Elle est réélue à l’assemblée départementale, au premier tour de chacune des échéances électorales qui suivront, en 1994, 2001 et 2008, et nommée vice-présidente du Conseil général du Var à la suite des élections cantonales de 1998. En 1995, elle est élue maire du Beausset, où en 2001, elle est réélue dès le premier tour.
Aux élections législatives de 2002, elle est finalement élue pour la XIIe législature (2002-2007), dans cette circonscription qui est l'une des plus peuplées de France, composée de 73 communes et 12 cantons pour plus de 213 000 habitants. Elle est réélue au 1er tour en 2007 avec 52,03 % des voix, et de nouveau en 2012, avec 60,54 % des voix au second tour face à la candidate du Front national. Elle ne se représente pas pour un nouveau mandat en 2017.
En 2014, Josette Pons est candidate aux élections municipales de 2014 à Brignoles[1]. Après des mandats à Saint-Cyr puis au Beausset, elle remporte les élections municipales face au candidat du Front national Laurent Lopez avec 59,94 % des voix au second tour. Elle est élue maire de Brignoles lors du premier conseil municipal de la mandature, le vendredi . Elle est élue dans la foulée présidente de la communauté de communes Comté de Provence. Depuis le , elle préside l'Agglomération Provence Verte, née de la fusion des communautés de communes Comté de Provence,
Sainte-Baume Mont-Aurélien et du Val d'Issole.
Le , elle renonce à son mandat de maire de Brignoles pour se consacrer à la présidence de l'Agglomération Provence Verte. Le premier adjoint, Didier Brémond, est élu maire le . En , elle quitte la présidence de la communauté d'agglomération, qui revient à son successeur à la mairie de Brignoles.
Le , la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, commission chargée de contrôler les déclarations de patrimoine des parlementaires, annonce avoir saisi la justice puisqu'il existe un doute sérieux quant à la sincérité de sa déclaration de patrimoine[2]. Elle plaide coupable le d'avoir sous évalué son patrimoine de plus de deux millions d'euros dans sa déclaration de 2014[3] et se voit infliger en une amende de 45 000 euros[4],[5].
Membre de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances
Membre de la Commission des Affaires économiques
Vice-présidente de l’Association nationale des élus de la vigne et du vin
Membre du groupe d'études sur le problème du Tibet[6].