Associé à Marc Bordry, au sein d'un atelier appelé « Geo Dorival Bordry », il produit une suite de peintures sur verre destinée à un théâtre d'ombre pour Aucassin et Nicolette de Paul Le Flem (1910)[5], puis des motifs de couvertures pour l'éditeur parisien Louis-Michaud (Paris)[6]. Graphiste accompli, il illustre également la revue Les Dessous élégants, Le Monde artiste (couverture, 1909) et le magazine Nos loisirs.
À partir des années 1910, il produit également de nombreuses affiches pour les compagnies de chemins de fer, les syndicats d'initiative, les compagnies de navigation[2] et le thermalisme[7].
En 1917 il épouse Marie-Thérèse Chantel, fille de Charles Chantel, directeur de L'Art et la mode[8],[9]. Cette revue de 32 pages sur grand in-quarto avait été créée par Ernest Hoschedé en 1880 ; Dorival y collabore régulièrement, puis il en prend la direction[2].
Il est l'oncle du conservateur et critique d'art Bernard Dorival.
Il faut vaincre la tuberculose comme le plus malfaisants des reptiles, 1918, par Georges Louis Capon et Georges Dorival, University of Illinois at Urbana Champaign[26],[27]
L'autre péril. Ne nous endormons pas sur nos lauriers, la tuberculose nous menace, il faut la vaincre, affiche 1918, Bibliothèque du Congrès[28]
Le Mont-Blanc et l'Aiguille de Bionnassay, projet d'Affiche reproduit au pochoir, 1925, NYPL Digital Gallery[31]
Vers le Mont Blanc, Triptyque de 3 affiches sur le Mont-Blanc, 1928[32],[33]
Autres travaux graphiques
[partition] La Roussalka, légende russe, poème de E. Adenis et F. Beissier, musique du prix de RomeJules Mazellier, Atelier Geo Dorival Bordry, 1909[34]
Illustration de la couverture de l'édition de La Jeunesse de la Grande Catherine, chez Louis-Michaud éditeur, [1910].
Illustration de la couverture de la réédition de Fumeurs d'opium de Jules Boissière chez Louis-Michaud éditeur, [1911][35]
La Divorcée, opérette en trois actes de Victor Léon, adaptation française de Maurice Vacaire, musique de Léo Fall, Partition complète pour chant et piano, Paris, Max Eschig 1911, couverture illustrée par Géo Dorival, Bibliothèque royale de Belgique[36]
Théâtre Apollo, Le Comte de Luxembourg (Der Graf von Luxemburg), opérette de Franz Lehár, Max Eschig éditeur, 1912[37]
Illustration des actions émises par la Société immobilière et thermale de Saint-Gervais-les-Bains en 1925[38]
↑Paul Le Flem (Compositeur), Géo Dorival (Auteur ou responsable intellectuel) et Marc Bordry (Auteur ou responsable intellectuel), Aucassin et Nicolette, chantefable en 1 prologue et 3 parties, Paris, Édition mutuelle, coll. « Pour théâtre d'ombres », , 52 p., In-fol. (BNF43104636).
↑« Bibliographie lacunaire des éditions Louis Michaud », in: L'Alamblog, 2015.
↑Jean-Paul Gay, Saint-Gervais 1806–2006 : deux siècles de thermalisme, La Fontaine de Siloé, 2006, p. 179.
↑A. La Fare, Tout-Paris : Annuaire de la Société parisienne : Noms et adresses, classés par noms, par professions et par rues suivis d'un dictionnaire des pseudonymes, volume 24, 1891 (p. 126)
Bernard Dorival, Géo Dorival, 1879-1968, texte rédigé à l'occasion d'expositions d'affiches de Géo Dorival en région Rhône-Alpes, Lyon, Bibliothèque municipale de Lyon, .
Jean-Charles Giroud, Geo Dorival 1879-1968, les affiches, Genève, Patrick Kramer éditeur, 2009.
Éric Dussert, Bibliographie lacunaire des éditions Louis Michaud, L'Alamblog, 2012.