (14 644 ha), couvrant 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[21].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à L'Honor-de-Cos.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , L'Honor-de-Cos est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (53,8 %), forêts (25,8 %), cultures permanentes (14,7 %), zones urbanisées (2,7 %), terres arables (1,2 %), prairies (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aveyron. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003 et 2021[26],[23].
L'Honor-de-Cos est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire . Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 709 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 621 sont en aléa moyen ou fort, soit 88 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1998, 2003, 2008, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].
La commune est en outre située en aval du barrage de Pareloup, un ouvrage de classe A[Note 7] dans l'Aveyron sur les rivières Aveyron et Viaur, disposant d'une retenue de 169 millions de mètres cubes[33]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[34].
Toponymie
Le nom de la commune
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Le terme « honor » est un mot latin qui signifie « honneur », « charge », « magistrature »[réf. nécessaire], mais qui, au Moyen Âge, peut avoir le sens de « possession territoriale », « domaine noble »[réf. nécessaire].
Autres toponymes
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Histoire
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La voie romaine reliant Toulouse à Cahors passe par le vicus de Cossa, situé sur la rivière Aveyron, aujourd'hui simple village de la commune de Lamothe-Capdeville, Cos (à 3 km au sud d'Aussac).
Époque moderne (1492-1789)
Sous l'Ancien Régime, il existe ici cinq paroisses[35] correspondant aux cinq villages principaux : Léribosc, Saint-Pierre d'Angayrac, Aussac, Loubéjac, Belpech. Ces paroisses relèvent du diocèse de Montauban (créé en 1317) et de la généralité de Montauban (créée en 1635).
Période de la Révolution et de l'Empire (1789-1815)
La population de la commune est au-dessus de 1500 habitants de 1800 à 1851, avec un maximum de 1593 en 1836. La baisse est ensuite régulière (sauf en 1876) jusqu'en 1954 (1108 hbs) durant la période marquée par l'exode rural. La population remonte ensuite, atteignant en 2021 un niveau légèrement supérieur à celui de 1836 (1606 hbs).
Les habitants de la commune sont appelés les Honorois.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2022, la commune comptait 1 608 habitants[Note 8], en évolution de +2,55 % par rapport à 2016 (Tarn-et-Garonne : +3,12 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 973 personnes, parmi lesquelles on compte 75,1 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 7,8 % de chômeurs) et 24,9 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 216 emplois en 2018, contre 194 en 2013 et 218 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 663, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,4 %[I 11].
Sur ces 663 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 150 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 87,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
93 établissements[Note 11] sont implantés à l'Honor-de-Cos au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 14].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
93
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
15
16,1 %
(9,6 %)
Construction
18
19,4 %
(14,9 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
21
22,6 %
(29,7 %)
Information et communication
3
3,2 %
(1,9 %)
Activités financières et d'assurance
3
3,2 %
(3,4 %)
Activités immobilières
3
3,2 %
(3,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
10
10,8 %
(14,1 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
12
12,9 %
(13,6 %)
Autres activités de services
8
8,6 %
(9,3 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,6 % du nombre total d'établissements de la commune (21 sur les 93 entreprises implantées à l'L'Honor-de-Cos), contre 29,7 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46] :
Garage De L'honor, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (1 462 k€)
SARL Des Coteaux, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (1 233 k€)
Castro Enduits, autres travaux de finition (173 k€)
Periwinkle, programmation informatique (147 k€)
Rouchy Menuiseries, travaux de menuiserie bois et PVC (69 k€)
Agriculture
La commune est dans le « Bas-Quercy de Montpezat », une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 117 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 94 en 2000 puis à 63 en 2010[49] et enfin à 48 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[50],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 616 ha en 1988 à 872 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à 18 ha[49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Au sud du hameau de Léribosc fut érigé un château féodal dont on ne trouve plus de traces de nos jours. Ce château fut notamment occupé par François de Gautier de Savignac vers 1609 (qui épousa Suzanne de Mondenard en 1600) et Hugues de Lacombe, seigneur de Léribosc et capitaine au régiment du Vigan vers 1658[réf. souhaitée].
La commune héberge également un verger conservatoire. Le verger conservatoire de l'Honor-de-Cos constitue non seulement un lieu de conservation de dizaines de variétés anciennes de pommiers, poiriers, pêchers, pruniers, cerisiers du Sud-Ouest, mais c'est également un lieu d'expérimentation en matière d'arboriculture[51].
Église Saint-Étienne de Léribosc. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[52]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[52].
Église de l'Assomption de Belpech ou Chapelle Orthodoxe de Belpech. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[53]. Un tableau est référencé dans la base Palissy[53]. L'église de Belpech est partagée avec une communauté orthodoxe[54].
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Saint-Pierre d'Angayrac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[55]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[55].
Église Saint-Saturnin d'Aussac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[56]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[56].
Personnalités liées à la commune
Jean-Paul Dekiss, écrivain et cinéaste, y gère l'association littéraire La Ferme-des-Lettres.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[32].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑La paroisse est alors à la fois une unité religieuse (église, curé) et une unité administrative (syndic, tenue des registres de baptêmes-mariages-sépultures), notamment fiscale.
↑Ce qu'il faudrait expliquer : normalement, en 1790, les villes (qui ont toujours plusieurs paroisses) mises à part, chaque paroisse de France devient une commune.