La gare fut durement bombardée pendant la Seconde Guerre mondiale, du fait qu'elle contrôlait une bifurcation et que la ligne d'Amiens à Rouen avait une grande importance pour l'armée allemande. Une plaque édifiée sur le parvis de la gare rappelle qu'un centre y fonctionna d'avril 1945 à juillet 1945 pour accueillir les déportés, les prisonniers et les requis du STO rapatriés de l'Allemagne nazie.
Le bâtiment voyageurs est fermé et l'ancienne gare est devenue un point d'arrêt sans personnel.
En 2015, SNCF estime la fréquentation annuelle à 45 982 voyageurs[2].
Service des voyageurs
Accueil
Halte[3] SNCF, c'est un point d'arrêt non géré (PANG) à entrée libre équipé d'un automate pour l'achat de titres de transport TER et doté de deux quais desservant trois voies de passage.
Une passerelle, avec des escaliers, permet la traversée des voies et le passage d'un quai à l'autre.
Vue d'ensemble voies, quais et ancien bâtiment voyageurs.
La halte et sa passerelle.
TER Rouen-Amiens.
Sortie Ouest de la gare (directions Rouen à gauche et Motteville à droite).
Notes et références
↑François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Le Second Empire, t. 3 (1864-1870), Paris, Palau, , 239 p. (ISBN2-9509421-3-X), « 10.5 Rouen-Amiens : 18 avril 1867 », p. 106-107.
↑SNCF Open Data, estimation de la fréquentation des gares en 2015.
↑ ab et cSite SNCF TER Haute-Normandie, informations pratiques sur les gares et arrêts : halte ferroviaire de Montérolier - Buchy lire (consulté le 27 août 2012).