Peu avant 1900, ses collaborations prennent un virage radical. Aux côtés de ses confrères caricaturistesSteinlen, Hermann-Paul, Huard, Léandre, Camara, ou Luce, Il rejoint « cette catégorie d'intellectuels progressistes qui pensaient pouvoir gagner une partie de la bourgeoisie aux idées d'émancipation sociale, partageant une même croyance dans un socialisme d'éducation, proches de Péguy et des Cahiers de la Quinzaine et reflétant l'esprit dreyfusard[4]. »
Il publie pour des périodiques de sensibilité anarchiste comme Les Temps Nouveaux, Le Libertaire, l’Almanach illustré de la révolution (1902-1909), Jean-Pierre. Il donne aussi des dessins à La Caricature, et à l'éditeur Schwarz pour L'Assiette au beurre (de 1901 à 1907) et La Calotte, ainsi que pour La Science en images.
Il a illustré des ouvrages d'Ernest Girault, Jean Most et Pierre Kropotkine.
↑« "Jean-Pierre" et "les petits bonhommes" » de L. Mercier (1984, 36), op. cit..
Voir aussi
Bibliographie
Gerrit Jacob Boekenoogen & Émile Henri Van Heurck, Histoire de l'imagerie populaire flamande et de ses rapports avec les imageries étrangères, Bruxelles, G. Van Oest, 1910.