Jamel Ali-Khodja est né le 26 mai 1944 à Constantine (Algérie)[1]. Il est issu d’une famille d’enseignants et d’écrivains[2], dont son oncle Malek Haddad. Avec sa mère, il parle le français et avec le reste de sa famille, le kabyle.
Il a publié plusieurs nouvelles et quelques poésies dans la presse nationale et internationale[2].
Il a un doctorat en littérature contemporaine lettres et arts[2].
Pour l’écriture, Jamel Ali-Khodja a été inspiré par :
son oncle Malek Haddad qui lui a appris la poésie. Le père de Malek, Slimane Haddad qui est son grand-père, lui a appris la rigueur.
Mohammed Dib : il a préféré la deuxième trilogie car elle était plus réaliste, surtout La danse du roi (1968)
Rachid Boudjedra : il a apprécié son écriture à propos de la révolte qui est désinvolte ainsi que la volonté de faire participer le lecteur dans le roman
Flaubert pour son écriture sobre et sa précision des mots
Des mots dérobés, Saint-Denis, Edilivres, 2018[9].
Thèses
L'Itinéraire de Malek Haddad : témoignage et proposition, avec RAYMOND Jean, Université de Provence, Thèse de doctorat de langue et littérature maghrébine, Université Aix-Marseille 1, 1981[10].
L'enfant, prétexte littéraire dans le roman maghrébin des années 1950 aux années 1980, Thèse de doctorat de lettres et art, Université d'Aix-Marseille 1, [1998] 2001[11].
↑Djamel Ali-Khodja, Raymond Jean et Université de Provence (1970-2011), « L'Itinéraire de Malek Haddad: témoignage et proposition », Thèse, [s.n.], (lire en ligne, consulté le )
↑Jamel Ali-Khodja, « L'enfant, prétexte littéraire dans le roman maghrébin des années 1950 aux années 1980 », Thèse, Presses universitaires du Septentrion, (lire en ligne, consulté le )
SACI, Brahim, Jamel Ali-Khodja invité de l'écrivain Youcef Zirem dans son émission Graffiti à berbère télévision [émission sur Youtube], publié le 2 février 2014, disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=0wOGpS4oMRQ&ab_channel=BrahimSaci, (consulté le 24 novembre 2020)