Il a également beaucoup tourné en tant qu'acteur à la télévision, après avoir fait ses premières armes au cinéma dans le rôle principal, ainsi que celui du narrateur, pour Le Bel Âge de Pierre Kast.
Les portes du baptistère (roman), 1955, Editions Denoël[16]
Les fiancées de l'Empire, vol. 1 : Les hauteurs de Wagram (roman), 1980, Editions JC Lattès[17]
Les fiancées de l'Empire, vol. 2 : La route d'Espagne (roman), 1981, Editions JC Lattès[18]
Hommages
« Diplomate et courtois, élégant et plein d’humour, généreux et gros travailleur, écrivain au style stendhalien, cinéaste et homme de télévision, acteur dans de nombreux films, signataire du Manifeste des 121 pendant la Guerre d'Algérie, mendésiste sur le plan des idées politiques, défenseur de Langlois, fondateur en 1968 de la Société des réalisateurs de films et l'année suivante de la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, Jacques Doniol-Valcroze était un véritable honnête homme'. »Serge Toubiana[19]
« Il avait un vrai talent de diplomate, et aurait pu faire une belle carrière, dans la Carrière avec un grand C, comme Gary ou François-Régis Bastide. Il avait toutes les qualités requises : une extrême politesse, une extrême distinction, un art de concilier. Si j’emploie le mot diplomate, c’est sans connotation péjorative : il n’y avait rien de rusé ni d’hypocrite chez lui. Cette tolérance faisait qu’il savait parler aux gens, elle lui permettait d’aimer des choses très différentes de lui. » Éric Rohmer, Cahiers du cinéma no 425,