L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Un espace naturel d'intérêt est présent sur la commune : un site natura 2000. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 40 en 1988, à 16 en 2000, puis à 11 en 2010.
Le village fait partie de la région naturelle de Beauce.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un bâtiment porté à l'inventaire des monuments historiques : le château de Cerqueux.
Josnes est limitrophe du département du Loiret[8] et la ville la plus proche en est Beaugency, ville riveraine de la Loire à 10 km à l'est. Beaugency est également le point le plus proche de Josnes sur le cours de la Loire. Orléans est à 40 km au nord-est, Paris au nord à 157 km (autoroute A10 jusqu'à Artenay puis N20) ou 163 km (autoroute A10).
Marchenoir, longtemps son chef-lieu de canton, est à 11 km O-N-O[9].
Note : Les hameaux suivis d'une astérisque (*) sont indiqués sur la carte de Cassini, selon l'orthographe donnée entre parenthèses si celle-ci est différente de l'orthographe actuelle ; ces hameaux existaient donc déjà au XVIIIe siècle.
Les hameaux sont peu nombreux sur la commune mais plutôt densément peuplés, presque tous formant de petits villages. Ce sont :
le Coudray (* « le Coudrai »)
Isy (* « Isi »)
Lavau (* « l'Aveau »)
Messilly (* « Pt et Gd Messilli »)
le Plessis
Ourcelle (* « Ourcelles »)
Origny
Prenay (* « Prenai »)
Toupenay (* « Toupenai »)
Trugny (* même orthographe).
Depuis le XVIIIe siècle et l'établissement de la carte de Cassini, la Borde, Ouche et le moulin de Toupenay ont disparu. On trouve les lieux-dits la Borde et les Hauts d'Ouches.
Toujours selon la carte de Cassini, une partie du domaine de Fontenailles (pointe sud de la commune de Lorges) se trouvait sur l'actuelle commune de Josnes. La carte indique un château pour Fontenailles ; de même pour le Haume (maintenant sur la commune de Concriers), les deux châteaux se faisant face pour encadrer la route de Beaugency à Marchenoir où l'on rejoignait le « chemin de Blois à Châteaudun ».
Le château de Cerqueux, lui aussi sur la carte de Cassini, se trouve sur la route de Tavers[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 642 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Léonard-en-Beauce à 11 km à vol d'oiseau[12], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 642,2 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[16]. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000[17] : la « Petite Beauce », d'une superficie de 52 565 ha[18].
Urbanisme
Typologie
Au , Josnes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].
Elle est située hors unité urbaine[6]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[6]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (96,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante :
terres arables (11,6 %),
cultures permanentes (0,6 %),
zones agricoles hétérogènes (15,4 %),
prairies (3,5 %),
forêts (65,2 %),
milieux à végétation arbustive ou herbacée (0,7 %),
zones urbanisées (1 %),
espaces verts artificialisés non agricoles (0,5 %),
zones industrielles et commerciales et réseaux de communication (1,7 %),
eaux continentales (0,5 %).
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Josnes en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,4 %) inférieure à celle du département (18 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,2 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[26]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[28]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[29].
Risques technologiques
La totalité du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire. En cas d'accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactif. Or la commune se situe partiellement à l'intérieur du périmètre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 20 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d'iode stable dont l'ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d'une exposition à de l'iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[30],[31].
Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].
Histoire
Préhistoire
L'occupation humaine en ce lieu remonte à la Préhistoire ; Trugny (un nom d'origine gallo-romaine), Origny, et les environs immédiats sont également riches en sites. L'abbé André Nouel cite Josnes comme station tardenoisienne (marquée par la production de microlithes) dans son étude du site tardenoisien de Beaugency[33].
Époque gallo-romaine
Josnes est proche du croisement de deux routes antiques importantes : Orléans-Le Mans, et Chartres-Bois ou Meung-sur-Loire-Vendôme (cette dernière passait à Prenay[34])
Plusieurs villas gallo-romaines ont été identifiées[35], par exemple au lieu-dit les Trinquettes[36] près de Toupenay. Pour cette époque également, les environs sont riches en vestiges - un site bien connu étant celui de Glatigny[37].
XVIIe siècle
Alexandre de Roulin est seigneur de Josnes en 1667[38].
Josnes a accueilli nombre de protestants avant et après la révocation de l'édit de Nantes en 1685[39]. Au milieu du XIXe siècle Josnes comprend environ 400 protestants. Un temple protestant y est édifié après que celui de Lorges soit dissout[40],[41].
XIXe siècle
Guerre de 1870
En , Josnes sera pendant quelques jours le siège du quartier général[42] de l'armée de la Loire commandée par le général Chanzy, avant que ce dernier n'ordonne la retraite vers Vendôme puis vers Le Mans pour continuer le combat contre l'envahisseur. Les troupes françaises y ont résisté pendant quatre jours[35]. Tout le secteur connaîtra les souffrances de la guerre.
Vers la fin du XIXe siècle, le phylloxéra a durement frappé le vignoble implanté de très longue date.
Seconde Guerre mondiale
Entre le et le , plus de 3 100 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant Franco, arrivent dans le Loir-et-Cher. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (les haras de Selles-sur-Cher sont notamment utilisés), 47 villages sont mis à contribution[43], dont Josnes[44]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[45]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés à Bois-Brûlé (commune de Boisseau)[46].
Fascé contre-fascé d'azur et d'argent au château de gueules ouvert et ajouré du champ brochant, au chef d'or chargé d'une aigle issante d'azur.
Création J.P Fernon - Ph. Barbosa (1996).
Politique et administration
Jusqu'en 2014 Josnes était l'une des dix-huit communes du canton de Marchenoir (11 km O-N-O). De mars à le canton de Marchenoir a été absorbé par le canton de la Beauce, dont le bureau centralisateur est Ouzouer-le-Marché et qui comprenait à se création quarante-trois communes, puis trente-sept communes depuis le .
Le conseil municipal de Josnes, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[50] avec listes ouvertes et panachage[51]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 15. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[52].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].
En 2022, la commune comptait 862 habitants[Note 2], en évolution de −4,22 % par rapport à 2016 (Loir-et-Cher : −1,15 %, France hors Mayotte : +2,11 %). Le maximum de la population a été atteint en 1851 avec 1 664 habitants.
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,5 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 448 hommes pour 427 femmes, soit un taux de 51,2 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,55 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[59]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
2,9
9,1
75-89 ans
9,3
16,1
60-74 ans
16,9
23,4
45-59 ans
20,7
17,5
30-44 ans
20,0
13,6
15-29 ans
12,4
19,5
0-14 ans
18,1
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2021 en pourcentage[60]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,1
90 ou +
2,6
9,2
75-89 ans
11,9
19,7
60-74 ans
20,4
20,7
45-59 ans
20
16,5
30-44 ans
16,2
15,2
15-29 ans
13,2
17,6
0-14 ans
15,7
Économie et services
62 établissements actifs se répartissent entre 10 commerces, 13 agriculteurs, 9 entreprises de construction, 7 établissements industriels, 10 commerces et 5 administrations publiques. Plus de la moitié des salariés est employée dans la construction (mais un nombre important de travailleurs sont enregistrés comme indépendants). Un seul établissement comprend plus de 9 salariés. La capacité d'accueil touristique est 265 lits.
Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (41 entreprises sur 78) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (12,8 %), il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %).
Sur les 78 entreprises implantées à Josnes en 2016, 59 ne font appel à aucun salarié, 18 comptent 1 à 9 salariés, et 1 emploie entre 20 et 49 personnes.
Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[64].
Agriculture
En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[65]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[66]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 44 en 1988 à 16 en 2000 puis à 11 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 51 ha en 1988 à 123 ha en 2010[65].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Josnes, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l'agriculture à Josnes (41) entre 1988 et 2010.
L'église Saint-Médard : de style néo-roman, date de 1862 sur l'emplacement d'un précédent édifice détruit vers 1850. L'architecte en est Jules de la Morandière, mais son ouvrage n'est alors probablement pas unanimement approuvé car la tradition orale affirme qu'il n'a reçu qu'une partie du paiement. La première église datait probablement du XIe siècle[39]. Elle contient quatre piliers de marbre noir dont l'origine est attribuée, à tort ou à raison, à un ancien temple gallo-romain.
Le château de Cerqueux: édifié aux XVIIe et XVIIIe siècles sur le site d'anciens bâtiments médiévaux. Propriété privée. Éléments inscrits aux Monuments Historiques : escalier avec rampe en fer forgé, toiture, façade[71].
Le Petit Musée du souvenir de Josnes a ouvert le ; il offre une rétrospective de la vie quotidienne depuis le début du XXe siècle[72].
Environs
À 10 km au sud juste de l'autre côté de la Loire, l'archéovillage de Saint-Laurent-Nouan a ouvert ses portes début 2016 dans 12 hectares de forêt[73],[74].
Personnalités liées à la commune
Gérard Boutet, écrivain, illustrateur, journaliste, est né et vit à Josnes.
Claude Marie Lebley (° 1754 à Strasbourg - mort en 1833 à Josnes), général de division, maréchal de camp, officier de la Légion d'honneur, est mort au château de Cerqueux chez sa petite-fille Henriette "Zoé" Libron, épouse de Émile Roger.
Leur fils, Maurice Roger (°1857 Blois - †1916 Blois), avocat de grand talent à Blois, hérita du château. Il a voué sa vie à la défense du Loir-et-Cher.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑ a et bJosnes sur geoportail.fr – cartes interactives IGN. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives », « Hydrographie » et « Photographies aériennes » activées. Vous pouvez moduler, désactiver ou supprimer chaque couche (= carte) dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Abbé André Nouel, « Un remarquable campement préhistorique, la station tardenoisienne de Beaugency (Loiret) », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. 60, nos 9-10, , p. 591-609 (DOI10.3406/bspf.1963.3943, lire en ligne, consulté le ), page 604.
↑Jacques Soyer, « Les voies antiques de l'Orléanais », Mémoires de la Société archéologique de l'Orléanais, t. 37, , p. 212 (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bA. Bourges et A. Cothenet, « La vie gallo-romaine à Josnes », Revue Archéologique, vol. 1, , p. 172-176 (présentation en ligne).
↑Alain Ferdière, Cristina Gandini, Pierre Nouvel et Jean-Luc Collart, « Les grandes villae « à pavillons multiples alignés » dans les provinces des Gaules et des Germanies », Revue Archéologique de l'Est, t. 59, , p. 357-446. Page 387, note 4.
↑P. Genty, F. Moireau, P. Cabard et J.-L. Girault, « Le site gallo-romain et médiéval de Glatigny (Mer, Loir-et-Cher) », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 26, no 1, , p. 21-66 (lire en ligne, consulté le ).
↑Josnes, Centre de recherches généalogiques du Perche-Gouët.
Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN978-2-7332-1028-4, lire en ligne)