Le thème reprend une légende populaire selon laquelle, à Bénévent, un noyer servait de lieu de rencontre magique.
Stendhal a été très frappé par les chorégraphies de Viganò et en fait état dans son Voyage en Italie.
Niccolò Paganini, frappé par la danse effrénée de la scène des sorcières, compose Le Streghe opus 8 (1813), variations sur la cordes de sol, qu'il présente à la Scala le et où il est bissé. Un correspondant milanais du journal musical Allgemeine musikalische Zeitung en rapporte l'événement[1].
↑Cité par Leon Plantinga (trad. de l'anglais par Denis Collins), La Musique romantique : historie du style musical au XIXe siècle en Europe, Paris, Lattès, , 533 p. (ISBN978-2-70960-763-6), p. 198–199.