Il s'installe à Québec en 1945, intègre le Club Rotary de Québec en 1947 et s'installe ensuite à Fossambault-sur-le-Lac en 1952. Homme d'affaires à Québec depuis 1947, il entre en politique municipale en 1962[1]. Il est appuyé par Paul-Henri Bouffard, argentier du Parti libéral, André Marceau, Raymond Thivierge.
et est élu maire de Québec pendant 12 ans, de 1965 à 1977. Il est élu à la Chambre des communes en 1977, lors d'une élection partielle[1]. Il y est ministre des Postes puis ministre de la Défense nationale, sous Pierre Elliott Trudeau, en 1983 et 1984. Il fait la rencontre de Jean Poliquin, neveu du maire René Poliquin maire de Sorel, en 1947 et de Gordon Boisseau en 1956.
Il quitte la politique en 1984 pour devenir lieutenant-gouverneur du Québec, poste qu'il occupe jusqu'en 1990. Puis il est conseiller de 1991 à 2006 chez Consilium, devenu en 1994 GPC International[1], une firme de consultation en affaires publiques. Il est membre du Conseil économique du Canada[1].
Gilles Lamontagne meurt le à Québec, à l'âge de 97 ans[4].
Vie privée
Il est le père de quatre enfants : Michel (1950-), André (1951-), Pierre (1956–2005) et Marie (1959-). Michel Lamontagne a été à l'emploi de Donald Stovell Macdonald entre 1975 et 1977. Hector Lamontagne, frère de Gilles Lamontagne, a épousé Madeleine David, fille de Louis-Athanase David.
D’azur à une porte de forteresse flanquée de deux tours d'argent posée sur un tertre au naturel accostée de deux épées et surmontée d’une couronne de fleurs de lys dont trois sont visibles, le tout d’argent[8]
Voir aussi
Bibliographie
(fr + en) Marc-André Valiquette et Richard Girouard, Je te plumerai : Escadron 425 Alouette / 425 Alouette Squadron, Montréal, Éditions Imaviation (Marc-André Valiquette), 2012, 248 p. (ISBN9782981155252)[9]
Gilbert Lavoie: Blessures de guerre. Des camps nazis à l’Afghanistan. Septentrion, Québec 2010, p. 16-42[10]