Gare de Tocqueville - Gouberville

Tocqueville - Gouberville
Image illustrative de l’article Gare de Tocqueville - Gouberville
Ancienne gare
Localisation
Pays France
Commune Tocqueville
Lieu-dit La Gare
Adresse rue de la Gare (D125)
Coordonnées géographiques 49° 40′ 45″ nord, 1° 19′ 38″ ouest
Gestion et exploitation
Propriétaire habitation privée
Caractéristiques
Ligne(s) Cherbourg à Barfleur
Altitude 16 m
Historique
Mise en service
Fermeture
Géolocalisation sur la carte : Manche
(Voir situation sur carte : Manche)
Tocqueville - Gouberville
Géolocalisation sur la carte : Basse-Normandie
(Voir situation sur carte : Basse-Normandie)
Tocqueville - Gouberville
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Tocqueville - Gouberville

La gare de Tocqueville - Gouberville était une gare ferroviaire française de la ligne de Cherbourg à Barfleur, située au lieu-dit la Gare sur le territoire de la commune de Tocqueville, à proximité de Gouberville, dans le département de la Manche en région Normandie. Elle est établie rue de la gare (D125) à mi chemin entre les bourgs de Tocqueville et de Gouberville situés de part et d'autre de l'ancienne voie ferrée.

Elle est mise en service en 1911 par la Compagnie des chemins de fer de la Manche (CFM) et fermée à tout trafics en 1950.

Situation ferroviaire

Établie à 16 mètres d'altitude, la gare de Tocqueville - Gouberville était située sur la ligne de Cherbourg à Barfleur entre les gares de Saint-Pierre-Église et de Gatteville. S'intercalaient les haltes de Varouville-Rhétoville et Néville en amont, et Rauville en aval.

Histoire

La gare de Tocqueville - Gouberville est mise en service le par la Compagnie des chemins de fer de la Manche (CFM), lorsqu'elle ouvre à l'exploitation la ligne, à voie normale, de Cherbourg à Barfleur[1].

Après les destructions de la fin de la Seconde Guerre mondiale, la gare est de nouveau desservie jusqu'au passage du dernier train qui marque la fermeture de la ligne le [2].

Service des voyageurs

Gare fermée et désaffectée.

Après le chemin de fer

En 2007, bâtiment voyageurs est toujours présent, il est devenu une habitation privée[3].

Notes et références

  1. Michel Harouy, 2004, p. 186
  2. Michel Harouy, 2004, p. 132
  3. Google Earth, image satellite du 1er janvier 2007 (consulté le 15 août 2012).

Bibliographie

  • Michel Harouy, Le Val de Saire au temps du Tue-Vâques, éditions Cheminements, 2004 (ISBN 9782844782663)

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe