Sur le plan spatial, la commune d’Isser est constituée de :
Une agglomération chef-lieu ;
L’agglomération secondaire « Ouannougha » située au sud-est de l’agglomération chef-lieu.
L’agglomération secondaire « VSA Zouak Amar » située au sud de l’agglomération chef-lieu.
Une zone éparse constituée de villages et de hameaux répartis à travers l’ensemble du territoire communal qui sont au nombre de 13, soit : Baghlia, Teurfa, Ghomrassa, Bouider, Hassak Arabi, Chellout, Tamlakamt, El Abid, Tihachdine, les fermes de l’Oued Djemaa, El Hamri et Bouchakour.
Population
La commune mixte ou indigène de l’Isser, à laquelle se rattachaient les villages de Haussonvillier, Kouanin, Bois-Sacré, le hameau du Cap Djinet et les douars de Bou-Berak, Ain-Mouder, Ouled-Smir, Raicha Rouafa était du ressort de la Sous-Préfecture de Tizi-Ouzou.
D’une superficie de 45,991 hectares, elle totalisait en 1900 une population européenne de 578 habitants et 32 388 Algériens[3].
Recensement de la population d'Isser
Année du recensement
Algériens
Européens
Population totale
1er
1900
32 388
578
32 966
Toponymie
Le nom de la commune est issu du mot berbèreiɣzer (« ighzer ») signifiant torrent, ruisseau, ravin[4].
Sous la colonisation elle portait le nom d'Isserville.
La population communale d’Isser est passée de 22 387 habitants en 1987 à 27 920 habitants en 1998, soit un taux d’accroissement annuel moyen de l’ordre de 2,02 %.
Transport
La ville d'Isser est un important axe de liaison entre la capitale et la région de la haute-Kabylie, étant donné que l'ancienne route de la Kabylie passe par la ville, ainsi que la ligne de Thénia à Oued Aïssi.