Il fut le seul Français (ou un des seuls ?) qui échappa aux Vêpres siciliennes le : « On pardonna à un seul homme, Provençal de naissance, appelé Guillaume de Porcellets, qui, dans le gouvernement d'une place où il commandait, s'était toujours distingué par son équité, sa modération, par sa douceur et par sa piété, et qui fut en cette occasion redevable de la vie à la seule impression extraordinaire que sa vertu avait faite sur l'esprit des Peuples[2]. »
Le roi le choisit pour être du nombre des cent chevaliers dans son fameux duel avec Pierre, le roi d'Aragon, et cent chevaliers aragonais.
Notes et références
↑ a et bMartin Aurell - Actes de la famille Porcelet d'Arles (972-1320) - page LII.
Martin Aurell - Actes de la famille Porcelet. 972-1320 - Comité des travaux historiques et scientifiques, 2000, collection Document inédits Histoire, numéro 27, (ISBN2-73550446-8)
Le Musée: revue arlésienne, historique et littéraire, Publié par Émile Fassin, 1876.
Voyage dans les départemens du midi de la France, Aubin Louis Millin, Publié par , 1808.