Elle est originellement de Rougiers mais a vécu longtemps à Gênes où elle a rencontré Lanfranco Cigala qui a écrit sur elle dans certaines de ses chansons en occitan. Les chansons et la vida de Lanfranc sont les sources principales sur la vie de Guillelma de Rosers. Elle est également la destinataire — la flor de cortezia, la fleur de la courtoisie — d'une canso anonyme, Quan Proensa ac perduda proeza (lorsque Provence avait perdu prouesses), qui déplore son long séjour à Gênes[1].
M. Raynouard, Lexique roman ou dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l'europe latine, Paris, Silvestre, libraire, (lire en ligne), p. 509
(en) Meg Bogin, The Women Troubadours, Scarborough, Paddington, (ISBN0-8467-0113-8)
(en) Matilda Tomaryn Bruckner, Laurie Shepard et Sarah White, 'Songs of the Women Troubadours, New York, Garland Publishing, (ISBN0-8153-0817-5)
(en) Margarita Egan, The Vidas of the Troubadours, New York, (ISBN0-8240-9437-9)
(en) Elliott D. Healy, Lanfrance Cigala, Poet of the Dolce Stilnuovo in Provençal. Studies in Philology, 45, , p. 432-45
(en) Robert Kehew, Ezra Pount et William De Witt Snodgrass, Lark in the Morning: The Verses of the Troubadours, Chicago, (ISBN0-226-42932-6)
Liens externes
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