Avec une thèse sur la résonance paramagnétique électronique, ses travaux de physicien développent un domaine de recherches nouveau ayant un impact sur les industries du charbon et du pétrole[3]. Créateur en 1958 du laboratoire de spectroscopie hertzienne de Besançon, il présente en 1959 le premier maser de construction française. Il est dans le même temps à la direction du laboratoire de l'horloge atomique du CNRS[3] devenu en 1971 laboratoire de physique et métrologie des oscillateurs qu'il dirige jusqu'en 1976[4].
Outre son travail de physicien, il est connu pour sa carrière dans l'organisation de formations au niveau national et dans le cadre de programmes européens[3],[5] notamment sur le sujet de la formation continue et des relations aux technologies de l'information et de la communication[4].
directeur des études de l’ESPCI – 1971-1976[4] ou 1970-1976[3] ;
vice-président de l’université Pierre et Marie Curie (chargé des enseignements) – 1976-1979[4] ;
directeur du service de la formation permanente de l’université Pierre et Marie Curie – 1981-1997[4] ;
directeur du centre national d'enseignement assisté par ordinateur (CNEAO) - universités Pierre et Marie Curie (Paris 6) et Denis Diderot (Paris 7) de 1985 à 1997[4] ;
chargé de créer le réseau universitaire des centres d’autoformation (RUCA) par le Ministère de l’Éducation Nationale en 1985[4] ;