Genainville

Genainville
Genainville
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Genainville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Vexin - Val de Seine
Maire
Mandat
Alain Schmit
2020-2026
Code postal 95420
Code commune 95270
Démographie
Gentilé Genainvillois
Population
municipale
529 hab. (2021 en évolution de −2,94 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 32″ nord, 1° 45′ 08″ est
Altitude 142 m
Min. 60 m
Max. 203 m
Superficie 10,50 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Genainville

Genainville Écouter est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Géographie

Description

La commune est située au cœur du Vexin français, à 50 km environ au nord-ouest de Paris, entre Magny-en-Vexin et Vétheuil, et est aisément accessible par l'ancienne route nationale 183 (actuelle RD 983 de Mantes-la-Jolie à Magny-en-Vexin).

Vue sur le village

Le village se situe dans un vallon où coule un ruisseau prenant sa source à l'emplacement des ruines gallo-romaines des Vaux-de-la-Celle.

Communes limitrophes

La commune est limitrophe de : Omerville, Hodent, Charmont, Maudétour-en-Vexin, Villers-en-Arthies et Chaussy.

Hydrographie

Le ru de Genainville.

La commune est située à la confluence de trois ruisseaux, dont le ru de Genainville et le ru de Préfontaine. Le cours d'eau ainsi formé se jette dans l'Aubette de Magny et est donc un sous-affluent de la Seine par l'Epte.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 21 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

Le site des bois de l’Aunaie et Morlû a été déclaré en 2018 Zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1, puis intégré au site Natura 2000 Vallée de l’Epte et ses affluents. En 2020, le département du Val d'Oise a préempté 95,5 ha de ce site comme espace naturel sensible avec pour but la protection des habitats (bois et pelouses calcicoles), des paysages et de l'écrevisse à pattes blanches[8].

Urbanisme

Typologie

Au , Genainville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Toponymie

Ancienne plaque de cocher.

Attesté sous les formes Genetville et Geneth-ville en 658[13], puis sous la forme latinisée Genestivilla en 849[14], Genezvilla[15], Genesvilla en 1186, Genevilla en 1338[16].

La forme Genestivilla est une étymologie de clerc d'après le latin genista « genêt ». En effet, les formes suivantes ne comportent aucune trace d'un groupe [st] qui se serait amuï par la suite et, de plus, les formations toponymiques médiévales en -ville ne sont jamais associées à un nom d'arbre. Il s'agit, comme c'est le plus souvent le cas, d'un nom de personne. Albert Dauzat et Charles Rostaing proposent l’anthroponyme germanique Gening[17], mais Ernest Nègre préfère le nom de personne roman Genesius. Il est plus conforme phonétiquement aux formes anciennes connues et le passage de Gene- à Genain- se serait fait par analogie avec la finale -ain des anthroponymes contenus dans Goussainville, Attainville et Fremainville, autres communes du Val-d'Oise[18].

Le second élément -ville est un appellatif toponymique signifiant anciennement « domaine rural », puis « village ». Il est issu du gallo-roman VILLA, lui-même du latin villa rustica « grand domaine rural », d'où le sens global de « domaine rural de Gening ou de Genesius ».

Histoire

Le site de Genainville est occupé depuis l'âge du fer. D'importants monuments gallo-romains[19],[20] furent détruits par les invasions barbares en 275 ; ils servirent plus tard de carrière de pierre à l'époque mérovingienne.

Le village, siège d'un prieuré à partir du XIIe siècle, est soumis au pouvoir de plusieurs communautés religieuses durant plusieurs siècles. Outre l'agriculture et l'artisanat, une mine d'argent constituait la seule autre activité économique de la commune.

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours Alain Schmit   Réélu pour le mandat 2020-2026[21],[22]

Jumelages

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 529 habitants[Note 2], en évolution de −2,94 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
415413433454434431459436422
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
414384378371369346373415360
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
305309331274252200211187204
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
210300310353476490531564544
2021 - - - - - - - -
529--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

La 20e édition de la foire gastrinomique de Genainville organisée par la commune et le XV du Vexin avec de nombreux producteurs régionaux et locaux a eu lieu le [27].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Genainville compte quatre monuments historiques sur son territoire :

  • L'église Saint-Pierre (classée monument historique par arrêté du [28]) date du XIIIe siècle mais a été très remaniée au XVIe siècle.

Elle présente la particularité d'être en fait une double église : elle possède en effet deux nefs et deux chœurs ; l'un était semble-t-il réservé au moines du prieuré voisin et l'autre aux paroissiens, même si cette théorie est contestée par des historiens. Le chœur double date du XIVe siècle, les deux nefs égales furent reconstruites au XVIe siècle, les voûtes d'ogives sont séparées par des piliers du XIIIe siècle. La façade principale nord-ouest est du pure style Renaissance. Sa division en deux parties inégales reflète la réalité à l'intérieur. Les deux portails Renaissance sont attribués sans preuve à Jean Grappin. L'église possède une pierre-labyrinthe de la fin du XIIIe siècle (classée monument historique), unique exemple présent dans le Vexin. Sa dimension réduite (75 cm × 68 cm) permettait aux fidèles de le parcourir avec le doigt[29],[30].

  • À droite de l'église, un bâtiment moderne renferme les restes d'un ancien prieuré (de) (inscrit monument historique par arrêté du [31]).

Il en reste une porte romane dont l'archivolte est décorée de bâtons brisés, accessible par un escalier extérieur, et une fenêtre géminée du XIIIe siècle. Le prieuré dépendait de l'abbaye Saint-Père-en-Vallée, à Chartres[30],[29].

Elle présente une pietà et surprend par la finesse des détails.

Il se trouve au lieu-dit les Vaux-de-la-Celle[20].

On peut également signaler :

  • Ferme de la Bretèche, écart de la commune au sud du village

Ancienne ferme seigneuriale fortifiée, elle comporte d'éléments architecturaux du XIIIe siècle, mais ses bâtiments ont été largement remaniés au XVIIIe et au XIXe siècle. Parmi les vestiges les plus intéressants, l'on peut signaler un coussiège, deux bancs de pierre ménagés dans l'épaisseur du mur, et une voûte du XIIIe siècle au-dessus du puits de la Bretèche, dans une cave[30].

  • Croix Chevrier, route de Magny, à l'entrée du village
Cette croix, placée sur un haut soubassement maçonné en moellons, surplombe largement la route. Le socle très marqué par l'influence des intempéries semble plus ancien. Le court fût de section carrée est biseauté sur sa partie basse, puis présente sur trois faces des cartouches sculptés. Cette partie la plus intéressante de la croix est mis en exergue par des larmiers en haut et en bas. La croix proprement dite est toute simple et dénuée d'ornementations.

Situé en dessous du niveau de la rue, l'on y accède par une rampe et non par un escalier, fait assez rare dans la région. Sauf à son entrée, le lavoir est entièrement entouré de murs, tenant à des propriétés privées de deux côtés. Ces murs supportent en même temps les deux toits en appentis protégeant les emplacements réservés aux lavandières, alors que le bassin au centre reste au ciel libre. Du fait de la présence de murs-pignon, il n'y avait pas besoin de placer des poutres autour du bassin pour supporter la toiture. L'alimentation en eau se fait par l'une des nombreuses sources autour du village.

Promenade du Val.

Cette sente relie la rue du Vieux-Moulin, à la rue de la Sérée. Le ruisseau Chalot coule le long de la sente, alimenté par deux sources visibles le long du chemin. L'eau des sources alimentait également un petit bassin un peu en retrait par rapport au chemin, et environ un mètre plus bas. Les abords du bassin ont été incorporés dans deux propriétés privées attenantes, et le caractère délaissé de cet aménagement ne permet plus de déterminer sa fonction exacte. Le bassin n'est pas rectangulaire, mais devient plus large vers son chevet en hémicycle, dominé par un mur en pierre.

  • Promenade du Val

Cette ruelle relie la place de l'Église à la rue du Vieux-Moulin. Elle est suivie par un ruisseau dont les abords sont stabilisés par des murets. L'intérêt de la promenade réside en l'authenticité du lieu, ayant subi peu de transformations depuis le XIXe siècle.

  • Lavoir, au bout d'une courte sente partant de la rue du Chat-Noir : Un escalier rudimentaire descend vers ce petit lavoir en dehors du village, dont le bassin n'est accessible que d'un seul côté. Il est alimenté par une fontaine attenante. La charpente du toit en appentis s'appuie sur l'un des murs latéraux, ainsi que sur deux poutres en bois.
  • Sentier du patrimoine, aménagé en 2018, dont les 10 stations permettent de découvrir des lieux historiques de la commune et son petit patrimoine

Le Prieuré (propriété privée), l’église Saint-Pierre avec sa double nef et son labyrinthe, le plus grand site archéologique d’Île-de-France (avec celui de Pincevent), le lavoir de la Serrée et celui du Chat Noir, des éléments témoins d’un passé industriel : des moulins, une ancienne usine de tire-bouchons, des fours à chaux et la maison de Rodolphe Salis[35]...

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Genainville Blason
Écartelé : au premier d'azur semé de fleurs de lys d'or, au deuxième de gueules au temple antique d'argent maçonné et ouvert de sable, au troisième losangé d'or et de gueules, au quatrième d'argent au chat effarouché de sable allumé de sinople. * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur sable).
Devise
Fortunam quaerebam inveni famam. (En cherchant fortune, j'ai trouvé la célébrité.)
Détails

Genainville au cinéma et à la télévision

Voir aussi

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Bibliographie

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Genainville », p. 548–552
  • Roland Vasseur et Françoise Waro, Villages du Vexin : Genainville : Un prieuré une église, au cœur d'une communauté rurale, Pontoise/Genainville, Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin - Mairie de Genainville, , 394 p. (ISBN 2-907912-03-8)
  • Pierre Delcourt, « La porte romane de Genainville », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie Lucien Pâris, vol. 27,‎ , p. 103-106 (ISSN 1148-8107, lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Communes limitrophes de Genainville » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Genainville et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Espaces naturels sensibles départementaux et locaux. Rapport d'activité 2019-2022 » [PDF], sur Val d'Oise, Le département.
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Genainville ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Dans des actes de donation de la reine Bathilde.[réf. à confirmer].
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, librairie Guénégaud 1979, p. 315.
  15. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
  17. A. Dauzat et Ch. Rostaing, op. cit..
  18. Ernest Nègre, op. cit..
  19. http://www.pnr-vexin-francais.fr/fichier/pnr_document/49/document_fichier_fr_genainville.pdf
  20. a et b Pierre-Henri Mitard, Le sanctuaire gallo-romain des Vaux-de-la-Celle à Genainville (Val-d'Oise), Paris, Centre de recherches archéologiques du Vexin français / Errance, 1993, 452 p., ill.
  21. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
  22. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Val-d'Oise. Une foire gastronomique en plein air à Genainville : L'événement, qui fêtait sa vingtième édition, s'est déroulé à Genainville (Val-d'Oise), dimanche 25 avril 2021, dans le strict respect des consignes sanitaire », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Église Saint-Pierre », notice no PA00080067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. a et b Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Genainville, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 155-157.
  30. a b et c Jean-Loup Corbasson, Pascal Goutrat et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Genainville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 548-552 (ISBN 2-84234-056-6).
  31. « Ancien prieuré », notice no PA00080068, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Croix de cimetière », notice no PA00080066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Vestiges gallo-romains », notice no PA00080069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Historique du site : 160 - Construction des bâtiments ; 250 - abandon du site ; 1935 - l'architecte Pierre Orième (1903-1977) met au jour un bâtiment nommé « pavillon » ; 1941 - tenant compte des découvertes prometteuses, l'État rachète 5 hectares et classe le site comme monument historique ; 1960-1991 - fouilles conduites par la CRAVF sous la direction de Pierre-Henri Mitard ; 1988 - Le directeur des Antiquités classe le site parmi les grands sites nationaux retenus pour une mise en valeur ; 1991 - Fermeture du site au public ; conservation assurée par les Monuments historiques ; 2002 - création d'une association de sauvegarde ; 2003-2006 - fouilles menées par l'association étudiante de l'université de Cergy.
  35. a et b Robert Démard, « Val-d'Oise. À Genainville, le sentier du patrimoine a été inauguré : Situé à Genainville (Val-d'Oise), ce sentier permet de mettre à l'honneur des lieux historiques et une partie du patrimoine de la commun », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).