Construit comme la troisième unité de la classe Amiral Baudin, le dessin de ce cuirassé d'escadre a été modifié et peut être considéré comme un navire unique. Il fut équipé, en armement principal, du nouveau canon de 340 mm/28 (modèle 1881) comme la classe Marceau qui a suivi, à la place du classique canon de 370 mm/28 (Modèle 1875).
En 1892, au large de Marseille, le Hoche est entré en collision avec le paquebotMaréchal Canrobert qui coula avec une perte de 5 passagers sur les 112 présents à bord[1].
Alain Boulaire, La Marine française : De la Royale de Richelieu aux missions d'aujourd'hui, Quimper, éditions Palantines, , 383 p. (ISBN978-2-35678-056-0)
Jean-Michel Roche (dir.), Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, t. 1, de 1671 à 1870, éditions LTP, , 530 p. (lire en ligne)